Dimanche 8 mars 2020 : grande mobilisation DIGITALE contre le projet de loi de bioéthique
Ce Dimanche 8 mars 2020, voici la Lettre de la « grande mobilisation DIGITALE contre le projet de loi de bioéthique » à envoyer au Président de la République Macron afin de lui demander le retrait de la loi de bioéthique, ainsi qu’à son épouse et maman Brigitte pour dénoncer la marchandisation de la PMA !
Après les deux grandes Manifestations des « 6 octobre 2019 » et « 19 janvier 2020 » et la « Procession en prières pour la Famille » du 3 février 2020, nous continuons à exprimer notre vive opposition à la loi de bioéthique ni bio ni éthique de Macron.
Ce Dimanche 8 mars, journée internationale des droits des femmes, nous organisons une grande mobilisation digitale contre le projet de loi de bioéthique.
La Lettre de la « grande mobilisation DIGITALE contre le projet de loi de bioéthique » à envoyer à Emmanuelle Macron :
« Monsieur le Président,
L'actuel projet de loi de bioéthique en débat au Parlement depuis septembre dernier m'incite à vous écrire. La fuite en avant technique et commerciale qui se dessine est particulièrement inquiétante. Est-ce le projet de société que vous portez pour la France ?
La loi de bioéthique devait préserver notre société des désirs illimités suscités par la puissance technique. Or, de la première loi de bioéthique en 1994 et l'interdiction de toute recherche sur l'embryon au projet de loi actuel, la bioéthique semble être devenue un cadre qui glisse en fonction des intérêts industriels et commerciaux. L'ouverture de la PMA à toutes les femmes entrainera immanquablement, par le jeu de l'« égalité » la légalisation de la GPA.
Monsieur le Président, cette loi divise les Français et déstabilise les liens qui les unissent. Si «un père peut être une grand-mère », qu'est ce qui empêchera demain la pluri - parentalité ou de devenir mère à un âge avancé ? Les lois de la nature sont des lois de bon sens et les enfreindre ne se fait pas sans conséquence.
De nouvelles règlementations ne rendront jamais éthique l'exploitation qui se fait jour. Ce dont nous avons besoin, c'est d'un courage politique pour affirmer que la dignité de l'être humain est et restera inaliénable.
C'est à ce courage que je fais appel en vous demandant de bien vouloir retirer ce projet de loi néfaste et injuste qui créera plus de souffrances qu'il n'en résoudra. La France, pays des droits de l'Homme, ne doit pas oublier d'être aussi le pays des droits des enfants.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, mes salutations respectueuses ».
Ainsi soit-il.
Rendez-vous sur le site de « Marchons Enfants » pour écrire et envoyer votre message sur le site de l’Élysée « Écrire à la Présidence » !
Monsieur le Président : NON au Business du corps humain !
Seul le Président de la République Macron peut retirer le projet de loi de bioéthique, qui divise les Français, bientôt en seconde lecture à l’Assemblée Nationale. Ecrivons-lui un nombre considérable d’e-mails et de courriers pour lui montrer que des centaines de milliers de Français sont opposés à ce projet néfaste pour la société. Quelques minutes suffisent !
Rendez-vous sur le site de « Marchons Enfants » pour écrire et envoyer votre message sur le site de l’Élysée « Écrire à la Présidence » !
Pour faire part au Président de la République Macron ou à Madame Brigitte Macron de votre opposition à sa loi de bioéthique, rien de plus simple que de leur écrire ! Votre message sera tout d’abord pris en charge par les équipes du Service de la Correspondance Présidentielle qui assurent le lien qui vous relie directement au Chef de l’État. Après cette première lecture, elles informeront ses conseillers de votre démarche, afin de permettre au Président, ou à l’un de ses proches collaborateurs, de prendre en compte votre courrier et de vous répondre. Vous recevrez un mail de confirmation qui permettra de confirmer votre courrier et déclencher son traitement. Peu de personnes savent qu'elles peuvent poser toutes leurs questions directement à la Présidence, n'hésitez pas à faire passer le mot autour de vous !
Vous pouvez également adresser votre message par courrier postal !
Plus adepte des lettres papiers ? Vous pouvez également adresser votre message par courrier postal pour signifier votre opposition à la loi de bioéthique ni bio ni éthique au Président de la République Macron et à sa maman, Brigitte Macron, en imprimant la Lettre de la « grande mobilisation DIGITALE contre le projet de loi de bioéthique » (ci-dessus).
Bon à savoir : pas besoin de timbre, l'affranchissement est gratuit jusqu’à 20 grammes.
Une seule adresse :
Palais de l'Élysée
55 rue du Faubourg-Saint-Honoré
75008 Paris
Vous pouvez aussi adresser votre message à Brigitte Macron !
Brigitte Macron, mère et grand-mère, ne peut pas être insensible à la cause des milliers d’enfants qui naîtront sans pouvoir connaître le père qui leur aura donné la vie. Elle ne peut pas être insensible au trafic des produits du corps humain qui enrichiront les laboratoires et les cliniques. Ecrivons-lui aussi pour qu’elle intervienne auprès d’Emmanuel Macron. Quelques minutes vous suffisent !
Rendez-vous sur le site de « Marchons Enfants » pour écrire et envoyer votre message sur le site de l’Élysée « Écrire à la Présidence » !
La Lettre de la « grande mobilisation DIGITALE contre le projet de loi de bioéthique » à envoyer à Brigitte Macron :
« Madame,
Le projet de loi bioéthique débattu au Parlement est très préoccupant. Il touche à l’avenir de notre société, et tout particulièrement au sort que cette loi réserve aux femmes et aux enfants.
La femme est l’égale de l’homme, mais lorsqu’on propose à une femme de congeler ses ovocytes sans motif d’infertilité, n’est-on pas en train de la soumettre inutilement à l’emprise de la technique ?
Il n’y aurait pas de droit à l’enfant, pourtant cette loi cherche à satisfaire toutes les demandes d’accès à la PMA, même celles qui priveraient délibérément un enfant de son père. Pensez-vous vraiment qu’un père soit optionnel ?
Le désir d’enfant est légitime, certes, mais jusqu’à quel prix ? Vous savez que la procréation représente déjà un marché très lucratif pour les industries pharmaceutiques. Or, les chances de succès ne sont que de 20 % par tentative de FIV (étant précisé que 4 tentatives sont remboursées par la Sécurité Sociale).
Aujourd’hui, 8 mars, je voudrais que les femmes soient vraiment à l’honneur. Non pas comme de simples donneuses de gamètes qui alimentent une industrie de la procréation ou comme des cibles faciles pour les industries pharmaceutiques. Non pas comme des ventres que l’on peut louer puisqu’il deviendra difficile de refuser aux hommes ce que l’on propose aujourd’hui aux femmes.
Je voudrais que les femmes restent vraiment libres de ne pas succomber au mirage d’une procréation artificielle qui déguise l’exploitation de leur corps sous des dehors altruistes.
Au nom de toutes ces femmes, de tous ces couples en mal d’enfant et de ces enfants qui risquent de servir malgré eux les projets fous d’une technique sans éthique, je vous prie d’user de votre sagesse auprès de notre Président afin de retirer ce projet de loi de bioéthique.
Veuillez recevoir, Madame, mes respectueuses salutations ».
Ainsi soit-il.
Rendez-vous sur le site de « Marchons Enfants » pour écrire et envoyer votre message sur le site de l’Élysée « Écrire à la Présidence » !
Le Vote de la « loi de bioéthique » au Sénat
Le 4 février 2020, le Sénat a adopté par 153 voix contre 143 le projet de loi relatif à la bioéthique, après avoir apporté plusieurs amendements au texte transmis par l’Assemblée Nationale.
Nombre de ces amendements nous ont surpris et déçus. Nous espérions que le Sénat, en majorité à droite, poursuivrait le travail courageux des députés de droite de l’Assemblée Nationale. Il n’en fut rien. Une explication en a été donnée par un membre de la chambre haute suivant le conseil du président du Sénat, Gérard Larcher, de nombreux sénateurs dont nous espérions une autre position ont choisi de ne pas rejeter le texte, et notamment l’article 1 ouvrant la PMA à toutes les femmes, afin de montrer que le Sénat avait vraiment sa place dans ce débat. Leur crainte était qu’en supprimant l’article 1, ce qui aurait pu se faire si l’on analyse le résultat du scrutin, ils n’apportent pas leur pierre à l’édifice. Ils ont donc voté l’article 1 par 160 voix contre 116. A partir de là, ils ont travaillé sur les conséquences de cet article 1, en espérant que leurs modifications seraient retenues par l’Assemblée Nationale en raison de leur bonne volonté.
Les sénateurs sont donc revenus sur des points importants de l’assistance médicale à la procréation
• Ils ont écarté la PMA pour couples de femmes et femmes seules du remboursement par la Sécurité sociale, au motif que la prise en charge par l’assurance maladie devait être accordée aux seules demandes fondées sur des indications médicales
• Ils ont supprimé la possibilité de l’autoconservation des gamètes, par crainte du risque de pression sur les femmes pour retarder une grossesse et de tromper les femmes en leur proposant une « assurance grossesse » sans aucune certitude de réussite
• Ils ont rétabli l’interdiction du double don de gamètes, pour que l’enfant ait au moins une ascendance biologique avec ses parents
• Ils ont interdit l’établissement de deux filiations maternelles ou paternelles à l’égard d’un même enfant, alors que l’Assemblée nationale prévoyait une reconnaissance conjointe des 2 femmes devant notaire. Ils ont proposé à la place que l’on modifie les conditions requises pour l’adoption pour permettre l’adoption de l’enfant par la mère d’intention
• Ils ont interdit la transcription totale de l’acte de naissance ou du jugement étranger établissant la filiation d’un enfant né d’une GPA lorsque la mère est autre que celle qui accouche, tout en acceptant la transcription des jugements d’adoption étrangers.
Les sénateurs n’ont pas voulu suivre l’Assemblée nationale sur la levée totale de l’anonymat. Ils ont donc voté que le recueil du consentement du donneur se ferait lors de la demande d’accès à son identité par une personne née de ce don et devenue majeure, et non avant le don. La levée de l’anonymat ne serait donc plus systématique et dépendra de la bonne volonté du donneur, 18 ans après le don, créant ainsi des inégalités pour les enfants issus du don.
Dans le domaine de la recherche, la commission spéciale du Sénat, dont près d’un tiers des membres sont médecins ou pharmaciens, avait considérablement aggravé le texte venant de l’Assemblée. Ces membres ont fortement influencé les votes dans le sens de l’élargissement des recherches, exprimant la crainte que la recherche française ne prenne du retard sur d’autres pays. Est-il prudent que tant de sénateurs, professionnels de la santé -et donc juges et parties- aient été nommés membres de cette commission ? Certaines de ces dispositions ont heureusement été revues dans l’hémicycle :
• Les sénateurs ont ainsi rétabli l’interdiction de la création d’embryons transgéniques et chimériques
• Ils ont confirmé l’interdiction du diagnostic préimplantatoire avec recherche des anomalies chromosomiques, contre la commission spéciale
• Ils ont confirmé l’interdiction de recourir aux tests génétiques exclusivement à visée généalogique, contre la commission spéciale
• Ils ont supprimé la possibilité ouverte par la commission spéciale d’un dépistage préconceptionnel en l’absence de symptômes ou d’antécédents familiaux
D’autres dispositions ont, au contraire, aggravé le texte de l’Assemblée nationale :
• Les sénateurs ont étendu, à titre dérogatoire, le délai limite de développement in vitro des embryons surnuméraires à 21 jours
• Ils ont réintroduit la technique du « bébé-médicament » supprimée par l’Assemblée nationale
• Ils ont confirmé l’ouverture faite par la commission spéciale de la possibilité de tests génétiques en première intention dans le cadre du dépistage néonatal
• Ils ont supprimé la clause de conscience spécifique adoptée par l’Assemblée nationale pour les professionnels de santé : sage-femme, infirmier(e), auxiliaire médical en matière d’interruption médicale de grossesse, contre l’avis de la Ministre.
Le Sénat a enfin ouvert l’autorisation aux femmes accouchant en France de conserver à leurs frais le sang et les tissus du cordon ombilical.
Le texte voté par le Sénat est donc très différent de celui de l’Assemblée sans vraie lisibilité de sa logique interne propre. Si, globalement, les mesures autour de la recherche sur l’embryon sont plus encadrées dans cette nouvelle mouture, le vote de la mesure emblématique de la PMA signe l’incompréhension de la logique d’ensemble du texte par la majorité sénatoriale. En effet, cette mesure ouvre larges les portes de la procréation technique et marchande.
Les désirs individuels d’accès à la maternité, encouragés par la loi de 2013, sont à nouveau provoqués mais se heurteront encore au réel. Cette fois-ci celui de la rareté des donneurs de sperme, provoquant une inévitable course en avant : achat de sperme ou rétribution des donneurs. Ce que les parlementaires n’endiguent pas aujourd’hui sera encore plus difficile à refuser demain.
Voir la « Liste des Sénateurs qui ont voté pour la PMA sans Père » le 4 février 2020 se présentant aux « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 » (162 sénateurs ont voté pour, 37 se sont abstenus et 23 n’ont pas pris part au vote) pour leur écrire afin qu'ils suppriment cette loi satanique !
Dimanche 8 mars 2020 : Alliance VITA mobilisée pour défendre la cause des femmes face aux défis bioéthiques
À l’occasion de la journée internationale de la femme, Alliance VITA tient à rappeler combien les femmes sont la cible de pressions au cœur des débats bioéthiques et d’un business au niveau mondial.
La femme est la première à payer le prix du « droit à l’enfant »
Dans de trop nombreux pays encore, la femme est réduite à une forme d’esclavage moderne, pour être « mère porteuse » avec la Gestation par autrui (GPA). Pour de l’argent, son corps est mis à disposition de « médecins procréateurs » pour être inséminé et porter un enfant qu’elle devra abandonner à des clients. Dans certains pays, ce sont ses ovocytes, qui sont mis à prix pour satisfaire la demande d’un droit à l’enfant. Un business qui se nourrit de la pauvreté de certaines jeunes femmes en bonne santé acceptant des traitements hormonaux et une intervention médicale de ponction qui n’ont rien d’anodin pour leur santé.
La femme est la première à payer le prix des injonctions sociétales
Beaucoup de femmes confient leur difficulté à accueillir une grossesse face aux pressions sociales, économiques, ou professionnelles.
En même temps, en France, les parlementaires débattent de la congélation ovocytaire, sans raison médicale. Il s’agit en réalité d’une défaite pour les femmes, à qui l’on proposerait une emprise médicale croissante, des traitements médicaux pour artificialiser leur maternité, avec à la clé une fausse promesse d’assurance maternité : 3 femmes sur 4 n’auraient pas d’enfant à l’issue.
Par ailleurs, nous avons été témoins, en 2013, du scandale qu’ont provoqué des sociétés américaines en proposant de rembourser la congélation ovocytaire à leurs employées américaines et, ce faisant, tirant profit de leur force de travail alors qu’elles sont encore jeunes. Nous sommes devant un risque majeur d’entrave à la maternité par la pression socio-économique.
Alliance VITA demande aux pouvoir publics de favoriser les conditions sociales qui permettent aux femmes de concilier études, entrée dans la vie professionnelle et maternité.
« Les femmes sont soumises actuellement à une double pression contradictoire concernant leur capacité à la maternité. Ce n’est pas aux femmes à s’adapter à une société de plus en plus déconnectée des réalités féminines. Au contraire, l’urgence est d’intégrer la capacité à la maternité comme une richesse pour l’implication des femmes dans la société » (Caroline Roux, Déléguée générale adjointe d’Alliance VITA)
Dimanche 8 mars 2020 : « Les femmes ne sont pas à louer ! Ni pour 1heure ni pour 9 mois ! »
À l’occasion de la journée internationale de la femme du Dimanche 8 mars 2020, « #MarchonsEnfants » a organisé une action FLASH à 15h00 devant l’Assemblée Nationale : « 100 Mariannes pour dénoncer la marchandisation du corps humain en ce 8 Dimanche 8 mars ! »
« 100 Mariannes pour dénoncer la marchandisation du corps humain en ce 8 mars ! Parlementaire vous devez protéger les droits des femmes ! Journée pour la dignité des droits des femmes ! » (#MarchonsEnfants)
« Les femmes ne sont pas à louer ! Ni pour 1h ni pour 9 mois ! Comment peut-on considérer normal la location du ventre ou du corps de la femme ? » (#MarchonsEnfants)
« La GPA s’attaque à la maternité ! Être mère ce n’est pas un CDD, ce n’est pas job à temps partiel ! » (#MarchonsEnfants)
« Finalement qu’est-ce que la GPA sinon une grossesse délocalisée, une grossesse que l’on sous-traite. Il faut arrêter cette violence faite aux femmes et aux enfants. Non la maternité n’est pas une prestation. La maternité n’est pas un CDD ! » (#MarchonsEnfants)
« La GPA s’attaque à la maternité. Toutes les mères le savent, une femme n’est pas maman juste au moment de l’accouchement. Elle devient maman quand elle tombe enceinte et jusqu’à son dernier souffle. Etre mère, ce n’est pas un CDD, ce n’est pas un job à temps partiel ! » (#MarchonsEnfants)
« Emmanuel Macron en refusant de vous opposer à ce projet de loi vous allez permettre que des enfant soient délibérément privés de leur père, vous êtes co-auteur du drame qui est en train de se jouer ! » (#MarchonsEnfants)
« Mariannes, il est temps de mettre vos bâillons parce que vous n’êtes pas écoutées depuis trop longtemps ! » (#MarchonsEnfants)
« Est-ce cela l’égalité : priver un enfant de son père, éjecter les pères de la filiation, considérer le corps de la femme comme une marchandise ? » (#MarchonsEnfants)
« Emmanuel Macron, Edouard Philippe, Marlene Schiappa, les membres du gouvernement ou les députés et sénateurs LREM… tous n’ont que le mot « égalité » à la bouche. Mais quoi de pire, en termes d’inégalité, que la pratique des mères porteuses ? » (#MarchonsEnfants)
« Cette loi représente un danger pour les enfants. Cette loi organise un véritable mensonge : vouloir faire croire aux enfants qu’on peut être issu de deux mères est un mensonge d’état ! » (#MarchonsEnfants)
« La GPA consiste à utiliser des femmes comme outils de production d’enfants. Subissant de traitements hormonaux pour produire un maximum d’ovocytes, soumises aux exigences de commanditaires, des femmes sont louées, exploitées, instrumentalisées ! » (#MarchonsEnfants)
« La France, silencieusement, est en train de reconnaître la GPA, dès lors qu’elle est pratiquée à l’étranger : comme si la dignité des femmes d’autres pays n’était pas égale à celle des Françaises ! » (#MarchonsEnfants)
« Quel monde voulons-nous pour demain ? Il y aura d'un côté un monde de déracinés, soumis aux désirs, et donc à l'argent, sans solidarité et sans repères. De l’autre il y aura un monde attaché à la famille, à la condition humaine, à ses limites mais donc à sa grandeur » (#MarchonsEnfants)
« Monsieur le Président, soyez à la hauteur de la tâche qui vous est confiée. Ne vous laissez pas impressionner par cette tyrannie de la bien-pensance qui nous fait croire que la liberté et l’égalité sont la satisfaction de nos désirs et peu importe si cela nuit au plus faible » (#MarchonsEnfants)
« A Lyon contre la marchandisation des corps ! » (LaManifPourTous, Lyon, LMPT69)
« Dix Mariannes à Lille pour demander l’abolition universelle de la gestation pour autrui » (#MarchonsEnfants)
Retour sur l’action des Mariannes à Plouha, dans les Côtes-d’Armor : « Je ne suis pas à louer, ni pour 1h ni pour 9 mois ! » (#MarchonsEnfants)
« Je ne suis pas un outil de production à Nîmes pour dire non à l’esclavage qu’est la GPA ! » (#MarchonsEnfants)
A Montpellier rond-point du grand M : « Pour le retrait de la loi ni bio ni éthique ! La dignité des femmes n’a pas de frontière ! » (#MarchonsEnfants)
A Tours : « Parce que la République doit protéger tous ses enfants ! » (#MarchonsEnfants)
A Toulouse : « Nous demandons le retrait du projet de loi bioéthique ! » (#MarchonsEnfants)
Ludovine de La Rochère, Présidente de « La Manif Pour Tous », explique : « En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, nous souhaitons dénoncer l’horreur de la GPA, c’est-à-dire la pratique des mères porteuses. Le business de la procréation et de la filiation-fiction est intolérable et contraire aux droits des femmes, à leur dignité et à celle des enfants. La République doit protéger tous ses enfants et le gouvernement doit agir avec ambition pour mettre un terme à ces dérives dont les femmes sont les premières victimes. Loin d’encourager le recours à la GPA en le favorisant petit à petit, le projet de loi bioéthique est l’occasion de dire non à la marchandisation et à l’exploitation des femmes. C’est le sens de la mobilisation devant l’Assemblée nationale ».
On Ne Lâche Rien ! ONLR !!!
Dans quelques semaines, à l’Assemblée Nationale, les députés débattront du projet de loi « bioéthique » et choisir en leur âme et conscience :
- promouvoir la filiation sans père,
- préserver le 1er droit de l’enfant : celui de connaître son père et sa mère et d’être élevé par eux.
Ce projet de loi retire des droits aux enfants, et génère de nouvelles inégalités entre ceux qui auront un père et ceux qui en auront été privés par la loi. La position des députés et du Président de la République est déterminante pour notre avenir à tous. La filiation humaine et la non-marchandisation du corps humain sont sur la sellette. A ce jour, le projet de loi dit « bioéthique » n’est pas adopté. Il peut être encore rejeté !
ON NE LACHE RIEN, JAMAIS !!!
Parce que le Président de la République doit retirer le projet de loi bioéthique, rendez-vous mardi 17 mars 2020 à 19h30 Place Clemenceau !