« Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :


Parole de Dieu pour cette Messe de la Sainte Famille : Amoureuse connaissance « le texte de l'évangile de cette fête est déconcertant, car il nous présente une famille en proie aux doutes et à l'inquiétude face à la disparition de l'Enfant. La Réponse de Jésus accentue ce sentiment par Sa surprise devant leur incompréhension : « Comment se fait-il que vous m'ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père ? » Cet épisode, en fin de compte si ordinaire dans la vie d'une famille humaine, dévoile une question fondamentale : comment nous connaissons-nous vraiment, entre parents et enfants, entre frères et sœurs, entre amis et relations diverses ? Ici, la Première Lettre de Saint Jean apporte une réponse. C'est par l'amour que nous connaissons en vérité ; et cette connaissance selon l'amour vient de Dieu. Le creuset de la vie familiale, dont la Sainte Famille nous est donnée comme Modèle, est de pouvoir cheminer ensemble dans l'amour pour apprendre à se connaître et à nous connaître en vérité devant Dieu et devant les hommes. Cet apprentissage de l'amour est exigeant et ne fait pas l'économie d'incompréhensions ou de blessures, mais il produit la vie en abondance. Le chemin de la vie portée par le Commandement de nous aimer les uns les autres est un itinéraire de liberté et de bonheur, car Il est le Chemin du Christ, Dieu fait homme, l'Emmanuel parmi nous. Qu'en ce Temps de Noël, portée par l'Esprit de Dieu, nos familles continuent d'être le creuset de cet apprentissage salutaire » (Père Sylvain Brison)

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La Méditation pour la Messe de la Sainte Famille en 2021 (année C) : La Sainte Famille, un Modèle à suivre ? La Sainte Famille n'est pas une famille comme les autres. Comment pourrait-Elle l'être? Il fallait que la Mère du Messie soit vierge, selon l'une des traductions possibles du prophète Isaïe, et que son père soit descendant de Juda, comme le rappelle Saint Jean. Cependant, il fallait aussi qu’Il soit Le Fils de Dieu. Marie est la nouvelle Eve, et l’Acclamation de celle-ci : « j'ai acquis un homme de par le Seigneur », ne pouvait pas ne pas être aussi la Sienne. Être la Famille du Messie, ça ne s’improvise pas. C’est l'aboutissement des Promesses de Dieu, auxquelles personne ne comprenait rien jusqu'à ce qu'elles se réalisent. Du coup, forcément, se réclamer de la Sainte Famille comme d'un Modèle de projet de vie, c’est un peu compliqué, pour ne pas dire totalement illusoire. Cependant, tout n'est pas inimitable, bien au contraire. L'une des premières caractéristiques des Parents de Jésus, c'est leur familiarité assumée avec Dieu, à travers la connaissance des Saintes Ecritures, la pratique religieuse, et l'obéissance habituelle à ses Commandements. Quand l'ange apparaît à Marie pour Lui dire qu'Elle sera la Mère du Très-Haut, Elle n'est pas surprise de le voir (c'est pourtant quelque chose d'étonnant), mais de sa formule de Salutation, parce qu'Elle comprend immédiatement ce que cela signifie, ce qui n'a pourtant rien d'évident. On peut dire la même chose de Saint Joseph pour la docilité à Dieu : qu'un ange lui apparaisse en rêve pour lui dire quelle est la Volonté de Dieu, et il obéit dès son réveil. Pas de rébellion, pas de doutes : ce que Dieu lui demande de faire, il le fait sans rechigner. Personne ne peut agir ainsi sans être, depuis longtemps, dévoué à Dieu. Ainsi ce couple, que rien ne distingue, extérieurement, de n'importe quel autre couple, a cependant la caractéristique remarquable d'être formé à l'Amour et la Connaissance de Dieu. On ne peut pas Les imiter pour ce qui est des visites d'anges, mais pour ce qui est d'aimer Dieu et de s'efforcer de vivre fidèlement selon ses Enseignements, rien ne nous en empêche. Une autre caractéristique qui, de nos jours, ressort particulièrement, c'est la dévotion que ces parents ont pour leur fils. Pour lui sauver la vie, ils n'hésitent pas à s'expatrier, et à recommencer à partir de rien. Pour son éducation religieuse, une fois que le danger est passé et à la demande de l'ange, ils abandonnent tout une fois de plus pour revenir vivre à Nazareth. Bref, leur enfant n'est pas pour eux un fardeau, un boulet qui entraverait leur liberté : il est au contraire ce qu'ils ont de plus précieux, et pour la vie duquel ils sont prêts à tout sacrifier, sans que ça soit même un sujet de discussion. A une époque où les enfants sont souvent vus comme les concurrents d'une liberté de vivre sans avoir à assumer aucune responsabilité familiale, l'Exemple qu'ils nous donnent n'est pas anodin, et peut Lui aussi être suivi. Cependant, s'ils sacrifient tout pour Jésus à plusieurs reprises, ça ne signifie pas qu'ils en font un enfant roi, qui dirigerait tout dans la maison, alors même qu'Il est, en réalité, le Fils de Dieu. Au contraire, Il leur est soumis et obéissant. Ils sont ses parents, pas ses copains, et ils sont chargés de son éducation professionnelle et religieuse, ce dont ils s'acquittent avec justesse. Ils le mènent aux pèlerinages, et lui inculquent les notions d'amour et de fidélité à Dieu, Le faisant grandir en taille, en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes. Ils ne le comprennent pas toujours (mais qui comprend ses enfants en tout ?), mais quand il y a des incompréhensions, ça se passe sans cris, dans la bienveillance de la recherche de ce qui est le meilleur pour Lui. On note encore ici l'amour de ses parents, dont la vie n'est pas en concurrence avec la Sienne, mais Lui est dévouée. Ils ne se contentent pas de Le nourrir, ils L'éduquent. Voilà encore une inspiration qui est loin d'être superflue. On ne peut pas tout imiter de la Sainte Famille. La Virginité perpétuelle de Marie et la chasteté de Saint Joseph en font une Famille relativement inhabituelle. Mais ça nous rappelle que l'amour ne passe pas nécessairement par la sexualité, ce qui n'est pas non plus sans intérêt, dans un monde où absolument tout est sexualisé, sans plus de limite ni d'espace laissés à d'autres formes d'amour. L'amour et la fidélité à Dieu suffisent à combler toute vie, et peuvent donner à la nôtre aussi toute sa dignité et tout son intérêt. N'est-ce pas là, en définitive, ce que la famille dans laquelle Dieu est devenu l'un de nous, nous enseigne de plus important ? » (Père Fabrice Chatelain)


Signe-de-Croix Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.


Antienne d'ouverture de la « Messe de la Sainte Famille » :

« Les bergers vinrent en hâte, et ils découvrirent Marie et Joseph, avec le Nouveau-Né couché dans la mangeoire » .(Lc2, 16)


Prière d'ouverture de la « Messe de la Sainte Famille » :

« Tu as voulu, Seigneur Dieu, que la Sainte Famille nous soit donnée en Exemple ; accorde-nous, dans ta Bonté, de pratiquer, comme Elle, les vertus familiales et d'être unis par les liens de ton Amour, afin de goûter la Récompense éternelle dans la joie de ta Maison. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur »


Lectures de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :


Première Lecture du Premier Livre de Samuel (1 S 1, 20-22.24-28) de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

« Samuel demeurera à la disposition du Seigneur tous les jours de sa vie »

« Elcana s’unit à Anne sa femme, et le Seigneur se souvint d’elle. Anne conçut et, le temps venu, elle enfanta un fils ; elle lui donna le nom de Samuel (c’est-à-dire : Dieu exauce) car, disait-elle, « Je l’ai demandé au Seigneur. » Elcana, son mari, monta au sanctuaire avec toute sa famille pour offrir au Seigneur le sacrifice annuel et s’acquitter du vœu pour la naissance de l’enfant. Mais Anne n’y monta pas. Elle dit à son mari : « Quand l’enfant sera sevré, je l’emmènerai : il sera présenté au Seigneur, et il restera là pour toujours. » Lorsque Samuel fut sevré, Anne, sa mère, le conduisit à la maison du Seigneur, à Silo ; l’enfant était encore tout jeune. Anne avait pris avec elle un taureau de trois ans, un sac de farine et une outre de vin. On offrit le taureau en sacrifice, et on amena l’enfant au prêtre Éli. Anne lui dit alors : « Écoute-moi, mon seigneur, je t’en prie ! Aussi vrai que tu es vivant, je suis cette femme qui se tenait ici près de toi pour prier le Seigneur. C’est pour obtenir cet enfant que je priais, et le Seigneur me l’a donné en réponse à ma demande. À mon tour je le donne au Seigneur pour qu’Il en dispose. Il demeurera à la disposition du Seigneur tous les jours de sa vie. » Alors ils se prosternèrent devant le Seigneur. »

Le sens de cette Première Lecture du Premier Livre de Samuel (1 S 1, 20-22.24-28) : Anne avait fait un vœu : si Dieu me donne un fils, je le Lui consacrerai. C'est l'accomplissement de ce vœu que nous lisons ici. Le petit Samuel passa donc toute sa petite enfance auprès de sa maman, puis quand il fut sevré, vers l'âge de trois ans environ, elle l'emmena au Sanctuaire de Silo (à trente kiLomètres au nord de Jérusalem), au service du prêtre Éli.


Psaume 83 (Ps 83 (84), 2-3, 5-6, 9-10) de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

R/ Heureux les habitants de ta Maison, Seigneur ! (cf. Ps 83, 5a)

De quel amour sont aimées Tes demeures,
Seigneur, Dieu de l’univers.
Mon âme s’épuise à désirer les parvis du Seigneur ;
Mon cœur et ma chair sont un cri vers le Dieu vivant !

Heureux les habitants de Ta maison :
Ils pourront Te chanter encore !
Heureux les hommes dont Tu es la force :
Des chemins s’ouvrent dans leur cœur !

Seigneur, Dieu de l’univers, entends ma prière ;
Ecoute, Dieu de Jacob.
Dieu, vois notre bouclier,
Regarde le visage de ton Messie.


Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Jean (1 Jn 3, 1-2.21-24) de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

« Nous sommes appelés Enfants de Dieu – et nous Le sommes »

« Bien-aimés, voyez quel grand Amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés Enfants de Dieu – et nous Le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes Enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous Lui serons semblables car nous Le verrons tel qu’Il est. Bien-aimés, si notre cœur ne nous accuse pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que nous demandions à Dieu, nous le recevons de Lui, parce que nous gardons ses Commandements, et que nous faisons ce qui est agréable à Ses yeux. Or, voici son Commandement : mettre notre foi dans le Nom de son Fils Jésus Christ, et nous aimer les uns les autres comme Il nous l’a commandé. Celui qui garde ses Commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui ; et voilà comment nous reconnaissons qu’Il demeure en nous, puisqu’Il nous a donné part à son Esprit ».

Le sens de cette Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Jean (1 Jn 3, 1-2.21-24) : Saint Jean nous fait partager son émerveillement devant le Projet de Dieu : le Tout-Puissant a, de toute éternité, prévu de faire de nous Ses enfants, Ses héritiers. C'était déjà inscrit dans le Livre de la Genèse (« Faisons l'homme à notre Image, selon notre Ressemblance » (Gn 1, 26), mais, désormais, depuis la Résurrection du Christ, le Projet est entré dans sa phase ultime : « Voyez quel grand Amour nous a donné le Père ». L'émerveillement de Jean est celui de tout croyant : le « monde » au sens de Jean (c'est-à-dire résolument non croyant) ne peut le partager.


Alléluia ! Alléluia !

« Seigneur, ouvre notre cœur pour nous rendre attentifs aux Paroles de ton Fils » (cf. Ac 16, 14b)

Alléluia !

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Saint Évangile de Notre Seigneur Jésus Christ selon Saint Luc (Lc 2, 41-52) de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :


« Les Parents de Jésus Le trouvèrent au milieu des docteurs de la Loi »

« Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Quand Il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents. Pensant qu’Il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de Le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne Le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à Le chercher. C’est au bout de trois jours qu’ils Le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : Il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui L’entendaient s’extasiaient sur Son intelligence et sur Ses réponses. En Le voyant, Ses parents furent frappés d’étonnement, et sa Mère Lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-Tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en Te cherchant ! » Il leur dit : « Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? » Mais ils ne comprirent pas ce qu’Il leur disait. Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et Il leur était soumis. Sa Mère gardait dans son Cœur tous ces événements. Quant à Jésus, Il grandissait en sagesse, en taille et en grâce, devant Dieu et devant les hommes ».


Credo


Prière Universelle de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

R/ Prions, frères et sœurs : Jésus Christ, le Seigneur, qui, pour sanctifier la famille, a voulu participer à la vie d'un foyer humain

Pour que le Seigneur, qui a voulu participer à la vie de la famille dans la maison de Marie et Joseph, garde toutes les familles chrétiennes dans la paix et l'harmonie, prions le Seigneur. R/

Pour que les mariés ressentent la Présence de Dieu dans l'expérience de l'amour mutuel et pour que les fiancés se préparent saintement à leur Mariage, prions le Seigneur R/

Pour les familles brisées, afin qu'elles trouvent le Réconfort en Dieu, l'Amour véritable, prions le Seigneur. R/

Pour que nous nous efforcions de vivre en paix et en harmonie avec nos familles et les membres de notre communauté, en surmontant nos désaccords avec gentillesse, compréhension et charité fraternelle, prions le Seigneur. R/


Prière sur les Offrandes de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

« En T'offrant, Seigneur, le Sacrifice qui nous réconcilie avec toi, nous Te supplions humblement : à la Prière de la Vierge, la Mère de Dieu, et à la Prière de Saint Joseph, affermis nos familles dans ta Grâce et dans ta Paix. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur »


Préface de l’Avent II de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :
Vraiment, il est juste et bon de Te rendre gloire, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, à Toi, Père très Saint, Dieu Éternel et Tout-Puissant, par le Christ, Notre Seigneur. Il est Celui que tous les Prophètes avaient annoncé, Celui que la Vierge Mère attendait dans le Secret de son Amour, Celui dont Jean Baptiste a proclamé la Venue et manifesté la Présence. C'est Lui qui nous donne la Joie d'entrer déjà dans le Mystère de Noël, pour qu'Il nous trouve, quand Il viendra, vigilants dans la prière et remplis d'allégresse. C'est pourquoi, avec les anges et les archanges, avec les Puissances d'en Haut et tous les Esprits bienheureux, nous chantons l'hymne de ta Gloire et sans fin nous proclamons : ...

« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »

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Antienne de la Sainte Communion de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

« Notre Dieu est apparu sur la terre et Il a vécu parmi les hommes » (cf. Ba 3,38)


Voir l’Acte de Communion Spirituelle afin de permettre aux Fidèles Catholiques de Communier spirituellement face au Coronavirus dans un Jeûne Eucharistique en ce Temps de dictature vaccinale « Seigneur Jésus, puisque je suis empêché de Te recevoir sacramentellement » composé par Monseigneur Raymond Centène. Voir également la Prière du Cardinal Rafael Merry del Val pour une Communion Spirituelle « Ô mon Jésus, dans l’attente du bonheur de la Communion sacramentelle, je veux Te posséder en esprit » prononcée par le Pape François lors de sa Messe matinale à Sainte-Marthe le lundi 23 mars 2020.


Prière après la Sainte Communion de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») :

« Tu refais nos forces, Père très aimant, par le Sacrement du Ciel : donne-nous de toujours imiter les vertus de la Sainte Famille et, après les épreuves de cette vie, d'obtenir avec Elle le Bonheur sans fin. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur »


Et que Dieu Tout-Puissant, vous bénisse...
Signe-de-Croix Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.


V/ Ite Missa est.
R/ Deo gratias.

V/ Allez, dans la Paix du Christ.
R/ Nous rendons Grâce à Dieu.



Vidéo de la « Messe de la Sainte Famille » du 26 décembre 2021 (année « C ») célébrée et prêchée par Monsieur le Chapelain Don Jean-Xavier Salefran (csm), Vice-recteur du Sanctuaire de Lourdes :