Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire
Voici en vidéo la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » du Dimanche 14 août 2022 (année C), célébrée et prêchée au Sanctuaire de Lourdes par Monsieur le Chapelain Don Julien Fafart (CSM) avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Antiennes, Prières, Lectures, Psaume, Évangile, Préface des Dimanches du Temps Ordinaire IV, …) pour les Catholiques qui ne peuvent pas participer physiquement au Saint Sacrifice de la Sainte Messe.
« Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
Jésus se présente à nous dans l'Évangile comme un Signe de contradiction entre les hommes : au sein même des familles on se divise à Son sujet. Il en allait déjà ainsi des Prophètes, comme en témoigne la Première Lecture, qui décrit les violences subies par Jérémie. L'Épître continue à évoquer la foule immense de ceux qui ont mené le combat de la Foi. Nous devons tenir dans la fidélité, en luttant contre le péché, « les yeux fixés sur Jésus ». Il est « à l'origine et au terme de la Foi » ; Il nous a appris à résister jusqu'au sang.
Parole de Dieu pour ce 20ème Dimanche du Temps Ordinaire (année « C ») : Feu Divin « Je suis venu apporter un Feu sur la terre, et comme je voudrais qu'Il soit déjà allumé ! » L'ardeur brûlante de la mission en vue du Salut n'aurait pu trouver de plus belle image que ce Feu Divin annoncé par Jésus. Bien sûr, le feu est une figure dangereuse à bien des égards et ambivalente dans ses significations. Mais il est bon aujourd'hui, alors que le sens de l'Évangile est si difficile à pénétrer, de laisser résonner en nous cette figure dont la Bible nous parle abondamment. Notre Dieu est un Feu dévorant (ls 33, 14) qui brûle le cœur des disciples comme celui de Cléophas sur le chemin d'Emmaüs (cf. Lc 24, 32). C'est ce même Feu qui descend sur les Apôtres à la Pentecôte et enflamme leurs Paroles (cf. Ac 2, 3-4). C'est déjà ce Feu qui, sans consumer le buisson, révéla le Nom Divin à Moïse dans le désert (cf. Ex 3, 2) et qui, dans le tourbillon de la Nuée Lumineuse, protégea Israël de la vengeance des Égyptiens (cf. Ex 14, 20.24). C'est dans le Feu qu'Élie fut élevé au Ciel (cf. 2 R 2, 11) et c'est du Feu du Sanctuaire que la braise fut prise pour purifier les lèvres du Prophète Isaïe (cf. 15 6, 6). C'est encore ce même Feu que David invoque en demandant, dans le Psaume, que le Seigneur passe au Feu ses reins et son cœur pour vérifier sa fidélité (cf. Ps 25, 2). C'est toujours ce Feu de l'Amour Divin qui est appelé à dévorer la poutre et la paille qui sont dans nos yeux (cf. Mt 7, 3-5). Puisse donc ce Feu embraser nos vies pour que l'Œuvre de Dieu s'accomplisse pleinement et nous entraîne à témoigner de son Amour qui transforme mystérieusement le monde en Royaume de Paix » (Père Sylvain Brison)
Méditation Dominicale pour ce 20ème Dimanche du Temps Ordinaire (année « C ») : Prière au coin du feu, mais dans le Feu ! « Plus j'examine de près les Paroles du Christ, Sa méthode et Son style d'enseignement, plus je me rends compte qu'Il entend former le cœur humain avec des Paraboles, de véritables petites saynètes très bien construites qui n'ont pas grand-chose à voir avec les homélies qu'habituellement nous offrons à nos paroissiens. En outre, avec Son génie créatif, Il développe en principe une seule idée à laquelle Son auditoire tenu en haleine est presque obligé de se rendre. Cependant, il Lui arrive - et c'est là que je veux en venir aujourd'hui - d'adopter un autre genre, celui de la prière ou des exclamations qui jaillissent du plus intime. Je vous en cite une qui est célèbre et que vous connaissez bien : « Père, je Te loue d'avoir caché Cela aux sages et aux savants et de L'avoir révélé aux tout-petits ! » En s'adressant ainsi à son Père, on entend Sa prière et on reçoit ce qu'Elle contient de Vérité. Aujourd'hui, Jésus lance vers le Ciel et vers Son auditoire une pensée brûlante, et la voici : « Je suis venu jeter un Feu sur la terre et comme je voudrais que déjà Il soit allumé ». Ce Feu, c'est évidemment le Feu de l'Amour Divin. Jésus rêve, en effet, que tout l'univers, se sachant aimé de Dieu, s'embrase d'Amour : « Aimez mon Père, je vous en supplie, dit-Il au fond, et aimez-vous les uns les autres comme je vous aime ». Seulement, voilà, s'Il parle au conditionnel -« Comme je voudrais que déjà ce Feu soit allumé ! » -, c'est qu'Il ne L'est pas encore ! Eh oui ! N'ayons pas peur de nous avouer la Vérité : après deux mille ans de Christianisme, nous sommes bien obligés de reconnaître que, malgré les efforts des hommes et les belles initiatives prises par les Saints, autrement dit par des hommes et des femmes très aimants, l'Amour ne règne pas encore en Maître ici-bas. C'est un désastre ! Entre nous, que de tensions, que de conflits, que de jugements abrupts, que de rivalités, que de jalousie, en un mot : que de bêtises et que de haine ! Aussi, il va falloir que vous et moi, nous nous mettions une bonne fois pour toutes à aimer, à aimer vraiment et avec démesure, avant que la mort ne vienne nous ravir. Rien n'est plus important ici-bas que l'Amour ! Bien sûr nous le savons ; mais autre chose est de le penser, autre chose est de le vivre. Certes, des actes d'amour, nous en posons tous, et c'est déjà bien ! Mais attention, l'Amour que le Christ exige de nous doit être apparenté au Feu ! Il ne s'agit pas d'aimer du bout des lèvres, d'être généreux, vertueux, fidèles dans nos attachements, il faut que tout cela soit vécu à l'état d'incandescence, avec joie, s'il vous plaît, et de manière permanente. Et que l'on ne dise pas ici que ce n'est pas possible ! Certes, il n'est pas toujours facile d'aimer qui n'est pas aimable, nous sommes bien d'accord. Mais que le cœur humain ne s'inquiète pas, car la Grâce du Christ est là pour l'assister, en soulevant notre nature toujours tentée par le repli et l'égoïsme. « Je suis venu jeter un Feu sur la terre, et comme je voudrais que déjà Il soit allumé ! » Allez, mes frères bien-aimés, je vous en prie : faisons plaisir au Christ, n'attendons pas les derniers jours de notre vie pour pleurer sur l'Amour que nous n'avons pas donné, sur la dureté de cœur qui, souvent, accompagne les pensées et les actes de notre vie. Mais quoi ! L'amour à offrir au Père, au Fils et au Saint-Esprit, ainsi qu'à notre Maman du Ciel, la Sainte Vierge, doit avoir les propriétés du feu : brûlant, réchauffant, contagieux, ardent et lumineux. Et par la suite, ce feu doit se répandre concrètement sur toutes les personnes que nous rencontrons et, par notre prière, sur l'ensemble de l'humanité qui n'a pas besoin d'être jugée, mais tout simplement estimée, respectée, aimée. Cet Amour démesuré qui s'apparente au Feu le plus dense, Jésus nous en a montré l'Exemple en se faisant torturer à coups de fouets et de crachats, tout en restant silencieux face à la haine de Ses enfants, jusqu'à mourir d'Amour pour eux, que dis-je, pour nous ! Et le plus fort dans cette affaire, c'est qu'à l'heure où nous Le rejoignons aujourd'hui dans l'Évangile, Il a hâte de voir se lever l'heure des ténèbres pour que l'Amour triomphe de tout mal ! Jésus nous avertit que, si nous allumons ce Feu dans notre propre existence, c'est-à-dire si chaque jour nous nous levons avec l'obsession d'aimer intensément et avec la plus grande gratuité Dieu notre Père ainsi que toutes les personnes que la Providence mettra sur notre route, nous allons entrer en conflit avec ceux qui ne partagent pas notre Foi. Et c'est inévitable puisque, en principe, les hommes éloignés de la Sagesse Divine travaillent pour leur pomme, construisent leur univers en donnant la priorité non pas à l'Amour, mais à la mise en œuvre de leurs intérêts particuliers : « Je pense à moi et, au mieux, à mes plus proches, que les autres se débrouillent ! » Comprenons ce mécanisme. Les êtres bloqués sur eux-mêmes et leurs besoins gardent en eux la nostalgie de la Bonté et du Don de soi. Aussi, quand ils voient l'un de leurs proches vivre l'Amour avec intensité, une sorte de violence intérieure les saisit. Au fond, ils s'en veulent, et voilà qu'ils accusent ceux qui vivent dans le Feu de se tromper de route. Et c'est la division en famille et quelquefois la mort de l'amitié. Jésus, le Prince de la Paix, apporte donc malgré Lui la guerre sur la terre ! Mais s'Il perd quelques batailles - car en effet des Chrétiens sont humiliés par leur entourage, voire rejetés par les leurs -, Il gagne la guerre, du moins, Il va la gagner si, vous et moi, nous acceptons dès aujourd'hui d'entrer dans le Feu, jusqu'à devenir « Feu », afin que toutes les personnes qui entreront en contact avec nous, se réchauffent au Soleil de Dieu. C'est donc bien compris ? Surtout pas de cendres ni de braises, fussent-elles scintillantes en notre vie ; c'est une grande Flambée que le Seigneur attend de nous. Allez, mettons-nous au travail, soyons les pyromanes de Dieu et tant pis si des conflits se lèvent : restons fidèles au Feu qui s'est allumé en nous au Jour de notre Baptême. Je bénis donc les flammes de votre cœur au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen » (Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine)
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Antienne d'ouverture de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Dieu, notre Protecteur, regarde : vois le Visage de ton Christ ; Un jour dans Tes parvis en vaut plus que mille » (cf. Ps 83, 10-11)
Prière d'ouverture de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Pour ceux qui T'aiment, Seigneur Dieu, Tu as préparé des Biens que l'œil ne peut voir : répands en nos cœurs la ferveur de ta Charité, afin que T'aimant en toute chose et par-dessus tout, nous obtenions de toi l'Héritage promis qui surpasse tout désir. Par Jésus Christ, ton Fils, notre Seigneur, qui vit et règne avec Toi dans l'unité du Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles. »
Lectures de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
Première Lecture du Livre du Prophète Jérémie (cf. Jr 15, 10 ; 38, 4-6.8-10) de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Ma mère, tu m’as enfanté homme de querelle pour tout le pays »
« En ces jours-là, pendant le siège de Jérusalem, les princes qui tenaient Jérémie en prison dirent au roi Sédécias : « Que cet homme soit mis à mort : en parlant comme il le fait, il démoralise tout ce qui reste de combattant dans la ville, et toute la population. Ce n’est pas le bonheur du peuple qu’il cherche, mais son malheur. » Le roi Sédécias répondit : « Il est entre vos mains, et le roi ne peut rien contre vous ! » Alors ils se saisirent de Jérémie et le jetèrent dans la citerne de Melkias, fils du roi, dans la cour de garde. On le descendit avec des cordes. Dans cette citerne il n’y avait pas d’eau, mais de la boue, et Jérémie enfonça dans la boue. Ébed-Mélek sortit de la maison du roi et vint lui dire : « Monseigneur le roi, ce que ces gens-là ont fait au Prophète Jérémie, c’est mal ! Ils l’ont jeté dans la citerne, il va y mourir de faim car on n’a plus de pain dans la ville ! » Alors le roi donna cet ordre à Ébed-Mélek l’Éthiopien : « Prends trente hommes avec toi, et fais remonter de la citerne le Prophète Jérémie avant qu’il ne meure ».
Le sens de cette Première Lecture du Livre du Prophète Jérémie (cf. Jr 15, 10 ; 38, 4-6.8-10) : Ce n'est pas la première fois que la Bible nous donne en exemple des étrangers plus respectueux de Dieu et de ses Prophètes que les membres du Peuple élu ! Ebed-Melek est un Éthiopien, donc un étranger, un païen. C'est lui qui sauvera Jérémie de la mort. Quand Jésus racontera plus tard la Parabole du Bon Samaritain (Lc 10, 29-37), peut-être pensait-Il à cet Ethiopien venu au secours du Prophète.
Psaume 39 (Ps 39 (40), 2, 3, 4, 18) de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
R/ Seigneur, viens vite à mon secours ! (cf. Ps 39, 14b)
D’un grand espoir, j’espérais le Seigneur : Il s’est penché vers moi pour entendre mon cri.
Il m’a tiré de l’horreur du gouffre, de la vase et de la boue ; Il m’a fait reprendre pied sur le roc, Il a raffermi mes pas.
Dans ma bouche Il a mis un chant nouveau, une louange à notre Dieu. Beaucoup d’hommes verront, ils craindront, ils auront foi dans le Seigneur.
Je suis pauvre et malheureux, mais le Seigneur pense à moi. Tu es mon Secours, mon Libérateur : mon Dieu, ne tarde pas !
Deuxième Lecture de la Lettre aux Hébreux (He 12, 1-4) de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée »
« Frères, nous qui sommes entourés d’une immense nuée de témoins, et débarrassés de tout ce qui nous alourdit – en particulier du péché qui nous entrave si bien –, courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée, les yeux fixés sur Jésus, qui est à l’origine et au terme de la Foi. Renonçant à la joie qui Lui était proposée, Il a enduré la Croix en méprisant la honte de ce supplice, et Il siège à la droite du Trône de Dieu. Méditez l’Exemple de Celui qui a enduré de la part des pécheurs une telle hostilité, et vous ne serez pas accablés par le découragement. Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang dans votre lutte contre le péché ».
Le sens de cette Deuxième Lecture de la Lettre aux Hébreux (He 12, 1-4) : Nos prédécesseurs dans la Foi nous laissent une consigne : garder résolument les yeux fixés sur Jésus. C'est en Lui que nous puiserons nos forces au jour le jour.
Alléluia ! Alléluia !
« Mes brebis écoutent ma Voix, dit le Seigneur ; moi, je les connais, et elles Me suivent » (cf. Jn 10, 27)
Alléluia !
Saint Évangile de Notre Seigneur Jésus Christ selon Saint Luc (Lc 12, 49-53) de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Je ne suis pas venu mettre la Paix sur terre, mais bien plutôt la division »
« En ce temps-là, Jésus disait à Ses disciples : « Je suis venu apporter un Feu sur la terre, et comme je voudrais qu’Il soit déjà allumé ! Je dois recevoir un Baptême, et quelle angoisse est la mienne jusqu’à ce qu’Il soit accompli ! Pensez-vous que je sois venu mettre la Paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais bien plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère ».
Credo
Prière Universelle de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
Élargissons notre supplication à la mesure de la Charité du Christ et présentons à Dieu les intentions de nos frères les hommes :
Pour le Pape, les Évêques et les Prêtres qui guident les hommes vers le Royaume.
Pour les Chefs d'État attentifs à la paix et au respect entre les nations.
Pour les personnes fragiles, les malades, les prisonniers, les affamés.
Pour les couples qui espèrent donner la vie.
Pour notre communauté rassemblée, que sa Foi soit affermie et son Espérance réveillée.
Écoute, Dieu Sauveur, les prières que Toi-même nous inspires et, dans ta Bonté, daigne les exaucer. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.
Prière sur les Offrandes de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Accueille, Seigneur, ce que nous présentons pour cette Eucharistie où s'accomplit un admirable échange : en offrant ce que Tu nous as donné, puissions-nous Te recevoir Toi-même. Par le Christ, notre Seigneur. »
Préface des Dimanches du Temps Ordinaire IV (L'histoire du salut) de la « Messe du 19ème Dimanche du Temps Ordinaire » 7 août 2022 (année « C ») :
Vraiment, il est juste et bon, pour ta Gloire et notre Salut, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, Seigneur, Père très Saint, Dieu éternel et tout-puissant, par le Christ, notre Seigneur. Par sa Naissance, Il a renouvelé la condition humaine destinée à vieillir ; par sa Passion, Il a effacé nos fautes ; par sa Résurrection d'entre les morts, Il a donné accès à la Vie éternelle ; et par son Ascension auprès de Toi, notre Père, Il a ouvert les portes du Ciel. C'est pourquoi, avec la multitude des anges et des Saints, nous chantons l'hymne de ta Gloire et sans fin nous proclamons : ...
« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »
Antienne de la Sainte Communion de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Je suis le Pain vivant, qui est descendu du Ciel, dit le Seigneur ; si quelqu'un mange de ce Pain, il vivra éternellement » (cf. Jn 6, 51)
Prière après la Sainte Communion de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») :
« Par ces Sacrements, Seigneur, Tu nous as unis au Christ, et nous implorons humblement ta Bonté : sur la terre, transforme-nous à son Image, pour que nous puissions partager Sa vie dans le Ciel. Lui qui vit et règne pour les siècles des siècles. »
V/ Allez, dans la Paix du Christ.
R/ Nous rendons grâce à Dieu.
Vidéo de la « Messe du 20ème Dimanche du Temps Ordinaire » 14 août 2022 (année « C ») célébrée et prêchée au Sanctuaire de Lourdes par Monsieur le Chapelain Don Julien Fafart (CSM) :