Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire
Voici en vidéo la « Messe du Septième Dimanche du Temps Ordinaire » du Dimanche 20 février 2022 (année C) célébrée et prêchée par Mgr André Dupuy, Archevêque Catholique Français qui fut Nonce Apostolique de 1993 à 2015 et désormais Chapelain au Sanctuaire de Lourdes avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Antiennes ; Prières ; Lectures 1 S 26, 2.7-9.12-13.22-23 et 1 Co 15, 45-49 ; Psaume 102 (103), 1-2, 3-4, 8.10, 12-13 ; Évangile selon Saint Luc 6, 27-38 ; Préface des Dimanches du Temps Ordinaire 7 : Sauvés par l'Obéissance du Christ ; …) pour les Catholiques qui ne peuvent ni participer au Saint Sacrifice de la Messe ni recevoir la Sainte Communion sur la langue en ce temps de dictature vaccinale au Covid
« Messe du 7e Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
Parole de Dieu pour cette Messe du Septième Dimanche du Temps Ordinaire (année « C ») : Soyez miséricordieux « L'actualité de la Page évangélique de ce Dimanche ne finira jamais d'étonner. Il serait même opportun de ne rien y ajouter. Il faut l'écouter et accepter qu'elle soit plus tranchante que le glaive. Elle parle d'elle-même et vient débusquer en nous toutes ces compromissions du quotidien, tous ces calculs et ces demi-mesures, desquels nous nous accommodons. « Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? » Une fois encore, l'apprentissage auquel le Christ nous appelle est celui du don. « Donnez et l'on vous donnera ». Le Don que le Christ fait de Lui-même ne doit-Il pas devenir la mesure de notre don personnel ? De ce fait, au cœur de la Messe, la préparation des offrandes représente une véritable catéchèse. En les apportant en procession et en les déposant sur l'Autel, c'est bien toute notre existence que nous présentons au Seigneur. Nous ne le faisons pas de manière abstraite ou mystique : il faut du pain et du vin, « fruits de la terre et du travail des hommes ». Il nous faut les reconnaître comme étant eux-mêmes le signe de la Prévenance de Dieu à notre égard. Ce qui vient d'abord, ce n'est pas le spirituel, mais le physique ; ensuite seulement vient le spirituel (2ème Lecture). Nous ne nous offrons pas en esprit, mais physiquement dans le signe du pain et du vin. Ce que nous apportons, c'est ce que Dieu nous a déjà donné. Bénis le Seigneur, ô mon âme, n'oublie aucun de ses Bienfaits ! Le psalmiste éveille ainsi notre cœur à cette logique. Ce que nous recevrons en Communion, c'est le Don du Don, le Christ comme Source de tout Don véritable. Comment alors retenir quoi que ce soit de notre vie ? » (Père Olivier Praud)
La Méditation pour la Messe du Septième Dimanche du Temps Ordinaire (année C) : Disciple du Christ J'ai souvent rencontré, en paroisse, des personnes persuadées d'être les disciples du Christ les plus fidèles que la terre ait portés : ils vont à la Messe, ne sont pas divorcés remariés, ne vivent pas dans la luxure, et parfois, cerise sur le gâteau de leurs propres critères, ils aiment la Messe en latin, ce qui fait d'eux des gardiens de l'histoire de la Liturgie et des gens probablement un peu supérieurs au vulgus pecum qui n'y comprend rien. Pardon pour tous ceux que j'ai piqués, j'avoue que je l'ai fait exprès. Mais ce n'est pas totalement gratuit. L'Évangile du jour nous mène au cœur de la Révélation de Jésus, de l'essence même de Ses enseignements. Que nous demande-t-Il ? D'aimer nos ennemis. De faire du bien à ceux qui nous maudissent, de prier pour ceux qui nous calomnient, de présenter l'autre joue, de ne pas refuser de se faire dépouiller, de ne pas réclamer à qui abuse de notre bonté. Nous avons tous entendu ces phrases dans l'Évangile. Mais les avons-nous prises au sérieux, avons-nous écouté, vraiment ? Attention, car elles ne sont pas périphériques à la foi chrétienne : elles en constituent, au contraire, la substantifique moelle. Au cours des siècles, il y a eu, à plusieurs reprises, des tentations de spiritualiser le dépôt de la foi. Il y avait d'un côté les « bons » Chrétiens, les « purs », les « spirituels »; ceux qui ont un rapport mystique à Dieu, qui se gardent de tout excès d'appétit sexuel, voire de tout acte ou de toute pensée du même genre ; qui connaissent les Saintes Écritures, qui ont étudié la Théologie, qui participent à la Liturgie. Bref, ceux que les derniers siècles appelleront, pour se moquer d'eux, des « grenouilles de bénitier », De l'autre côté, il y avait le peuple. Voilà. Tout est dit. Ceux qui ne peuvent pas prétendre. Qui ne connaissent rien. Qui seraient bien incapables de donner la définition de la Trinité, ou de comprendre des mots comme « parousie », « consubstantiel » ou « transsubstantiation ». Eh bien, chacune de ces tentatives s'est soldée par un cuisant échec, qu'il s'agisse des Gnostiques, des Cathares, des Jansénistes et j'en passe. Parce qu'elles n'ont que bien peu à voir avec le contenu des Évangiles. Qu'est-ce que Jésus enseigne à Ses disciples ? D'aimer même ceux qui ne nous aiment pas. De prêter sans attendre que l'on nous rende. De faire pour les autres ce que l'on voudrait qu'ils fassent pour nous. De faire du bien sans rien espérer en retour. De vouloir le bien même des ingrats et des méchants. D'être miséricordieux, de ne juger personne, de pardonner, de ne pas condamner, de donner sans se lasser. Qui agit ainsi sera fils ou fille du Très-Haut, et sa récompense sera grande. Jésus n'est pas obsédé par la morale sexuelle ni par les normes liturgiques. Il n'en parle pour ainsi dire jamais, ou seulement contraint et forcé, quand on exige de Lui des réponses, et ce n'est jamais pour faire la loi, bien au contraire : « Que Celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre », répondra-t-Il à ceux qui veulent juger la femme adultère. Il n'y a, en Jésus, nulle intention d'enseigner une Sainteté formelle, qui pourrait être basée sur des apparences de respectabilité ou sur un niveau social élevé. Il passe son temps à prêcher la Miséricorde, ne refuse pas la proximité de pécheurs et de pécheresses publiques, et les seules personnes qu'Il accuse de mal agir, ce sont ceux qui pensent être Saints juste parce qu'ils ont eu la chance d'être formés en matière de religion, et qui se trouvent trop supérieurs pour avoir à mettre en pratique le Commandement de l'amour du prochain. Qu’est-ce à dire que ceci ? La Théologie ou la Liturgie seraient-elles superflues, voire nocives ? Est-on d'autant plus Chrétien que l'on est plus ignorant ou éloigné de l'Église ? Certes non. Mais la Théologie et la Liturgie n'ont pour but que de nous expliquer quoi faire, et de nous aider à le mettre en pratique. C'est quand on sort de l'église que le combat spirituel commence, dans le quotidien de l'amour du prochain, selon que l'on s'efforce de le vivre ou que l'on se contente de le rêver. Le disciple du Christ, c'est celui qui met en pratique Sa volonté. Or, sa Volonté, c'est que l'Amour de Dieu et l'amour du prochain ne forment qu'un seul et unique Commandement. Que nous aimions Dieu par-dessus tout, certes, mais que nous aimions notre prochain comme nous-même. Sans jamais nous permettre de le juger, le condamner, le haïr ni le maudire. En le traitant avec miséricorde, générosité, bienveillance et pardon. Qui agit ainsi n’a rien à craindre du Jugement de Dieu parce qu'il agit, en vérité, dans l'imitation du Christ et l'obéissance à sa Parole » (Père Fabrice Chatelain)
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Antienne d'ouverture de la « Messe du Septième Dimanche du Temps Ordinaire » :
« Seigneur, j'ai mis mon espoir en ta Miséricorde ; mon cœur a exulté dans ton Salut ! Je chanterai le Seigneur pour le bien qu'Il m'a fait » (cf. Ps 12, 6)
Prière d'ouverture de la « Messe du Septième Dimanche du Temps Ordinaire » :
« Dieu Tout-Puissant, nous T'en prions : accorde-nous de conformer à ta Volonté nos paroles et nos actes dans une inlassable recherche des biens spirituels. Par Jésus-Christ, ton Fils, notre Seigneur, qui vit et règne avec Toi dans l'unité du Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles. »
Lectures de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
Première Lecture du Premier Livre de Samuel (1 S 26, 2.7-9.12-13.22-23) de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« Le Seigneur t’avait livré entre mes mains, mais je n’ai pas voulu porter la main sur le messie du Seigneur »
« En ces jours-là, Saül se mit en route, il descendit vers le désert de Zif avec trois mille hommes, l’élite d’Israël, pour y traquer David. David et Abishaï arrivèrent de nuit, près de la troupe. Or, Saül était couché, endormi, au milieu du camp, sa lance plantée en terre près de sa tête ; Abner et ses hommes étaient couchés autour de lui. Alors Abishaï dit à David : « Aujourd’hui Dieu a livré ton ennemi entre tes mains. Laisse-moi donc le clouer à terre avec sa propre lance, d’un seul coup, et je n’aurai pas à m’y reprendre à deux fois. » Mais David dit à Abishaï : « Ne le tue pas ! Qui pourrait demeurer impuni après avoir porté la main sur celui qui a reçu l’Onction du Seigneur ? » David prit la lance et la gourde d’eau qui étaient près de la tête de Saül, et ils s’en allèrent. Personne ne vit rien, personne ne le sut, personne ne s’éveilla : ils dormaient tous, car le Seigneur avait fait tomber sur eux un sommeil mystérieux. David passa sur l’autre versant de la montagne et s’arrêta sur le sommet, au loin, à bonne distance. Il appela Saül et lui cria : « Voici la lance du roi. Qu’un jeune garçon traverse et vienne la prendre ! Le Seigneur rendra à chacun selon sa justice et sa fidélité. Aujourd’hui, le Seigneur t’avait livré entre mes mains, mais je n’ai pas voulu porter la main sur le messie du Seigneur »
Le sens de cette Première Lecture du Premier Livre de Samuel (1 S 26, 2.7-9.12-13.22-23) : Le roi Saül avait deviné que son brillant écuyer, le jeune David, lui succéderait un jour. De là à le haïr et le soupçonner de déloyauté, il n'y avait qu'un pas. Il décida donc de le supprimer. Mais, au cours d'une poursuite, le hasard livra Saül entre les mains de David : à la surprise générale, et contre l'avis de son entourage, celui-ci épargna le roi, parce que c'était le roi choisi par Dieu tout simplement.
Psaume 102 (Ps 102 (103), 1-2, 3-4, 8.10, 12-13) de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
R/ Le Seigneur est Tendresse et Pitié (cf. Ps 102, 8a)
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
Bénis son Nom très Saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
N’oublie aucun de ses Bienfaits !
Car Il pardonne toutes tes offenses
Et te guérit de toute maladie ;
Il réclame ta vie à la tombe
Et te couronne d’Amour et de Tendresse.
Le Seigneur est Tendresse et Pitié,
Lent à la colère et plein d’Amour ;
Il n’agit pas envers nous selon nos fautes,
Ne nous rend pas selon nos offenses.
Aussi loin qu’est l’orient de l’occident,
Il met loin de nous nos péchés ;
Comme la tendresse du père pour ses fils,
La Tendresse du Seigneur pour qui Le craint !
Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 45-49) de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« De même que nous aurons été à l’image de celui qui est fait d’argile, de même nous serons à l’image de Celui qui vient du Ciel »
« Frères, l’Écriture dit : Le premier homme, Adam, devint un être vivant ; le dernier Adam – le Christ – est devenu l’Être spirituel qui donne la Vie. Ce qui vient d’abord, ce n’est pas le spirituel, mais le physique ; ensuite seulement vient le spirituel. Pétri d’argile, le premier homme vient de la terre ; le deuxième homme, Lui, vient du Ciel. Comme Adam est fait d’argile, ainsi les hommes sont faits d’argile ; comme le Christ est du Ciel, ainsi les hommes seront du Ciel. Et de même que nous aurons été à l’image de celui qui est fait d’argile, de même nous serons à l’image de Celui qui vient du Ciel ».
Le sens de cette Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 45-49) : En créant l'humanité, Dieu l'appelle à un avenir splendide : devenir le Temple de l'Esprit. Jésus Christ est cet homme accompli dont tout l'agir est inspiré par l'Esprit Saint. Nous sommes invités à Lui devenir semblables en laissant l'Esprit nous envahir peu à peu.
Alléluia ! Alléluia !
« Je vous donne un Commandement nouveau, dit le Seigneur : « Aimez-vous les uns les autres, comme Je vous ai aimés » (cf. Jn 13, 34)
Alléluia !
Saint Évangile de Notre Seigneur Jésus Christ selon Saint Luc (Lc 6, 27-38) de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« Soyez miséricordieux comme votre Père est Miséricordieux »
« En ce temps-là, Jésus déclarait à Ses disciples : « Je vous le dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. À celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. À celui qui te prend ton manteau, ne refuse pas ta tunique. Donne à quiconque te demande, et à qui prend ton bien, ne le réclame pas. Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien à ceux qui vous en font, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs en font autant. Si vous prêtez à ceux dont vous espérez recevoir en retour, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu’on leur rende l’équivalent. Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, car Lui, Il est Bon pour les ingrats et les méchants. Soyez miséricordieux comme votre Père est Miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et l’on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous ».
Credo
Prière Universelle de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » du 20 février 2022 (année « C ») :
R/ Seigneur, écoute la prière de ton Peuple.
Pour la Sainte Église, qui s'étend de l'orient à l'occident, afin que le Seigneur La garde ferme et confiante au milieu des difficultés et des tentations du monde, prions le Seigneur. R/
Pour ceux qui détiennent l'autorité dans le monde, afin que sous leur gouvernement nous puissions vivre en paix et en harmonie en glorifiant le Christ, notre Espérance, prions le Seigneur. R/
Pour ceux qui nous méprisent à cause de notre foi, et pour ceux qui persécutent l'Église, afin que le Seigneur leur accorde de trouver la Vérité, prions le Seigneur. R/
Pour ceux d'entre nous qui sont ici réunis au Nom du Seigneur et pour ceux pour qui nous voulons prier, afin que Dieu nous accorde de persévérer dans la foi, prions le Seigneur. R/
Prière sur les Offrandes de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« En célébrant tes Mystères, Seigneur, pour Te servir comme il convient, nous Te supplions humblement : que les dons offerts pour honorer ta Gloire nous fassent progresser vers le Salut. Par le Christ, notre Seigneur… »
Préface des Dimanches du Temps Ordinaire VII de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
Vraiment, il est Juste et Bon, pour ta Gloire et notre Salut, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, Seigneur, Père Très Saint, Dieu Eternel et Tout-Puissant. Dans ta Miséricorde, Tu as tellement aimé le monde que Tu nous as envoyé le Rédempteur ; Tu L'as voulu à notre ressemblance en toute chose à l'exception du péché, afin d'aimer en nous ce que Tu aimais en Lui ; tes Dons que nous avions perdus par la désobéissance du péché, nous Les retrouvons par l'obéissance de ton Fils. C'est pourquoi, avec les anges et tous les Saints, nous Te louons, Seigneur, et nous exultons de joie en proclamant : …
« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »
Antienne de la Sainte Communion de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« De tout mon cœur, Seigneur, je rendrai grâce, je dirai Tes innombrables Merveilles ; pour Toi, j'exulterai, je danserai, je fêterai ton Nom, Dieu Très-Haut » (cf. Ps 9, 2-3)
Voir l’Acte de Communion Spirituelle afin de permettre aux Fidèles Catholiques de Communier spirituellement face au Coronavirus dans un Jeûne Eucharistique en ce Temps de dictature vaccinale « Seigneur Jésus, puisque je suis empêché de Te recevoir sacramentellement » composé par Monseigneur Raymond Centène. Voir également la Prière du Cardinal Rafael Merry del Val pour une Communion Spirituelle « Ô mon Jésus, dans l’attente du bonheur de la Communion sacramentelle, je veux Te posséder en esprit » prononcée par le Pape François lors de sa Messe matinale à Sainte-Marthe le lundi 23 mars 2020.
Prière après la Sainte Communion de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C ») :
« Nous T'en prions, Dieu Tout-Puissant : donne-nous de recueillir tous les fruits de Salut dont ces Mystères sont déjà la Promesse et le Gage. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur »
Et que Dieu Tout-Puissant, vous bénisse...
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
V/ Allez, dans la Paix du Christ.
R/ Nous rendons Grâce à Dieu.
Vidéo de la « Messe du 7ème Dimanche du Temps Ordinaire » du 20 février 2022 (année « C ») célébrée et prêchée par Mgr André Dupuy, Archevêque Catholique Français qui fut Nonce Apostolique de 1993 à 2015 et désormais Chapelain au Sanctuaire de Lourdes :
- La « Messe du 7e Dimanche du Temps Ordinaire » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe du 7e Dimanche du Temps Ordinaire » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe du 7e Dimanche du Temps Ordinaire » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe du Dimanche de la Quinquagésime » (Dominica in Quinquagesima) célébrée tous les ans en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours »