La Prière du Père Georges Madore « Viens Seigneur Jésus, voici ma maison… » :

« Seigneur, je me présente devant Toi comme une maison vide, une maison qui attend, une maison bien pauvre. Loué sois-Tu Seigneur pour cette pauvreté ! Si mon plafond est défoncé, il peut laisser filtrer Ta lumière ; si mes murs sont délabrés, ils peuvent laisser passer Ton souffle ; si ma maison est vide, elle peut T'accueillir. Seigneur, voici ma maison. Je Te l'offre avec sa pauvreté, remplis-la de Ta présence. Toi, le Dieu qui pardonne, Tu ne dis pas : « Faites le ménage et je viendrai ! » Non, Tu viens chez moi et mon désordre ne Te fait pas peur. Viens Seigneur, depuis si longtemps ma maison T'attend. Elle sera toujours vide tant que Tu n'y seras pas. Maranatha, viens Seigneur Jésus ! Amen. »

Père Georges Madore (1943- ….)


Georges Madore, Prêtre Canadien et Montfortain, est connu pour ses livres et ses articles qui visent à présenter de façon accessible la richesse de la foi chrétienne. Il est animateur de retraites paroissiales, tâche héritée de son fondateur, Louis Marie de Montfort, qui voulait par cette pratique « renouveler l’esprit du christianisme » dans la France de Louis XIV.


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Voir également du Père Georges Madore :
La Prière du Père Georges Madore « Marie, je Te dis merci d’avoir su attendre pour nous l’Emmanuel »
La Prière du Père Georges Madore « Nous voici devant Toi, Père, avec nos âmes et nos cœurs blessés »
La Prière du Vicaire Général Georges Madore « Ô Trinité, viens aussi vivre en moi »
La Prière de l’Abbé Georges Madore « Viens à nouveau, ô Seigneur, ne Te lasse pas, je T'en prie »
La Prière de l’Abbé Georges Madore aux Époux « Seigneur Jésus, apprends-nous à nous aimer comme Toi »
La Prière de Monsieur l’Abbé Georges Madore « Seigneur, Toi qui veilles sur nous, apprends-nous à veiller »
La Prière de Georges Madore pour les Malades « Quand nous serons « chez nous » à la maison du Père »
La Prière du Père Georges Madore « Viens Seigneur Jésus, voici ma maison… »
La Prière du Père Georges Madore « Apprends-moi, Marie, à faire silence »