La Prière de Catherine de Bologne « Dans le Ciel, c'est la bonne volonté que Dieu récompense, et dans l'enfer, c'est la mauvaise volonté qu’Il punit » :

« Vous avez reçu de Dieu, mes chères filles, trois précieux Talents, dont je vous conjure de bien user. Le Père habite dans votre mémoire, le Fils dans votre entendement et l'Esprit-Saint dans votre volonté. Repassez donc souvent dans votre mémoire les Bienfaits que vous avez reçus de Dieu le Père ; exercez votre entendement à considérer à l'avènement du Fils de Dieu, son Incarnation, sa Vie, ses Souffrances et sa Mort cruelle ; enfin, que votre volonté s'enflamme aux Ardeurs de l'Esprit-Saint. De tous les Dons accordés aux hommes, le plus précieux c'est la bonne volonté, sans laquelle il n'y a point de salut à espérer, et avec laquelle il est impossible de se perdre. Que la bonne volonté augmente, et le mérite augmentera. Dans le Ciel, c'est la bonne volonté que Dieu récompense, et dans l'enfer, c'est la mauvaise volonté qu’Il punit ».

Ainsi soit-il.


Sainte Catherine de Bologne (1413-1463) – « Vie de Sainte Catherine de Bologne », par le R. P. Grasset, page 210, chez Thibaud-Landriot, 1840

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Voir également de Sainte Catherine de Bologne :
La Prière de Sainte Catherine de Bologne « Ô mon âme, énamoure-toi du Crucifié »
La Prière de Ste Catherine de Bologne « Aimez la concorde, chérissez la paix ! »
La Prière de Catherine de Bologne pour la conversion et le salut des âmes « Ouvrez le Ciel, ô mon Dieu, à tous ces infortunés et ces nombreux coupables »
La Prière de Catherine de Bologne « Dans le Ciel, c'est la bonne volonté que Dieu récompense, et dans l'enfer, c'est la mauvaise volonté qu’Il punit »
La Prière de conversion d’une âme de Sainte Catherine de Bologne « Mon bon Maître, ne me refusez pas cette âme »
La Prière de Sainte Catherine de Bologne à une de ses filles « Ma sœur bien-aimée, je veux que vous persévériez dans votre vocation »
La Prière de Sainte Catherine de Bologne à Saint François d'Assise « Ô François, pauvre de Jésus-Christ, quand nous apprendrez-vous à mépriser le monde ? »