Un Jésuite est décédé et arrive au Ciel. Sans traîner, une méga-fête du tonnerre de Dieu est organisée, les chœurs angéliques s'époumonent ainsi qu'un orchestre de trompettes et saxos, pour accueillir ce membre de la Société de Jésus. Là-dessus arrive au Ciel un Capucin. Mais là, pas de fête, pas de chanteurs ni de musiciens. Idem quand débarque un Bénédictin. « Ca me gêne profondément », se confie le Jésuite auprès de Saint Pierre : « pour moi, cette fête à tout casser, et rien pour ces pauvres Pères, à qui personne n'a l'air de faire attention... »
- « Certes, certes, mais vois-tu, de ces Congrégations il nous arrive un presque tous les jours, tandis que des Jésuites, ça fait deux bons siècles qu'on n'en avait pas encore eu un seul ! »