Le plus célèbre des Prêtres anglicans ralliés au Catholicisme, John Henry Newman, est devenu Saint ce Dimanche 13 octobre 2019 ! Le Pape François a en effet canonisé le Cardinal John Henry Newman, le premier Britannique à être déclaré Saint depuis plus de quarante ans, ce Prêtre anglican converti au Catholicisme en 1845, crée Cardinal en 1879 par le Pape Léon XIII et béatifié le 19 septembre 2010 par le Pape Benoît XVI.
La « Canonisation du Cardinal John Henry Newman » :
Le Cardinal John Henry Newman (1801-1890) est le premier britannique canonisé depuis les années 1970. Et pour l'occasion, le Prince Charles - qui devrait prendre un jour la tête de l'Eglise d'Angleterre - a représenté le Royaume-Uni.
La conversion du Prêtre anglican avait provoqué un vif scandale dans l'Angleterre victorienne au XIXe siècle, qui venait à peine de décriminaliser les Fidèles Catholiques. L'anglicanisme est née d'une scission avec l'Eglise Catholique au XVIe siècle, après le refus du Pape d'accorder au Roi Henri VIII l'annulation de son Mariage. Les anglicans ne reconnaissent pas, depuis lors, l'autorité du Pape.
« Son exemple est plus que jamais nécessaire pour la manière dont il a su, au mieux, défendre sans accuser, être en désaccord sans manquer de respect et peut-être, surtout, pour la manière dont il a pu voir les différences comme des lieux de rencontre et non d'exclusion » , a écrit le Prince Charles dans un éditorial de l'Osservatore Romano, le quotidien du Vatican.
Son Altesse royale ajoute : « À l'époque où il vivait, Newman défendait la vie de l'esprit contre les forces qui avilissaient la dignité humaine et la destinée humaine. En cette époque où il parvient à la Sainteté, son exemple est plus nécessaire que jamais, pour la manière dont, à son meilleur, il pouvait plaider sans émettre d'accusation, être en désaccord sans manquer de respect et, peut-être par-dessus tout, voir les différences comme des lieux de rencontre plutôt que d'exclusion ».
À une époque où la Foi était remise en question comme jamais auparavant, Newman, l'un des plus grands théologiens du XIXe siècle, a employé son intelligence à l'une des questions les plus instantes de notre époque : quel rapport devrait entretenir la Foi avec une époque sceptique et laïque ? Son engagement dans la théologie anglicane d'abord, puis, après sa conversion, dans la Théologie Catholique, a impressionné même ses adversaires par son honnêteté intrépide, sa rigueur sans faille et son originalité de pensée.
Quelles que soient nos propres croyances, et quelle que soit notre propre tradition, nous ne pouvons que remercier Newman pour les dons, enracinés dans sa Foi Catholique, qu'il a partagés avec la société toute entière: son autobiographie spirituelle intense et émouvante, et sa profonde poésie dans « Le Songe de Gérontius » qui, mis en musique par Sir Edward Elgar - un autre Catholique dont tous les Britanniques peuvent être fiers - a donné au monde musical l'un des chefs-d'œuvre choraux les plus durables qui soient.
À l’acmé du « Songe de Gérontius », l'âme, s'approchant du ciel, perçoit quelque chose de la vision divine : « une harmonie mystérieuse, elle me submerge, pareille au bruit grave et solennel de nombreux cours d'eaux ».
L'harmonie exige la différence. Le concept se trouve au cœur même de la Théologie Chrétienne dans le concept de la Trinité. Dans le même poème, Gérontius dit : « Je crois vraiment et fermement que Dieu est Trois, et que Dieu est Un »
En tant que telle, la différence n'est pas à craindre. Newman l'a prouvé non seulement dans sa théologie et l'a illustré dans sa poésie, mais il l'a également démontré dans sa vie. Sous sa direction, les Catholiques s'intégrèrent pleinement dans la société, qui devint elle-même d'autant plus riche en tant que communauté de communautés.
Newman s'est engagé non seulement avec l'Église, mais avec le monde. Tout en s'engageant de tout son cœur dans l'Église pour laquelle il a traversé tant d'épreuves intellectuelles et spirituelles, il a lancé un débat ouvert entre Catholiques et autres Chrétiens, ouvrant ainsi la voie à d’ultérieurs dialogues œcuméniques.
Lors de son accession au Cardinalat en 1879, il prit pour devise « Cor ad cor loquitor » (« le cœur parle au cœur »), et ses conversations au-delà des clivages confessionnels, culturels, sociaux et économiques, étaient enracinées dans cette amitié intime avec Dieu.
Sa Foi était vraiment Catholique en ce sens qu'elle embrassait tous les aspects de la vie. C'est dans ce même esprit que nous, Catholiques ou non, nous pouvons, dans la tradition de l'Église chrétienne à travers les âges, embrasser la perspective unique, la sagesse et la perspicacité particulières apportées à notre expérience universelle par cette seule âme individuelle. Nous pouvons nous inspirer de ses écrits et de sa vie même si nous reconnaissons que, comme toute vie humaine, elle était inévitablement imparfaite. Newman lui-même était conscient de ses défauts, tels que l'orgueil et l'attitude défensive qui ne correspondaient pas à ses propres idéaux, mais qui, en fin de compte, ne l'ont rendu que plus reconnaissant envers la Miséricorde de Dieu.
Son influence était immense. En tant que théologien, son travail sur le développement de la doctrine a montré que notre compréhension de Dieu peut grandir avec le temps, et il a eu un impact profond sur les penseurs ultérieurs. Les Chrétiens ont vu leur dévotion personnelle remise en question et renforcée par l'importance qu'il accordait à la voix de la conscience. Ceux de toutes les traditions qui ont cherché à définir et à défendre le Christianisme se sont montrés reconnaissants pour la manière dont il a réconcilié foi et raison. Ceux qui recherchent le divin dans ce qui peut sembler être un environnement intellectuel de plus en plus hostile trouvent en lui un allié puissant qui a défendu la conscience individuelle contre un relativisme écrasant.
Et ce qui est peut-être le plus pertinent de nos jours, alors que nous avons été témoins d'un trop grand nombre de graves attaques commises par les forces de l'intolérance contre des communautés et des individus, incluant de nombreux Catholiques, en raison de leurs croyances, c'est qu'il s'agit d'une personne ayant défendu ses convictions malgré les inconvénients de l'appartenance à une religion dont on refusait la pleine participation des fidèles à la vie publique. Tout au long du processus d'émancipation Catholique et de restauration de la hiérarchie de l'Église Catholique, il a été le chef dont son peuple, son Église et son époque avaient besoin. Sa capacité de chaude cordialité personnelle et d'amitié généreuse se manifeste dans sa correspondance. Il existe plus de 30 volumes de ses lettres, dont beaucoup, ce qui est révélateur, ne s'adressent pas aux autres intellectuels et à d'éminents dirigeants, mais à sa famille, à des amis et aux paroissiens qui ont cherché sa sagesse.
Son exemple a laissé un héritage durable. En tant qu'éducateur, son travail a eu une profonde influence à Oxford, Dublin et au-delà, tandis que son traité, L'Idée d'université, demeure un texte déterminant à ce jour. Ses travaux - souvent négligés - à propos de l'éducation des enfants témoignent de son engagement à faire en sorte que les jeunes de tous milieux bénéficient des opportunités qu'offre l'apprentissage. En tant qu'anglican, il a guidé cette Église vers ses racines Catholiques et, en tant que Catholique, il était prêt à apprendre de la tradition anglicane, par exemple en faisant la promotion du rôle des laïcs. Il a redonné confiance à l'Église Catholique alors qu'elle se rétablissait sur une terre d'où elle avait été autrefois déracinée. La communauté Catholique de Grande-Bretagne doit aujourd'hui une dette incalculable à son travail inlassable, de même que la société britannique a des raisons de remercier cette communauté pour sa contribution incommensurablement précieuse à la vie de notre pays.
Cette confiance s'exprimait dans son amour pour les paysages anglais et la culture de son pays natal, à laquelle il a apporté une contribution si remarquable. Dans l'Oratoire qu'il a fondé à Birmingham, et qui abrite aujourd'hui un musée dédié à sa mémoire ainsi qu'une communauté active de fidèles, nous voyons la réalisation en Angleterre d'une vision qu'il a tirée de Rome, qu'il décrivait comme « le plus bel endroit sur Terre ». En amenant la Congrégation des Oratoriens de l'Italie jusqu'en Angleterre, Newman a cherché à partager son charisme d'éducation et de service.
Il aimait Oxford, ajoutant à sa grâce non seulement par des sermons passionnés et érudits, mais aussi par la belle église anglicane de Littlemore, créée après une visite d'études à Rome où, cherchant des conseils pour son chemin spirituel à venir et réfléchissant sur sa relation avec l'Église d'Angleterre et le Catholicisme, il a écrit son hymne bien-aimé, « Lead Kindly Light » (« Conduis-moi, douce lumière »). Lorsqu'il a finalement décidé de quitter l'Église d'Angleterre, son dernier sermon d'adieu à Littlemore a laissé la congrégation en larmes. Il s'intitulait « La séparation des amis ».
Alors que nous célébrons la vie de ce grand Britannique, de ce grand homme d'Église et, nous pouvons désormais le dire, de ce grand Saint, qui comble les clivages existant entre les traditions, il est tout à fait juste que nous rendions grâce pour l'amitié qui, malgré la séparation, n'a pas seulement duré, mais s'est renforcée.
Dans l'image de l'harmonie divine que Newman a exprimée avec tant d'éloquence, nous pouvons voir comment, en fin de compte, en suivant avec sincérité et courage les différents chemins auxquels la conscience nous appelle, toutes nos divisions peuvent mener à une meilleure compréhension et toutes nos manières d'être peuvent trouver un foyer commun ».
Né à Londres le 21 février 1801 dans une famille anglicane, John Henry Newman avait rejoint Rome en 1845 après avoir dénoncé ce qu'il considérait comme des « dérives » de l'anglicanisme. Après sa conversion, Newman devient Prêtre Catholique en 1847, grimpant les échelons jusqu'à devenir Cardinal en 1879.
L’aîné de 6 enfants d’une famille appartenant à la communauté anglicane, la lecture de la Bible y occupe une place centrale. A 15 ans John Henry Newman fait une expérience spirituelle qui le marquera pour toujours et qu’il appellera sa « première conversion » :
« Quand j’eux quinze ans, un grand changement se fit dans ma pensée. Je subis les influences d’un credo défini, mon esprit reçut l’empreinte du dogme, et cette empreinte, grâce à Dieu, ne s’est jamais effacée ni obscurcie… Je crus que la conversion intérieure dont j’étais conscient… continuerait dans la vie future, et que j’étais prédestiné à la gloire éternelle… (cette conversion) m’isola des objets qui m’entouraient, elle me confirma dans la défiance que j’avais touchant la réalité des phénomènes matériels ; et elle concentra toute ma pensée sur deux êtres – et deux êtres seulement– absolus et s’imposant avec une évidence lumineuse, moi-même et mon Créateur ».
John Henry Newman s’inscrit en 1816 à Trinity, l’un des collèges d’Oxford, université anglicane et principal séminaire du pays. Il devient, en 1822, enseignant et agrégé du plus réputé des collèges d’Oxford alors, Oriel. Son premier ouvrage, publié en 1832 et intitulé Les Ariens du 4e siècle, porte sur l’hérésie arienne combattue en particulier par saint Athanase, au temps des conciles de Nicée et de Constantinople, et fait de Newman l’un des meilleurs connaisseurs de l’Église primitive. Il confiera plus tard que les Pères ont contribué à renouveler sa pensée en profondeur et ont fait de lui un Catholique.
En 1833, Newman et ses amis entreprennent de s’opposer aux ingérences de l’État dans la vie ecclésiale et d’enraciner de nouveau leur Église dans une Tradition « apostolique ». C’est la naissance du « Mouvement d’Oxford » ou « Mouvement tractarien » : pour diffuser leur pensée, les jeunes universitaires rédigent des « tracts », des pamphlets polémiques pouvant faire jusqu’à 70 pages. Ce mouvement de renouveau vise avant tout la redécouverte des Sacrements, de la liturgie et de la vie de prière. À partir de l’enseignement des Pères et des théologiens anglicans du XVIIe siècle, Newman essaie d’élaborer une théologie anglicane qui serait une voie intermédiaire, une Via Media, entre le protestantisme et le Catholicisme, deux corruptions à ses yeux. Il continue à réfléchir au sens de la proposition du Credo : « Je crois en l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique ». Qu’est-ce qui unit l’Église d’Angleterre aux deux autres Églises (Catholique et orthodoxe) à qui il reconnaît une certaine légitimité (sur leurs territoires respectifs) ? De là naît sa théorie des « branches ». Quant à la sainteté, il écrit dans une lettre : « Il faut que je vois (en Rome) plus de sainteté que je n’en vois à présent. Si les catholiques veulent convertir l’Angleterre, qu’ils aillent pieds nus dans nos villes manufacturières, qu’ils prêchent au peuple, comme saint François Xavier, qu’ils se fassent lapider et piétiner –et j’admettrai qu’ils puissent faire ce que nous ne pouvons pas faire, j’avouerai qu’ils sont meilleurs que nous. C’est cela être des catholiques. La foi et la sainteté sont irrésistibles ».
Alors qu’il entreprend une traduction annotée de Traités de Saint Athanase, il constate un parallèle entre ariens/semi-ariens d’une part, protestants/anglicans d’autre part ; enfin, il est le témoin de l’émiettement de sa « théorie des branches » lorsqu’est établi à Jérusalem un évêché commun à la Prusse et à l’Angleterre, soit aux protestants et aux anglicans : « Ainsi, au moment précis où les évêques anglicans dirigeaient leurs censures contre moi, parce que j’avais tenté un rapprochement avec l’Église Catholique, sans toutefois aller au-delà des limites que je croyais permises par les formulaires anglicans, ces mêmes évêques fraternisaient, par leurs actes ou par leur consentement tacite, avec les Congrégations protestantes ».
Newman en vient à douter sérieusement de la fidélité de l’Église anglicane à l’Église des premiers siècles, son modèle de référence. Il lui semble peu à peu que c’est l’Église Catholique Romaine –objet de haine de la part de la majorité des Anglais à l’époque– qui est le véritable continuateur de ce qu’il appelle « l’Église des Apôtres ». Il se demande quelle Église rejoindraient s’ils revenaient de nos jours sur terre : « Imaginez que saint Athanase, ou saint Ambroise, reviennent soudain à la vie. Peut-il y avoir le moindre doute sur l’Église qu’ils reconnaîtraient comme la leur ? Tout le monde conviendra que ces Pères, quelles que pussent être leurs opinions personnelles, ou même, si l’on veut, leurs protestations, se trouveraient beaucoup plus chez eux en compagnie d’hommes comme saint Bernard ou saint Ignace de Loyola, ou du prêtre dans la solitude de son presbytère, ou d’une communauté de sœurs de la charité, ou de la foule illettrée à genoux devant l’autel, qu’auprès des docteurs ou des membres d’aucune autre confession. L’esprit de cette Église est celui qui se rapproche le plus, sinon tout à fait, du sentiment religieux, de l’ethos comme nous disons, de l’Église primitive… ».
Le 9 octobre 1845, il est reçu dans l’Église Catholique par le P. Dominique Barberi, religieux passionniste italien aujourd’hui béatifié. Les conséquences personnelles de cette décision vont être terribles. Il perd définitivement son poste à Oxford, ainsi que les revenus et autres avantages considérables attachés à ce statut ; la plupart de ses amis l’abandonnent ; il est même rejeté par sa famille. Avec son ami Ambrose Saint John, Newman part à Rome pour y étudier la Doctrine Catholique et recevoir les Ordres. Il y fait la connaissance du milieu Catholique et y découvre, entre autres Congrégations, l’Oratoire de Saint Philippe Néri, communauté qu’il décide de fonder à son retour (début 1848), près de Birmingham, avec des amis qui ont eux aussi rejoint la Communion Catholique Romaine. Il fondera plus tard une école, avec le souci de l’éducation des jeunes Catholiques. Il fonde une Université Catholique à Dublin, entreprend une nouvelle traduction de la Bible en anglais et prend la direction d’une Revue Catholique devenue trop libérale aux yeux de l’épiscopat.
En 1879, le Pape Léon XIII le fait Cardinal. Dans son discours, Newman reconnaît avoir lutté toute sa vie contre le « libéralisme », ce que nous appelons aujourd’hui « relativisme » : le fait de réduire la religion à une affaire d’opinions, sans valeur ni vérité objective. Il choisit pour devise « Cor ad cor loquitur », « Le cœur parle au cœur », qu’il emprunte à Saint François de Sales. Newman meurt le 11 août 1890, aimé et admiré de l’immense majorité des anglais, toutes confessions confondues.
Dans L’Antichrist, il prophétisait : « Il nous est dit que l’apostasie viendra et que se révélera l’homme de l’iniquité. En d’autres termes, cela signifie que l’homme de péché naîtra d’une apostasie, du moins arrivera au pouvoir par le moyen d’une apostasie, ou bien sera précédé d’une apostasie, ou simplement ne pourra être sans une apostasie. C’est ainsi que s’exprime le texte inspiré. Observez maintenant de quelle façon admirable le cours de la Providence, tel qu’il transparaît dans l’histoire, a donné l’interprétation de cette prédiction ». « Les épreuves à venir seront telles que même saint Athanase, saint Grégoire le Grand ou saint Grégoire VII seraient épouvantés, à en perdre pied. Aussi sombre que fût la perspective de leur temps, la nôtre est d’un noir de ténèbres, différente de tout ce qui l’a précédée. Mes frères, vous entrez dans un monde que les chrétiens n’ont encore jamais connu »
Voir également du Cardinal John Henry Newman :
La « Canonisation du Cardinal John Henry Newman »
La Prière du Cardinal John Henry Newman « Mon Dieu, éternel Paraclet, je T'adore »
La Prière du Cardinal John Henry Newman « Seigneur Jésus, inonde-moi de ton Esprit et de ta Vie »
La Prière du Cardinal John Henry Newman « Mon Dieu, qu'avez-Vous fait pour moi ? »
La Prière du Cardinal John Henry Newman « Ô mon Dieu, ne me quittez pas »
La Prière du Cardinal John Henry Newman à Son Ange Gardien « Conduis-moi vers le Haut »
La Prière du Bienheureux Cardinal John Henry Newman « Ô pur Amour surnaturel du Créateur »
La Prière du Bienheureux Cardinal John Henry Newman « Vous êtes la vie de toute la création, ô Eternel Paraclet »
La Prière du Bienheureux Cardinal John Henry Newman « Vous qui êtes la lumière et la vie de mon âme, ô Eternel Paraclet »
La Prière du Bienheureux Cardinal John Henry Newman « Ô Jésus, aide-moi à répandre partout Ta bonne odeur, partout où je passe »
Quelques « courtes Prières » du Bienheureux Cardinal John Henry Newman
La Prière « Ô Cœur Sacré de Jésus » du Bienheureux Cardinal John Henry Newman
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La Prière du Bx Cardinal J H Newman à son ange gardien « Mon plus vieil ami »
La Prière Mariale sur la Foi de John Henry Newman « Vous êtes bénie entre les femmes, heureuse d'avoir cru ! »
La Prière du Cardinal Newman « Je Vous recommande, ô Cœur de Jésus, la Sainte Église Catholique »
La Prière de John Henry Newman « Ô Seigneur Jésus, fais-moi pur comme Tu es pur »
La Prière de J H Newman « Ô Seigneur, montre à mon égard Ta patience inlassable »
La Prière de l’Abbé Newman « Conduis-moi, douce Lumière, au milieu des ténèbres »
La Prière du Cardinal J.H. Newman « Ô mon Seigneur, je Vous prie de me donner ce qui est bon pour moi »