Le « Chemin de la Croix pour les Mères Chrétiennes » de Mgr Louis-Désiré Bataille :
PREMIÈRE STATION : Jésus condamné à mort
Pilate est d'abord convaincu de l'innocence de Jésus. Par faiblesse, par entraînement, par peur de la critique, il fait comme les deux autres, comme Caïphe et comme Hérode, il condamne Jésus, et devient par sa lâcheté plus coupable qu'eux. Ô Mères Chrétiennes, ce fut là le malheur, c'est le danger de ceux que vous aimez, et dont vous désirez si ardemment le Salut. La plupart des jeunes gens, aujourd'hui, deviennent impies par ce triste sentiment de la peur. Prémunissez-les donc par les solides, par les profondes convictions d'une éducation vraiment religieuse, et priez souvent le Dieu de force, de leur faire comprendre que rougir de Lui devant les hommes, c'est L'obliger un jour à rougir de nous devant son Père : Qui me erubuerit... hunc Filius hominis erubescet...
DEUXIÈME STATION : Jésus chargé de sa Croix
Celui qui avait dit à ses disciples : Si vous ne portez pas votre croix, vous n'êtes pas dignes de moi, devait Lui-même nous montrer l'exemple. A peine le tollé de la populace est-il tombé sur Lui avec la condamnation du misérable gouverneur, les bourreaux accourent et L'écrasant, l’instrument du supplice pèse de son poids honteux, sur les épaules du Juste.
Ô Jésus, la Croix, la grande Croix des mères pieuses qui Vous suivent en ce moment dans le chemin du Calvaire, ce sont les exemples d'indifférence ou d'impiété, offerts par le chef de famille à la foi naïve et à l'innocence de ses petits enfants ; ce sont les écarts plus désolants peut-être, dont leurs fils donnent à leurs frères ou à leurs sœurs plus jeunes, le navrant spectacle. Croix horrible que Vous seul, mon Dieu, pouvez comprendre, que Vous seul aussi pouvez rendre moins lourde. Oh ! Daignez-le ; nous Vous en prions pour elles !
TROISIÈME STATION : Jésus tombe une première fois
Le chemin est difficile, la Victime est faible et le poids si lourd ! Le Sauveur tombe, et gît là dans la douleur et dans la boue. Mères qui m'écoutez, prenez garde à cette première chute de vos enfants ! Dès leur plus tendre jeunesse, qu'ils sachent par vous combien la route est glissante, combien ils doivent veiller sur chacun de leurs pas ; dites-leur, comme la mère de Saint Louis, que la mort est préférable à un seul péché mortel ; détournez-les vous-mêmes, avec cette chrétienne tendresse que Dieu a mise en vos cœurs, des dangers qui les menacent. S'ils tombent, relevez-les par le moyen que vous savez, et dites à leurs Anges de les garder désormais contre de nouvelles défaillances : Ut custodiant... in omnibus viis.
QUATRIÈME STATION : Jésus rencontre sa sainte Mère
Ô Dieu, que Vous êtes la bonté même ! Au milieu des plus grandes douleurs de la vie, votre miséricorde sait toujours trouver le secret d'un adoucissement, qui met du baume dans l'âme et la prémunit contre le désespoir. Quelle consolation et quelle force pour Jésus, que cette rencontre, que ce regard, que cet amour de sa Mère, pleurant, souffrant et priant avec Lui ! Ce que Vous avez voulu là nous faire entendre, je le devine, Seigneur ; c'est comme si Vous nous aviez dit : « Le grand remède, la grande ressource, ce qui soutient, ce qui fortifie, ce qui ramène, ce qui sauvera ce jeune homme, au milieu des périls et des séductions qui enveloppent ou qui attendent ses quinze ans, c'est le regard, la surveillance, l'affection, ce sont les larmes, les bonnes œuvres, les prières de sa mère ».
Ô mon Dieu, faites comprendre ces choses à celles qui sont là, donnez-leur d'être toujours fidèles à cette auguste mission, et conservez leur mère aux pauvres enfants, qui peut-être se perdraient sans elle !
CINQUIÈME STATION : Simon le Cyrénéen aide Jésus à porter sa Croix
Le moment allait venir où le Sauveur ne pourrait plus continuer seul, cette marche si difficile et si douloureuse. Un passant, plein de jeunesse, de vigueur et de santé, est requis de Lui venir en aide ; il soulève le fardeau avec Jésus, et ainsi soulagé, le bon Maître atteindra le Calvaire. Voilà bien la fidèle image de ce que peuvent pour nos enfants les leçons, les principes, le dévouement d'un maître Chrétien. Mais Simon n'est-il pas le symbole plus frappant encore de l'ami, de la compagne que nous devons leur donner ? Arrive l'heure, en effet, où la tendresse de leurs parents ne suffit plus à ce besoin d'aimer et de se répandre, qui remplit leur jeune cœur. A nous, ô mères, de veiller à ce que le choix ne trompe point leur espérance ! A nous de choisir pour eux, et de leur ménager dans la force, dans les vertus, dans la charité de ce cher Cyrénéen, le moyen de mieux traverser la vie, d'en porter le poids avec moins de larmes et d'aboutir avec moins de chutes. Un ami fidèle, a dit le Sage, est le plus précieux de tous les trésors : Fideli nulla est comparatio.
SIXIÈME STATION : Une Femme pieuse essuie la Face de Jésus
Le front du Juste est maculé, sanglant, couvert de souillures et de poussière. Devant ce repoussant spectacle, une femme, une mère sans doute, s'émeut ; et aussitôt, ne consultant que le sentiment de sa pitié, elle accourt, essuie ce Visage divin, Lui rend sa beauté première, et en emporte l'image sur le voile, instrument de sa pieuse compassion. Cette femme, mon Dieu, cette mère dévouée, c'est votre Église. Quand les faibles enfants des mères Chrétiennes sont tombés aussi, et que le péché, comme une poussière honteuse, a souillé la beauté de leur âme, l'Église arrive. Du fond de ses tribunaux réconciliateurs, elle leur présente le voile de l'absolution ; avec une tendresse incomparable, elle l'étend sur leurs prévarications, et le cœur sanctifié retrouve, avec des joies inconnues à l'innocence même ses anciennes splendeurs. Seigneur Jésus, rappelez cette Véronique céleste, aux mères que désolent les vices naissants ou les écarts de ceux qu'elles aiment ; et que sous leur action salutaire, votre Grâce purifie pour l'éternité leurs enfants, leurs époux, si horriblement défigurés par le mal : Et deleatur iniquitas.
SEPTIÈME STATION : Jésus tombe une seconde fois
Le sentier est devenu plus escarpé ; le Sauveur fait un faux pas, et je L'entends qui succombe encore, au milieu de ce parcours si plein de douleurs. Mères pieuses, il y a des aspérités et des obstacles qui attendent aussi vos malheureux jeunes gens, dans ce point critique de la vie où l'enfance disparaît, pour faire place à un âge plus difficile : ce sont les passions et tout ce qui les enflamme. Est-il besoin de vous désigner ces tableaux et ces gravures lubriques, ces groupes immodestes, ces bals sans retenue, ces conversations malsaines, ces spectacles où débordent tant de scandales, que les moins scrupuleux s'en émeuvent à l'heure qu'il est ? Pierres maudites, contre lesquelles va se heurter l'inexpérience de la jeunesse, et qui lui préparent des blessures peut-être sans remède. Ah ! Mères, les aimez-vous ces pauvres enfants ? Tenez-vous à ce qu'ils aient quelque bonheur, dans cet avenir qui vous préoccupe ? Voulez-vous qu'ils n'affligent point votre amour, et n'abreuvent pas d'amertume les jours de votre vieillesse ? Écartez, écartez de leur innocence et de vos maisons, ces dangers où ils ne trouveraient que des mécomptes et des larmes. Les y exposer, ce serait à coup sûr préparer leur chute : Qui amatpericulum, in illo peribit.
HUITIÈME STATION : Jésus console les femmes d'Israël qui Le suivent
Jésus s'était relevé et continuait sa marche pénible et lente, vers le sommet où devait se terminer son supplice. Et des épouses désolées Le suivaient, dit l'Évangile, et elles pleuraient sur ses souffrances : et Lui, se tournant vers elles, leur adressait ces Paroles : « Ô femmes, pleurez sur vous-mêmes, car viendra l'heure où l'on dira : Heureux les seins stériles ! »
Mon Dieu, pour combien de mères de nos jours, cette heure n'est-elle point venue déjà ? Cet enfant, qui devait être l'orgueil de leur nom et la joie de leur vie, marche dans les sentiers mauvais ; ses désordres le dévorent, et une mort prématurée, hélas ! impie peut-être, l'attend au bout de la route !
Seigneur, Vous qui avez voulu Vous comparer à une mère, donnez à celles qui m'entendent, la Grâce d'échapper à un tel malheur ! Dites-leur Vous-même, que si elles ne veulent pas courir le risque douloureux de maudire, un jour, cette couronne de la maternité qui est si belle, lorsqu'elle est Chrétienne, c'est dès le berceau qu'elles doivent mettre Dieu dans le cœur de leurs petits-enfants ; dès le berceau, qu'elles doivent leur inspirer l'horreur du mal ; dès le berceau surtout, qu'elles doivent leur donner elles-mêmes l'exemple des vertus, qui peuvent seules assurer la gloire et le bonheur de leur avenir : Sapiens mulieræ dificat domum suam.
NEUVIÈME STATION : Jésus tombe une troisième fois
Le Sauveur Jésus peut à peine se soutenir. Toutes ces chutes renouvelées ont épuisé ce qui restait de ses forces. A chacune des secousses qui en résultaient pour Lui, le sang coulait plus abondant. Retombé, on se demande s'Il se relèvera cette fois, et s'il ne faut pas désespérer de Le voir arriver au sommet de la montagne. Quand aussi ce malheur si grand, raconté tout à l'heure, s'est réalisé sous les yeux de la mère Chrétienne ; quand son enfant, après des chutes toujours renouvelées et toujours plus graves, est arrivé à ce degré du vice ou du désordre, d'où un miracle seul le peut relever encore ; doit-elle, peut-elle se décourager, et, pleurant son infortune, croire devant Dieu qu'il n'y a plus d'espérance ? Non, mille fois ! La Grâce, Seigneur, n'est-elle pas forte comme Vous-même ? Pierre était tombé trois fois, il s'est relevé et il est un Saint. Madeleine tomba, chaque jour peut-être, pendant la première partie de sa vie ; Madeleine s'est relevée aussi et elle est au Ciel. Combien de fois tomba Augustin ? Vous seul le savez, ô Dieu des miséricordes ! Monique cependant ne désespéra point ; elle fit pénitence, elle donna l'aumône, elle pleura, elle pria ; et son pauvre enfant, merveilleusement relevé, est aujourd'hui la gloire de sa mère et la gloire de l'Église : Sperate in Domino.
DIXIÈME STATION : Jésus dépouillé de ses vêtements
Les bourreaux vont ajouter un nouveau supplice à ce lent et ignominieux martyre. Je les vois se concerter à voix basse ; un rire satanique court sur leurs lèvres ; ils se ruent sur Jésus-Christ, et Lui arrachent cette robe sans couture, qui avait coûté tant de labeurs et tant de veilles à sa tendre et infortunée Mère. Cette robe ne vous rappelle-t-elle pas celle de l'innocence, dont la foi avait revêtu vos chers enfants au jour de leur Baptême ? Que d'efforts et que de soins n'aviez-vous pas mis, ô mères, à la leur garder dans sa primitive splendeur ! Hélas ! Les bourreaux sont venus... et les bourreaux, mon Dieu ! Ce sont surtout les mauvais journaux et les mauvaises brochures ; ravisseurs infâmes, mille fois plus à redouter que ceux qui dévalisent les passants sur nos chemins, et qui nous dépouillent de nos fortunes d'un jour ! A peine l'âme inexpérimentée s'est-elle laissée prendre à ces lectures passionnées, sa foi s'en va par lambeaux, sa piété tombe comme un vêtement usé ; retenue, sainte réserve, modestie angélique, suaves ornements d'une vertu qui ne vit que sous ces voiles : tout se déchire et disparaît, pour faire place à des turpitudes qui font pleurer les Anges, et qui doivent faire trembler la mère encore Chrétienne. Ô Jésus, ayez pitié de ces malheureux enfants ; veillez sur leur innocence ; et que jamais ils ne puissent appliquer, à la coupable insouciance de celle qui doit être la première gardienne de leur pureté, ces tristes paroles : « C'est ma mère, par son aveugle condescendance, qui m'a perdu : Nudans spoliavit... et projecit ».
ONZIÈME STATION : Jésus attaché à la Croix
Je me figure ces clous grossièrement travaillés. Leur pointe, effilée à peine, déchire plutôt qu'elle ne perce, les chairs de Jésus traversées à grands coups de marteau. Quels flots de sang et quel supplice ! Un tremblement nerveux saisit la divine Victime, mais pas une plainte n'échappe à sa résignation. Le voilà fixé au gibet, et on L'élève ainsi entre deux malfaiteurs. Mon Dieu, il est aussi des mères en ce triste monde, qui voient les revers, les maladies, les attaques injustes, déchirer, comme des clous aigus, la carrière, la santé et le cœur de leurs enfants. Ce sont là des moments cruels ! Donnez-leur de les supporter, comme Vous avez Vous-même supporté d'être attaché à votre Croix ! Ces clous meurtriers, qui sait, Seigneur, si ce ne sont pas leurs fautes qui les ont enfoncés ? Il y a dans les desseins du Ciel des expiations mystérieuses et terribles ; le juste parfois a été crucifié pour le coupable ; et, dans le monde, on trouverait sans aucun doute des mères qui, au souvenir de leur passé, pourraient s'appliquer avec justice cette Parole de l'Écriture : « C'est à cause de nous que ce cher enfant souffre aujourd'hui : Ipse autem vulneratus est propter iniquitates nostras ».
DOUZIÈME STATION : Jésus-Christ meurt
A ce moment cruel du dernier soupir, il y a une Parole qui doit ravir nos cœurs. Le Sauveur, entr'ouvrant ses yeux meurtris et noyés dans le sang, aperçoit son disciple à ses pieds. Marie est près de Lui, et La montrant du regard à celui que sa mort va rendre orphelin : « Voilà votre mère », lui dit-Il. Puis, se tournant vers cette mère désolée qui, dans quelques minutes, n'aura plus d'enfant, Il lui indique l'Apôtre délaissé et ajoute : « Femme, voilà votre fils : Ecce filius tuus ».
Ô Mère Chrétienne, comme Jésus, il est mort aussi celui qui était la joie, le bonheur, la consolation de votre exil. Vous l'avez vu, comme Marie, expirer sous vos yeux, à l'âge où tout lui promettait de longs jours. Pauvre enfant qui vous aimait si bien, et pour qui dix fois vous eussiez vous-même donné votre vie ! Dieu ne l'a pas voulu. Il l'a retiré du monde, parce que le monde qui est mauvais, l'aurait perdu sans doute. Il l'a mis en lieu sûr, parce qu'Il l'aimait plus et mieux que vous ; comme le jardinier qui, voyant venir l'orage, met à l'abri ses plus belles et ses plus fragiles fleurs ! Ah ! Consolez-vous donc ! Du haut du Ciel, celui que vous pleurez vous aime toujours et vous pouvez l'aimer encore. Écoutez ; il vous montre les pauvres de Jésus-Christ, les petits enfants qui n'ont jamais eu de fortune et qui n'ont plus de mère, malheureux orphelins pour qui la vie n'a que des périls et des larmes : « Ô vous que j'ai tant aimée, vous dit-il, voilà maintenant vos enfants ; si vous ne m'avez pas oublié, voilà ceux qui doivent désormais me remplacer pour vous : Mulier, ecce filius tuus ! »
TREIZIÈME STATION : Jésus détaché de la Croix est remis à sa sainte Mère
On L'arrache à ce gibet honteux, et Marie Le reçoit entre ses bras. Ce n'est qu'un froid cadavre ; à peine si l'amour Le peut reconnaître, à travers les ignominies dont L'ont couvert les Juifs, et les ravages que Lui a faits la mort ! Mais c'est son Fils ; la malheureuse Mère Le peut toucher maintenant ; elle Le peut embrasser encore, elle qui ne l'a point pu à son dernier soupir ; et, quelque douloureux qu'il soit, ce moment devient pour elle une consolation.
Ô mon Dieu, que ne sera donc pas celle des pieuses mères, qui pleurent aujourd'hui le trépas prématuré de leurs enfants, quels ne seront point les transports de la veuve Chrétienne, lorsque, arrachées elles-mêmes par le dernier soupir à ce gibet qu'on nomme la vie, elles reverront sur leur cœur, pour ne les plus quitter jamais, les bien-aimés qu'elles regrettent en ce moment ! Ils seront là, attendant avec une indicible impatience, celles à qui ils doivent la vue de Dieu et le bonheur de l'Éternité ! Ils seront là, non pas sanglants, livides, horribles à voir, comme Jésus-Christ lorsqu'au pied de la Croix Il fut rendu à sa mère ; mais brillants, resplendissant d'une vie, d'une jeunesse, d'une beauté qui ne passeront plus ! Alors aussi plus de croix, alors plus de larmes, plus de crainte, plus de douleur, plus de regrets ; mais la béatitude, ensemble, dans des extases que la langue humaine ne peut point même bégayer. Ô mon Dieu, quand donc : Quando veniam et apparebo ?
QUATORZIÈME STATION : Jésus déposé dans le Sépulcre
Lorsque son divin Fils fut déposé dans le tombeau, la Mère des mères Chrétiennes alla répandre, sur ses restes chéris, des parfums et des larmes... Des larmes ! Ô vous que la mort a frappées comme elle dans les chers objets de votre tendresse, mères, vous pouvez donc pleurer ! Oui, et Dieu, du haut du Ciel, Dieu qui est bon comme une mère, bénit vos larmes. N'a-t-Il pas autrefois accordé à celles de la veuve de Naïm la résurrection de son enfant ? Hélas ! Le vôtre est peut-être encore, à ce moment, retenu dans le sépulcre du Purgatoire ! Venez donc, avec Marie, offrir au Libérateur divin ces larmes amères qui seront un soulagement pour le cher trépassé, si elles sont résignées et Chrétiennes. Répandez avec elles sur sa mémoire, le sang du sacrifice, les œuvres de charité, les prières... les prières surtout, parfums divins dont l'odeur ne monte jamais en vain jusqu'à Dieu ! Et dans trois jours, ô mères désolées, c'est-à-dire bientôt, à toutes vos caresses d'autrefois, à vos souffrances, à votre dévouement, vous aurez ajouté, auprès de vos chers enfants, le mérite de leur délivrance, et le bonheur, l'inexprimable bonheur de les savoir ressuscités comme Jésus, avec Jésus, et près de Jésus, pendant les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Monseigneur Louis-Désiré Bataille (1820-1879) –
« Vingt Exercices du Chemin de la Croix » :
Chemin de la Croix spécialement appliqué aux Mères Chrétiennes, pages 59-79, à la librairie Bataille à Lille en 1880
Voir de Monseigneur Louis-Désiré Bataille, Évêque d'Amiens :
- Le
« Chemin de la Croix du Vendredi Saint » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix avec la Sainte Église Catholique » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix avec la Très Sainte Vierge Marie » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour tous les Fidèles » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les Mères Chrétiennes » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour la Jeunesse » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les Riches » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les Pauvres » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les Âmes pieuses et ferventes » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les Âmes du Purgatoire » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix comme préparation à la Mort » de Mgr Louis-Désiré Bataille
- Le
« Chemin de la Croix pour les personnes endeuillées » de Mgr Louis-Désiré Bataille