Site-Catholique.fr
home Actualités Messes Sermons Prières Chapelets Chemins de Croix Sacrements Livres Humour
×

Le « Veni Creator Spiritus » du R. P. Fyot de Vaugimois

Prières > au Saint-Esprit

Voici l’Hymne d’invocation du Saint-Esprit du Veni Creator Spiritus à méditer dans la semaine avant et après la Pentecôte paraphrasée « Je veux exprimer par ces paroles le désir de mon cœur et la satisfaction que j'aurais si Vous veniez, ô Esprit Saint, faire en moi votre demeure » par le Révérend Père Claude Fyot de Vaugimois (1689-1758), Prêtre de la Compagnie de Saint-Sulpice, Professeur de Théologie puis Supérieur au Séminaire Saint-Irénée de Lyon, auteur du recueil de méditations des entretiens abrégés avec Notre-Seigneur Jésus-Christ avant et après la Sainte Messe pour les Prêtres.



Esprit-1.jpg
L’Hymne du Veni Creator Spiritus « Je veux exprimer par ces paroles le désir de mon cœur et la satisfaction que j'aurais si Vous veniez, ô Esprit Saint, faire en moi votre demeure » du R. P. Fyot de Vaugimois :

Dans l'attente où est toute l'Église de votre Esprit, ô mon Dieu, je soupire après ce Trésor inestimable que Vous voulez répandre à profusion sur tous vos fidèles, et je me sens une ardeur incroyable de Le posséder.
Veni, Creator Spiritus. Je veux exprimer par ces paroles le désir de mon cœur et la satisfaction que j'aurais si Vous veniez, ô Esprit Saint, faire en moi votre demeure. Je Vous reconnais effectivement pour le premier principe de tout ce qui peut être Saint dans mon âme, et je confesse que ce n'est point de mes mérites que Vous pouvez tirer le renouvellement de mon cœur, mais de votre bonté inestimable qui forme en nous cette nouvelle créature qui nous rend agréables aux yeux de votre divine Majesté. Que puis-je donc faire pour obtenir de Vous cette Grâce de Vous adorer comme l'esprit de Dieu même, par un culte qui soit tout en esprit et en vérité ?
Mentes tuorum visita. Les ténèbres de mon esprit sont si épaisses, que sans Vous je marche dans la nuit. Éclairez-moi donc, Esprit de vérité, et enseignez-moi à goûter, à aimer celles dont Vous daignerez me faire part, afin que je ne sois pas du nombre de ces aveugles volontaires dont Jésus-Christ disait : Et dilexerunt homines magis tenebras quam lucem (Jean 3, 11).
Imple superna gratia. Mais, Esprit-Saint, ce n'est pas assez pour moi d'être éclairé de vos lumières, si je ne suis enflammé de vos ardeurs : Vous êtes un feu consumant ; aussi descendant sous ce symbole dans le cœur des Apôtres, quel feu n'y excitez-Vous pas ? Remplissez-moi donc de telle sorte que le mien soit semblable au leur, qu'il n'y ait aucun vide dans toute sa capacité qui ne soit rempli de votre Grâce. Vous seul pouvez remplir l'immensité de ce vide. Venez donc, Esprit créateur, et embrasez du feu de votre divine charité, ceux que Vous avez tirés du néant.
Quæ tu creasti pectora, qui Paraclitus diceris. Qui est-ce qui ne sentirait pas son cœur dilaté par la joie quand il entend ces paroles ? Vous portez pour nom, ô divin Esprit, celui de Consolateur et d'Avocat, et votre bonté infinie nous presse de recourir jusqu'à Vous comme au cœur de notre Dieu. A qui m'adresserai-je donc pour être soulagé dans mes peines, ou pour plaider ma cause devant le Père et le Fils, mieux qu'à Vous, ô l'Amour mutuel de l'Un et de l'Autre ?
Donum Dei altissimi. Oui, en vérité, Vous êtes le don du Dieu très-haut, don admirable et qui surpasse tout autre don, puisque Vous êtes le principe de tout don parfait. En puis-je douter un seul moment, si je considère que ce n'est qu'à la faveur de l'amour dont Dieu nous a gratifiés qu'Il nous a fait tout le bien que nous tenons de Lui ? Or c'est Vous, Esprit Saint, qui êtes cet Amour personnel et subsistant en Dieu.
Fons vivus, ignis, charitas. Nouvelles propriétés qui m'engagent à Vous désirer avec encore plus d'ardeur. Les passions me dessèchent, le feu de mon amour-propre me dévore, le foyer du péché est toujours en moi. Ah ! Source d'eau vive, venez remédier à mes maux en tempérant l'ardeur du feu qui me dévore ; Vous êtes une fontaine d'eau vive qui apaisez la soif immodérée des choses du siècle, et qui refroidissez la vivacité de nos passions. Vous êtes aussi un feu qui enflammez notre tiédeur, qui fondez jusqu'à la glace par les rayons que Vous dardez dans les cœurs. Venez, ô Charité infinie, produire tous ces heureux effets dans le mien. Mettez dans mon cœur cette Source abondante d'où sortent des torrents d'esprits tout divins qui inondent tous les cœurs qui Lui sont ouverts.
Et spiritalis unctio. Vous ne venez point en nous sans y répandre l'onction de la grâce, sans y donner la paix qui contente le cœur, et l'établit dans un parfait repos. Donnez-la-moi cette paix intérieure qui surpasse tout sentiment, et au prix de laquelle tout le reste n'est rien. Établissez-moi dans la pratique de la sainte volonté de mon Dieu, hors de laquelle il n'y a que trouble et inquiétude.
Tu septiformis munere. Quoique tous les dons viennent de Vous, l'Écriture Vous en attribue Sept principaux, qui se sont, pour parler son langage, reposés dans Jésus-Christ notre Chef. Mais comme Vous êtes le souverain Bien qui ne cherchez qu'à Vous répandre, Vous voulez-bien encore les communiquer par mesure à ses membres, et surtout aux Prêtres. Ainsi Vous leur donnez le don de sagesse et d'intelligence, celui de conseil et de force, celui de science et piété, enfin le don d'une crainte toute filiale. Répandez-les sur moi, car je les estime plus que la possession du monde entier.
Dextræ Dei tudigitus. Le doigt de Dieu est la même chose que sa puissance : mais il marque aussi son discernement, qui Lui fait connaître les dispositions d'un chacun pour Le recevoir. Vous soufflez, ô Esprit de vie, où il Vous plaît et quand Vous voulez : mais qui osera espérer tous ces miracles de votre puissance ? Le plus sûr moyen pour Vous posséder est d'obéir aux moindres inspirations, à tous les mouvements que Vous donnez. Vous voulez que je me prépare à Vous recevoir ; touchez mon cœur, et rendez-moi docile à tout ce que Vous désirez de moi.
Tu ritè promissum Patris. Indépendant comme Vous êtes, et Dieu semblable au Père et au Fils, je Vous adore et Vous glorifie conjointement avec ces deux divines Personnes, desquelles Vous procédez en unité de principe : mais ce qui me remplit ici d'admiration est de voir la bonté infinie d'un Dieu si prodigue de Lui-même, qu'Il ne se contente pas de promettre à ceux qu'Il a adoptés pour ses enfants, son Esprit bon par excellence, mais aussi qu'Il Le donne en une infinité de manières, par tous les Sacrements, à une multitude de personnes. Et Vous, Esprit d'amour, Vous ne différez pas un moment de satisfaire à ces promesses si précieuses qui tournent toutes à notre avantage : c'est ce que je ne puis assez admirer.
Sermone ditans guttura. Ô véritable Père des pauvres, enrichissez-moi ! Vous pouvez parler au cœur, apprenez-moi à Vous parler à mon tour dans la prière, à parler au prochain dans la conversation, à annoncer vos louanges, à enseigner les ignorants, à retirer les impies de leurs égarements. Les Apôtres, tout grossiers qu'ils étaient, devinrent bientôt savants à votre école, et combien d'autres profitèrent ensuite des lumières dont Vous fûtes si libéral en leur faveur ! Joignez donc, ô Dispensateur des grâces, par surcroit à toutes celles-ci, le don de les pouvoir énoncer pour les faire connaître, et les faire désirer à tous ceux qui les ignorent, pour faire adorer le Père et le Fils qui avec Vous sont la source des biens. Ou si Vous ne faites pas en moi comme dans les Apôtres, que ma bouche parlant toutes les langues du monde puisse enseigner tous les peuples et leur apprendre votre gloire ; faites au moins qu'en moi les actions qui sont un langage universel qui se fait entendre à toutes les nations de la terre, publient vos miséricordes et annoncent à tous ceux qui les verront la manière dont Vous voulez être servi.
Accende lumen sensibus. Ô Esprit infiniment pur, innocente colombe, lorsque Vous favorisez une âme de vos visites ou que Vous faites luire sur elles les rayons de vos lumières, votre dessein est de Vous opposer particulièrement aux attraits de la sensualité, de la faire renoncer aux dérèglements de l'amour-propre et même aux consolations trop sensibles. Donnez-moi assez de courage pour mortifier tous mes sens, assez de lumières pour connaître les illusions auxquelles ils sont sujets. Hélas ! Seigneur, je m'imagine quelquefois que ce que je sens vient de votre Esprit, et souvent ce n'est qu'une impression de l'ennemi, ou tout au plus un mouvement naturel de mon cœur.
Infunde amorem cordibus. Ô Dieu qui m'aimez assez pour m'inspirer de Vous aimer sans bornes, je crains de ne Vous pas aimer assez. Je Vous demande l'abondance du pur amour ; Vous pourriez m'accorder les dons excellents que Vous avez communiqué aux disciples au Jour de la Pentecôte ; le pouvoir de faire des miracles, le don de prophétie, celui des langues, l'intelligence des saintes Écritures, la connaissance des choses célestes. Mais je me perdrais peut-être avec toutes ces faveurs. Je Vous demande bien plutôt votre amour pour en être consumé, afin que je n'aime rien plus que Vous. Je Vous demande aussi l'humilité de cœur et d'esprit, puisqu'il est vrai que Vous ne Vous reposez que sur les humbles.
Infirma nostri corporis. Ce corps qui se corrompt, appesantit l'âme, et la faiblesse de la chair entraîne avec soi la ruine de l'esprit, elle se révolte contre lui et lui fait une guerre continuelle. Ainsi je me regarde devant Vous, ô Esprit de vie, comme un paralytique qui n'a aucune force pour son Salut que celle qu'il attend de Vous.
Virtute firmans perpeti. Ne m'abandonnez pas, ô céleste Médecin, et fortifiez continuellement l'esprit dans le combat. Que je punisse ce corps qui me porte à Vous trahir. Que je n'obéisse pas par une lâche complaisance aux passions qu'il excite, et que je détruise par votre vertu ses appétits déréglés. Que je dise enfin dans le même esprit que le saint Apôtre : Quis me liberabit de corpore mortis hujus ? Hostem repellas longius. A qui appartient-il qu'à vous de commander au mauvais esprit, et de le conjurer en lui disant : Exi, spiritus immunde (Marc 5, 8) ? Levez-vous donc et dissipez tous vos ennemis. Bannissez l'esprit immonde, mettez en fuite ceux de la superbe et de l'hypocrisie qui font injure à l'Esprit de la Grâce, résidant dans son temple.
Pacemque dones protinus. L'ennemi étant exclu par votre Grâce, la paix règnera tout aussitôt dans mon cœur. Mais qui est-ce qui la conservera, Esprit-Saint, cette paix, sinon Vous qui l'avez établie ? Conservez-la, je Vous prie, en éloignant de moi toutes les occasions de la perdre par le péché, ou par quelque attache aux créatures. Conservez-la aussi dans le sein de votre Église : Ut sancto Spiritu congregata hostili nullatetenus incursione turbetur (Oratio Fer. VI. inf. Oct. Pent.).
Ductore sic teprævio. Elle continue de Vous parler ici, cette sainte Épouse de Jésus-Christ, elle Vous appelle son guide et son conducteur, parce que Vous empêchez qu'elle ne s'égare. Elle a bien raison de Vous invoquer sous cette qualité, et moi qui connais combien je me suis écarté de mon devoir lorsque je n'ai pas suivi vos lumières, j'espère sentir désormais la vérité de ce que disait le Prophète : Spiritus tuus bonus deducet me in terram rectam (Psalm. 42, 11). Vous seul pouvez me conduire par le chemin le plus droit.
Vitemus omne norium. Nous sommes quelquefois aussi aveugles sur ce qui peut nous nuire que languissants à pratiquer le bien que nous connaissons. Éclairez-moi donc, ô ma Lumière, afin que je puisse découvrir les pièges et les artifices dont le Démon se sert pour me nuire. Tantôt c'est sous prétexte de bien qu'il engage le cœur dans l'amitié des créatures, tantôt sous apparence de besoin il entraîne dans les liens de la cupidité. Là, il propose l'accessoire pour qu'on abandonne le principal qui est de précepte. Ici, on le voit conseiller une fidélité partagée, l'accomplissement des devoirs généraux, pendant qu'il fait négliger les devoirs particuliers de l'état où votre Providence nous a appelés. Découvrez-moi ces illusions dangereuses, ô Esprit droit et plein de vérité ; éloignez-moi de ses sentiers obliques, de cette voie large et spacieuse qui paraît droite à plusieurs et qui conduit à la mort. Répandez enfin sur les plaisirs trompeurs de ce monde de salutaires amertumes qui me les rendent suspectes et m'en dégoûtent si parfaitement que je ne me laisse point surprendre à leurs attraits séduisants.
Per te sciamus, da, Patrem. Ouvrez mes yeux, ô le Dieu des sciences, pour que je connaisse les grandeurs et les perfections de Celui dont Vous procédez. Je ne Le vois ici-bas que très-imparfaitement et comme à travers d'un voile. Montrez-Le moi donc ce Père céleste, puisque la Vie éternelle consiste à Le connaître. Toute autre connaissance n'est que travail et affliction d'esprit. Mais celle que j'espère de Vous me rendra heureux pour toujours.
Noscamus atque filium. En recevant, ô Esprit Saint, la mission éternelle que Vous donne le Fils de Dieu conjointement avec le Père, n'êtes-Vous pas par là-même engagé à me Le faire connaître selon ce qu'Il est comme Dieu, et selon ce qu'Il est comme homme. Éclairez-moi sur le mystère de Jésus-Christ, le livre des Élus, afin que je fasse de ce livre mon étude continuelle, que je tâche de copier les traits de son image formée en moi par l'opération de votre Grâce, et que Vous voulez que j'achève par l'imitation de ses vertus.
Te utriusque Spiritum, credamus omni tempore. Ô Esprit adorable, je Vous crois égal au Père et au Fils qui Vous produisent ; Vous en êtes le sacré Lien, puisque c'est par Vous qu'Ils S'aiment réciproquement. Mais que me servirait de dire de bouche : Je crois au Saint-Esprit dans le fond de mon cœur, si je blasphémais contre votre divine Personne, ou par un mépris secret de vos inspirations, ou en obéissant aux suggestions de l'esprit malin ? Que serait-ce si un autre esprit que le Vôtre régnait dans mon âme ? Non, ô mon Amour infini, je ne veux d'autre règne en moi que le Vôtre. Je Vous le demande de tout mon cœur. Ainsi soit-il.


R. P. Claude Fyot de Vaugimois (1689-1758) – « Entretiens du Prêtre avec Jésus-Christ, avant et après la Célébration des Saints Mystères » pour servir de préparations et d'actions de Grâces pour tous les Dimanches de l'année et les principales Fêtes de Notre-Seigneur, de la Sainte Vierge et des Saints qui se sont les plus distingués par leurs Vertus Apostoliques, Invocation du Saint-Esprit et paraphrase du Veni Creator, p. 378-384, Labaume, 1843

Esprit-Saint-7-Dons.jpg

Voir les sept quatrains en latin et en français du Veni Creator Spiritus qui correspondent aux Sept Dons du Saint-Esprit (la Sagesse, l'Intelligence, le Conseil, la Force, la Connaissance, l'Affection filiale et la Crainte de Dieu) et l’Hymne « Veni Creator Spiritus » paraphrasée par le Maître de Sacy


Voir également du Révérend Père Claude Fyot de Vaugimois :
- La Prière pour le Premier Dimanche de l'Avent « Ô Jésus, mon Salut et l'Attente des nations, faites-moi bien commencer cette Année Ecclésiastique » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche de l'Avent « Ô Jésus notre Sauveur, c'est Vous qui devez venir, nous n'en attendons point d'autre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche de l'Avent « Faites, Seigneur, que je Vous connaisse et que je me connaisse » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche de l'Avent « Ô mon Dieu, souffrez que je me présente devant le Tribunal de vos Miséricordes afin de prévenir Celui de votre Justice » du R. P. Fyot de Vaugimois
- Les Paraphrases des Grandes Antiennes de l’Avent « Ô Sapientia ! Ô Adonai ! Ô Radix Jesse ! Ô Glavis David ! Ô Oriens ! Ô Rex Gentium ! Ô Emmanuel ! » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la veille de Noël avant la Messe de Minuit « Recevez Divin Jésus dès maintenant les cantiques que l'Église Sainte doit Vous adresser demain dans les transports de sa Joie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jour de Noël « Ô mon Dieu, qu'il y en a peu même parmi vos Prêtres qui veulent recevoir la Grâce que Vous leur présentez aujourd'hui comme fruit des Trois Messes qu'ils célèbrent » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour l'Épiphanie « Il est temps, ô mon Dieu, que les nations Vous connaissent » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mercredi des Cendres « Ces cendres, ô mon Dieu, me font souvenir de ce que je suis et de ce que Vous êtes » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Premier Dimanche de Carême « Ô Seigneur, mettez-moi à l'abri des tentations du Démon sur qui Vous remportez aujourd'hui une si glorieuse victoire » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche de Carême « Ô divin Jésus, Vous Vous transfigurez pour nous faire comprendre que nous serons un jour semblables à Vous » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche de Carême « Vous guérissez si parfaitement un possédé aveugle et muet, Seigneur, qu'il commence à parler et à voir » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche de Carême « Rassasiez-vous, Prêtres de Jésus-Christ, de ce Pain qui peut rassasier tous les hommes et tous les Anges » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche de la Passion « Purifiez-moi par votre Sang, ô Agneau sans tâche qui portez et effacez les péchés du monde » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche des Rameaux « Seigneur, que je porte chaque jour quelque palme de la mortification de mes appétits déréglés pour Vous les mettre sous les pieds » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jeudi Saint « Seigneur, lavez-moi non les pieds ni la tête mais mon cœur des moindres taches qui pourraient Vous déplaire » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Vendredi Saint « Qu'élevant mes yeux jusqu'à Vous, ô mon Jésus, je sois pénétré d'une vive douleur de Vous avoir crucifié par mes péchés » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Samedi Saint « Ô Jésus, dont l'âme séparée de votre corps est descendue aux Enfers pour porter la lumière à ceux qui étaient assis dans les ombres de la mort » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Saint Jour de Pâques « Je me lèverai et je parcourrai la ville en cherchant Celui qui fait l'objet de mon amour » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Lundi de Pâques « Heureux, Seigneur, ces disciples auxquels Vous Vous joignez aujourd'hui pour être le Compagnon de leur voyage » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mardi de Pâques « Ô mon Dieu, que j'aurais bien sujet d'être, comme les Apôtres, frappé d'étonnement et de crainte en Vous voyant venir jusqu'à moi ! » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mercredi de Pâques « Ô Seigneur, découvrez-Vous à moi comme Vous le fîtes aux Apôtres qui Vous connurent sur le bord de la mer de Tibériade » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jeudi de Pâques « Dites-moi, Seigneur, comme à Marie Magdeleine une Parole qui pénètre bien avant dans mon cœur » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Vendredi de Pâques « Quelle joie et quelle agréable surprise pour vos Apôtres, Seigneur, de Vous voir dans la splendeur de votre vie ressuscitée » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Samedi de Pâques in Albis « Deux Apôtres couraient ensemble à votre sépulcre, ô mon Seigneur, l'un par les transports de sa foi et l'autre par les saillies de son amour » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche in Albis de l’Octave de Pâques « Que de Bienfaits, mon Dieu, que de Grâces reçois-je de Vous aujourd'hui à la fin de cette sainte et heureuse Octave » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche après Pâques « Qu'il est doux, mon Sauveur, de se laisser conduire par un aussi bon Pasteur que Vous » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche après Pâques « Seigneur, je ne Vous demande point de part aux joies du monde toujours vaines et souvent criminelles » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche après Pâques « Ô mon divin Sauveur, que la tristesse des Apôtres paraissait juste sur le point qu'ils étaient de Vous perdre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Cinquième Dimanche après Pâques « Fortifiez ma prière, Seigneur Jésus, puisqu'elle est faite en votre Nom afin qu'elle pénètre les Cieux » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Veille de la Fête de l'Ascension « Aidez-moi, Seigneur, à me dépouiller de tout ce qui pourrait m'empêcher de Vous suivre au Ciel » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de l'Ascension « C'est aujourd'hui, Seigneur, que Vous quittez la terre et que Vous achevez glorieusement votre course » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche dans l'Octave de l'Ascension « Quand serai-je, ô mon Dieu, vigilant dans la Prière ? » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Veille de la Pentecôte « Ô Esprit d'amour, mon cœur est tiède et languissant, il sent le besoin qu'il a d'être réchauffé par votre Souffle » du R. P. Fyot de Vaugimois
- L’Hymne du Veni Creator Spiritus « Je veux exprimer par ces paroles le désir de mon cœur et la satisfaction que j'aurais si Vous veniez, ô Esprit Saint, faire en moi votre demeure » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Saint Jour de la Pentecôte « Ô mon Jésus, faites-moi la Grâce de recevoir votre Esprit en recevant votre divin Corps dans la sainte Eucharistie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour l’anniversaire de son Baptême « Renouvelez en mon âme, ô mon Sauveur, la Grâce du Sacrement d'adoption » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour demander la Grâce de bien connaître ses péchés « Ô mon Dieu, faites-moi voir le nombre, la malice et les plus petites circonstances déréglées des fautes que j’ai commises » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour demander à Dieu la Contrition de nos péchés « Laissez-Vous toucher, ô mon Dieu, par les regrets d'un cœur véritablement contrit » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière avant une Sainte Confession « Faites que je reçoive dans ce Sacrement la Grâce de ne plus retomber » du R-P. Fyot de Vaugimois
- L’Acte de Foi sur les effets du Sacrement de Pénitence « Mon Dieu, ce que Vous venez de faire en ma faveur m'inspire une haine toute nouvelle pour le péché et me fait prendre une ferme résolution de n'en plus commettre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière d’un Prêtre sur son Ministère « Ô Seigneur, aidez-moi à unir ensemble les fonctions de Marthe et de Marie » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Paix « Ô Jésus, Dieu de Paix, qui avez pacifié le ciel et la terre » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint André « Heureux ce grand Saint de s'être tenu dans l'humble condition d'un Pénitent » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint François Xavier, Apôtre des Indes « Je vous révère, ô Apôtre des Indes, pour la Conversion de milliers d’âmes » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint Nicolas, Évêque de Myre « Ô Saint Nicolas de Myre, faites-moi éviter les pièges que le monde tend à l'Innocence » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de la Conception de la Sainte Vierge « Je Vous salue, ô Vierge Marie, qui par un Privilège jusqu'alors inouï avez été préservée du péché originel » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Thomas, Apôtre « Ô mon Dieu, je veux moyennant votre Sainte Grâce vivre en Apôtre pour mourir un jour en Saint » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Étienne « Ô Seigneur Jésus, que j'imite au moins quelques-unes des Vertus de votre Premier Martyr » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Jean l'Évangéliste « Heureux Disciple qui, couché sur le Cœur de votre Maître, y goûtez les Joies du Paradis » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête des Saints Innocents « Ô mon Sauveur, les Saints Innocents rendent aujourd'hui témoignage à votre Souveraine Grandeur » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint Joseph le 19 mars « Ô Chef de la sainte Famille, avec quel soin avez-vous servi Jésus et Marie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Philippe Néri le 26 mai « Ô Prêtre de l'amour, qui avez attiré tous les cœurs comme le fer attire l'aimant » du R. P. Fyot de Vaugimois