Voici la prose Veni Sancte Spiritus attribuée au Pape Innocent III (1161-1216) qui peut servir d'entretien avant ou après la Sainte Messe paraphrasée « Esprit Saint et Sanctificateur des âmes, venez et répandez seulement sur moi un rayon de votre Lumière » par le Révérend Père Claude Fyot de Vaugimois (1689-1758), Prêtre de la Compagnie de Saint-Sulpice, Professeur de Théologie puis Supérieur au Séminaire Saint-Irénée de Lyon, auteur du recueil de méditations des entretiens abrégés avec Notre-Seigneur Jésus-Christ avant et après la Sainte Messe pour les Prêtres.

Le Veni Sancte Spiritus « Esprit Saint et Sanctificateur des âmes, venez et répandez seulement sur moi un rayon de votre Lumière » du R. P. Fyot de Vaugimois :

Esprit Saint et Sanctificateur des âmes, venez, répandez seulement sur moi un rayon de votre Lumière. Un rayon suffira pour m'éclairer, et une étincelle de ce Feu céleste que Vous allumez dans les cœurs aura bientôt embrasé le mien, elle le purifiera dans un moment de toutes les affections de la terre. Venez, et s'il faut faire monter vers Vous des vœux pour Vous faire descendre sur moi, Vous voyez dans mon âme les vœux que je forme, Vous entendez mes soupirs et la prière que je Vous adresse. Venez, mon cœur est ouvert pour Vous recevoir, et s'il ne l'est pas, il ne tient qu'à Vous de l'ouvrir. Un mouvement imprimé par votre Grâce Vous y donnera bientôt une entrée libre. Venez donc, Esprit-Saint, et rendez-moi tout spirituel ; détruisez en moi l'esprit du monde, cet esprit d'intérêt, cet esprit d'orgueil, cet esprit de sensualité et de plaisir. Détruisez mon esprit propre, et soyez désormais Vous-même le seul Esprit qui m'anime. Venez, Esprit Saint, sanctifiez toutes mes facultés intérieures ; sanctifiez toutes mes facultés extérieures, toutes mes pensées, toutes mes paroles, toutes mes actions ; sanctifiez-moi comme Vous êtes Saint.
Mon âme, dénuée de toutes les vertus, languit dans une triste disette ; mais Vous êtes le Père des pauvres, Vous êtes la Source intarissable de toutes les Grâces divines, le dépositaire de tous les trésors du Ciel, le dispensateur de tous les dons ; et c'est aux âmes humiliées devant Vous, qui reconnaissent leur misère, que Vous les communiquez avec plus d'abondance. Mon cœur, séduit et aveuglé, est sujet à mille illusions, tout contribue à le tromper, tout y conspire, et dans moi et hors de moi ; la cupidité qui me domine, le charme du monde qui m'enchante, les objets qui frappent mes sens.
Mais Vous êtes la Lumière des cœurs. Cette Lumière que nous voyons brille seulement à nos yeux, et ce fut d'abord sous cette figure sensible que Vous descendîtes autrefois sur les Apôtres ; mais, sans Vous faire voir, Vous avez des opérations plus intimes, et qui, pour être secrètes, n'en sont que plus puissantes. Votre Lumière passe jusqu'au cœur, et quand un cœur est éclairé de cette lueur divine, il prend bien d'autres sentiments que ceux qui le touchaient et forme bien d'autres désirs : il découvre tout le néant des vanités humaines ; il en connaît toute la vanité, tout le danger, toute la corruption. Ce qui l'éblouissait, ce qui le charmait et l'enivrait, lui devient méprisable, et il n'a d'estime que pour les biens invisibles et les choses du Ciel.
Cependant, divin Consolateur, Vous savez bien dédommager une âme des fausses joies du monde, auxquelles elle renonce. Y a-t-il même dans la vie un autre bonheur solide que celui qui vient de Vous ? Hélas, depuis tant d'années je cherche un repos que je ne trouve point, parce que je ne le cherche pas où il est. Se passe-t-il un jour où je ne sois sans cesse exposé à mille chagrins, et qu'est-ce que je trouve partout, si ce n'est amertume et affliction ? Je m'en suis plaint tant de fois, mais toujours en vain ; mes peines me suivent partout, et souvent il en naît de nouvelles de là même d'où je croyais recevoir ma consolation. Mais qui peut dire ce que sent une âme où Vous venez faire votre demeure ? Vous y entrez comme un Hôte ardemment désiré, longtemps attendu, et qui apporte par sa Présence la joie à toute une maison. Vous y descendez comme une rosée douce et rafraichissante qui humecte le sein de la terre et qui couvre de fleurs une campagne aride et desséchée. Tout affligé qu'on est, ou qu'on le paraît, dès que Vous êtes dans un cœur et que Vous y faites seulement couler une goutte de votre onction sainte, il jouit d'un calme inaltérable. Au milieu des plus violents combats, il est en paix ; parmi les plus amers déplaisirs, il est content ; il ne sait pas où il l'est, ni comment il l'est ; mais il l'est, et il l'est de telle sorte qu'un moment de ces délices intérieurs lui fait oublier tout ce qu'il a jamais ressenti dans le monde ou de plus douloureux, ou de plus agréable, ou de plus doux.
Si donc je suis, dans le travail, engagé dans une multitude d'affaires qui m'embarrassent, occupé des soins de la vie qui me fatiguent, au milieu de mes fatigues et de mes embarras, c'est en Vous que je me reposerai. Si mes passions s'allument et qu'il faille réprimer leurs saillies trop vives et trop ardentes, ce sera Vous qui en amortirez le feu. Si l'adversité m'abat, et qu'exposé à mille revers et à mille accidents fâcheux, j'aie besoin de secours et d'appui, ce sera Vous qui me relèverez, et qui me servirez de soutien. Vous me tiendrez lieu de toutes choses : de soulagement, de préservatif, de remède, d'ami, de confident, de père, de conseil, de conducteur, de maître.
Ô sainte Lumière, Lumière éternelle et toujours subsistante, principe de tout bien, remplissez les cœurs de tous vos fidèles. Ils sont à Vous, divin Esprit, puisque c'est par Vous qu'ils ont été régénérés, et que c'est encore par Vous qu'ils vivent d'une vie spirituelle et toute céleste. Ce sont les membres de cette Église dont le Sauveur des hommes a formé son corps mystique et que Vous devez animer. Excitez-les, purifiez-les, vivifiez-es, imprimez profondément dans leur âme votre Loi : non plus cette loi de rigueur que Moïse reçut gravée sur des tables, mais cette Loi de Grâce que Jésus-Christ est venu graver dans les cœurs ; non plus cette loi de terreur et propre des esclaves, mais cette Loi d'amour et propre des enfants ; cette Loi que Vous mettez aujourd'hui dans toute sa force, en y mettant le dernier sceau ; cette Loi que les Apôtres, en votre Nom et par votre inspiration, ont publiée dans tout le monde, et qui s'y est maintenue depuis tant de siècles et malgré tant de persécutions, qui s'y maintient encore et qui y domine. Faites-nous la connaître, cette Loi pure et sans tache, faites-nous-en voir la droiture, la sagesse, l'équité, l'excellence, la perfection, la douceur, tous les avantages. En La connaissant, nous L'aimerons, et en L'aimant, nous La pratiquerons.
Sans Vous, sans l'assistance de votre Grâce, qu'y a-t-il de bien en l'homme, et que peut-il faire ? Elle est, cette Grâce divine, comme une eau purifiante qui nous lave de toutes nos souillures, comme une rosée bienfaisante qui nous tire de nos langueurs et de nos sécheresses, comme un remède salutaire qui ferme et qui guérit toutes nos plaies. Mon cœur fût-il plus dur que le fer, Elle peut l'amollir ; fût-il plus froid que la glace, Elle peut l'embraser ; fût-il dans le plus long égarement, Elle peut le ramener. Faites-la couler sur moi, cette eau purifiante, et qu'elle efface en moi tout ce qu'il y a d'impur. Versez-la sur moi, cette rosée bienfaisante, et qu'elle fasse germer dans mon cœur toutes les vertus. Donnez-le-moi, ce remède salutaire, et qu'il remette mon âme dans une parfaite santé, en la dégageant de ses habitudes vicieuses et de toutes les affections de la terre.
C'est ce que Vous avez fait dans les Apôtres et dans les premiers Chrétiens ; et ce que Vous avez fait pour eux, Vous le pouvez faire encore en nous. Ayez égard au caractère tout divin que nous portons et dont Vous nous avez marqué dans notre Baptême. Ayez égard à la confiance qui nous fait recourir à Vous et avec laquelle nous Vous prions. Dès que les Apôtres et les premiers fidèles Vous eurent reçu, quels merveilleux changements firent-ils tout-à-coup paraître ! Quelle pureté dans leurs vues ! Quelle droiture dans leurs intentions ! Quelle fermeté dans leurs sentiments ! Quelle édification dans leurs discours ! Quelle régularité dans leur conduite ! Quel mépris du monde ! Quel détachement d'eux-mêmes ! Quel amour pour Dieu ! Quel zèle pour sa gloire ! Et quelle ferveur dans l'observation de tous leurs devoirs ! Voilà ce que Vous opérâtes en eux, et comme Esprit de Vérité, et comme Esprit de Sainteté.
Comme esprit de Vérité, Vous leur communiquâtes le don de sagesse, pour apprendre à n'estimer que les biens éternels. Le don d'intelligence, pour comprendre les grands principes de la foi, et pour se les appliquer à eux-mêmes. Le don de science, pour connaître ce que c'est que la perfection évangélique et les moyens d'y parvenir. Le don de conseil, pour découvrir tous les obstacles du salut, et pour se préserver des pièges et des illusions du monde et de la nature corrompue.
Comme Esprit de Sainteté, Vous leur communiquâtes le don de force, pour surmonter toutes les difficultés qui se présentaient, et pour demeurer fermes dans votre service, malgré toutes les considérations humaines, malgré les tourments et la mort même. Le don de piété, soit envers Dieu pour l'aimer, soit envers le prochain pour lui rendre tous les devoirs de la charité Chrétienne. Enfin, le don de crainte, pour concevoir une sainte horreur du péché, et pour se tenir dans une attention et une vigilance continuelle sur eux-mêmes. Souverain dispensateur de ces dons précieux, daignez m'en faire part, et ne soyez pas moins libéral pour moi que pour les Apôtres.
J'ai trop longtemps désiré des biens fragiles, et peut-être ai-je trop fait de vœux au Ciel pour les obtenir ? Mais, ô Esprit de Vérité, ô Esprit de Sainteté, ce que je Vous demande aujourd'hui, ce que je Vous demande par-dessus tout, ce que je Vous demande même comme l'unique bien que je dois estimer dans la vie et rechercher, ce sont les secours nécessaires pour vivre Chrétiennement, pour mourir Saintement, et pour régner avec Vous éternellement. Ainsi soit-il.

R. P. Claude Fyot de Vaugimois (1689-1758) – « Entretiens du Prêtre avec Jésus-Christ, avant et après la Célébration des Saints Mystères » pour servir de préparations et d'actions de Grâces pour tous les Dimanches de l'année et les principales Fêtes de Notre-Seigneur, de la Sainte Vierge et des Saints qui se sont les plus distingués par leurs Vertus Apostoliques, Paraphrase de la prose Veni Sancte Spiritus qui peut servir d'entretien avant ou après la Sainte Messe, p. 385-389, Labaume, 1843

Voir la prose « Veni Sancte Spiritus » (latin/français) attribuée au Pape Innocent III et la Paraphrase « Esprit-Saint, amoureuse Flamme, viens du Ciel et lance en notre âme un clair rayon de Tes ardeurs » du Maître de Sacy


Voir également du Révérend Père Claude Fyot de Vaugimois :
- La Prière pour le Premier Dimanche de l'Avent « Ô Jésus, mon Salut et l'Attente des nations, faites-moi bien commencer cette Année Ecclésiastique » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche de l'Avent « Ô Jésus notre Sauveur, c'est Vous qui devez venir, nous n'en attendons point d'autre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche de l'Avent « Faites, Seigneur, que je Vous connaisse et que je me connaisse » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche de l'Avent « Ô mon Dieu, souffrez que je me présente devant le Tribunal de vos Miséricordes afin de prévenir Celui de votre Justice » du R. P. Fyot de Vaugimois
- Les Paraphrases des Grandes Antiennes de l’Avent « Ô Sapientia ! Ô Adonai ! Ô Radix Jesse ! Ô Glavis David ! Ô Oriens ! Ô Rex Gentium ! Ô Emmanuel ! » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la veille de Noël avant la Messe de Minuit « Recevez Divin Jésus dès maintenant les cantiques que l'Église Sainte doit Vous adresser demain dans les transports de sa Joie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jour de Noël « Ô mon Dieu, qu'il y en a peu même parmi vos Prêtres qui veulent recevoir la Grâce que Vous leur présentez aujourd'hui comme fruit des Trois Messes qu'ils célèbrent » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour l'Épiphanie « Il est temps, ô mon Dieu, que les nations Vous connaissent » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mercredi des Cendres « Ces cendres, ô mon Dieu, me font souvenir de ce que je suis et de ce que Vous êtes » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Premier Dimanche de Carême « Ô Seigneur, mettez-moi à l'abri des tentations du Démon sur qui Vous remportez aujourd'hui une si glorieuse victoire » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche de Carême « Ô divin Jésus, Vous Vous transfigurez pour nous faire comprendre que nous serons un jour semblables à Vous » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche de Carême « Vous guérissez si parfaitement un possédé aveugle et muet, Seigneur, qu'il commence à parler et à voir » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche de Carême « Rassasiez-vous, Prêtres de Jésus-Christ, de ce Pain qui peut rassasier tous les hommes et tous les Anges » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche de la Passion « Purifiez-moi par votre Sang, ô Agneau sans tâche qui portez et effacez les péchés du monde » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche des Rameaux « Seigneur, que je porte chaque jour quelque palme de la mortification de mes appétits déréglés pour Vous les mettre sous les pieds » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jeudi Saint « Seigneur, lavez-moi non les pieds ni la tête mais mon cœur des moindres taches qui pourraient Vous déplaire » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Vendredi Saint « Qu'élevant mes yeux jusqu'à Vous, ô mon Jésus, je sois pénétré d'une vive douleur de Vous avoir crucifié par mes péchés » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Samedi Saint « Ô Jésus, dont l'âme séparée de votre corps est descendue aux Enfers pour porter la lumière à ceux qui étaient assis dans les ombres de la mort » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Saint Jour de Pâques « Je me lèverai et je parcourrai la ville en cherchant Celui qui fait l'objet de mon amour » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Lundi de Pâques « Heureux, Seigneur, ces disciples auxquels Vous Vous joignez aujourd'hui pour être le Compagnon de leur voyage » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mardi de Pâques « Ô mon Dieu, que j'aurais bien sujet d'être, comme les Apôtres, frappé d'étonnement et de crainte en Vous voyant venir jusqu'à moi ! » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Mercredi de Pâques « Ô Seigneur, découvrez-Vous à moi comme Vous le fîtes aux Apôtres qui Vous connurent sur le bord de la mer de Tibériade » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Jeudi de Pâques « Dites-moi, Seigneur, comme à Marie Magdeleine une Parole qui pénètre bien avant dans mon cœur » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Vendredi de Pâques « Quelle joie et quelle agréable surprise pour vos Apôtres, Seigneur, de Vous voir dans la splendeur de votre vie ressuscitée » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Samedi de Pâques in Albis « Deux Apôtres couraient ensemble à votre sépulcre, ô mon Seigneur, l'un par les transports de sa foi et l'autre par les saillies de son amour » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche in Albis de l’Octave de Pâques « Que de Bienfaits, mon Dieu, que de Grâces reçois-je de Vous aujourd'hui à la fin de cette sainte et heureuse Octave » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Deuxième Dimanche après Pâques « Qu'il est doux, mon Sauveur, de se laisser conduire par un aussi bon Pasteur que Vous » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Troisième Dimanche après Pâques « Seigneur, je ne Vous demande point de part aux joies du monde toujours vaines et souvent criminelles » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Quatrième Dimanche après Pâques « Ô mon divin Sauveur, que la tristesse des Apôtres paraissait juste sur le point qu'ils étaient de Vous perdre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Cinquième Dimanche après Pâques « Fortifiez ma prière, Seigneur Jésus, puisqu'elle est faite en votre Nom afin qu'elle pénètre les Cieux » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Veille de la Fête de l'Ascension « Aidez-moi, Seigneur, à me dépouiller de tout ce qui pourrait m'empêcher de Vous suivre au Ciel » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de l'Ascension « C'est aujourd'hui, Seigneur, que Vous quittez la terre et que Vous achevez glorieusement votre course » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Dimanche dans l'Octave de l'Ascension « Quand serai-je, ô mon Dieu, vigilant dans la Prière ? » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Veille de la Pentecôte « Ô Esprit d'amour, mon cœur est tiède et languissant, il sent le besoin qu'il a d'être réchauffé par votre Souffle » du R. P. Fyot de Vaugimois
- L’Hymne du Veni Creator Spiritus « Je veux exprimer par ces paroles le désir de mon cœur et la satisfaction que j'aurais si Vous veniez, ô Esprit Saint, faire en moi votre demeure » du R. P. Fyot de Vaugimois
- Le Veni Sancte Spiritus « Esprit Saint et Sanctificateur des âmes, venez et répandez seulement sur moi un rayon de votre Lumière » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour le Saint Jour de la Pentecôte « Ô mon Jésus, faites-moi la Grâce de recevoir votre Esprit en recevant votre divin Corps dans la sainte Eucharistie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour l’anniversaire de son Baptême « Renouvelez en mon âme, ô mon Sauveur, la Grâce du Sacrement d'adoption » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour demander la Grâce de bien connaître ses péchés « Ô mon Dieu, faites-moi voir le nombre, la malice et les plus petites circonstances déréglées des fautes que j’ai commises » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour demander à Dieu la Contrition de nos péchés « Laissez-Vous toucher, ô mon Dieu, par les regrets d'un cœur véritablement contrit » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière avant une Sainte Confession « Faites que je reçoive dans ce Sacrement la Grâce de ne plus retomber » du R-P. Fyot de Vaugimois
- L’Acte de Foi sur les effets du Sacrement de Pénitence « Mon Dieu, ce que Vous venez de faire en ma faveur m'inspire une haine toute nouvelle pour le péché et me fait prendre une ferme résolution de n'en plus commettre » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière d’un Prêtre sur son Ministère « Ô Seigneur, aidez-moi à unir ensemble les fonctions de Marthe et de Marie » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Paix « Ô Jésus, Dieu de Paix, qui avez pacifié le ciel et la terre » du R-P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint André « Heureux ce grand Saint de s'être tenu dans l'humble condition d'un Pénitent » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint François Xavier, Apôtre des Indes « Je vous révère, ô Apôtre des Indes, pour la Conversion de milliers d’âmes » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint Nicolas, Évêque de Myre « Ô Saint Nicolas de Myre, faites-moi éviter les pièges que le monde tend à l'Innocence » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de la Conception de la Sainte Vierge « Je Vous salue, ô Vierge Marie, qui par un Privilège jusqu'alors inouï avez été préservée du péché originel » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Thomas, Apôtre « Ô mon Dieu, je veux moyennant votre Sainte Grâce vivre en Apôtre pour mourir un jour en Saint » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Étienne « Ô Seigneur Jésus, que j'imite au moins quelques-unes des Vertus de votre Premier Martyr » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Jean l'Évangéliste « Heureux Disciple qui, couché sur le Cœur de votre Maître, y goûtez les Joies du Paradis » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête des Saints Innocents « Ô mon Sauveur, les Saints Innocents rendent aujourd'hui témoignage à votre Souveraine Grandeur » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière à Saint Joseph le 19 mars « Ô Chef de la sainte Famille, avec quel soin avez-vous servi Jésus et Marie » du R. P. Fyot de Vaugimois
- La Prière pour la Fête de Saint Philippe Néri le 26 mai « Ô Prêtre de l'amour, qui avez attiré tous les cœurs comme le fer attire l'aimant » du R. P. Fyot de Vaugimois