Voici une Méditation sur la Sainteté de Marie au moment de sa bienheureuse Naissance qui diffère de Celle qu'Elle a reçue au moment de sa Conception, en ce qu'elle a été beaucoup plus universellement reconnue et même encore plus abondante « Pour moi, ô Vierge Immaculée, j'adhère de tout mon cœur à ces pieux sentiments et je les crois solidement établis » donnée en la Fête de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie (In Nativitate B. Mariæ V.) célébrée le 8 septembre par Monsieur l’Abbé Arnaud-Bernard d'Icard Duquesne (1732-1791), Vicaire Général de Soissons qui à la demande de l’Archevêque de Paris, Mgr Christophe de Beaumont, va être l’Aumônier de la prison de la Bastille au début de la triste révolution française.
La Méditation sur la Sainteté de Marie au moment de sa Naissance « Pour moi, ô Vierge Immaculée, j'adhère de tout mon cœur à ces pieux sentiments et je les crois solidement établis » de l’Abbé Arnaud Duquesne :
A Dieu ne plaise que pour célébrer la grâce de Marie dans sa Nativité nous élevions le moindre doute touchant la grâce de sa Conception ! Ce serait nous contredire nous-mêmes et démentir nos propres sentiments, que de prétendre enlever à la Mère de Dieu, ou diminuer en elle, une prérogative établie sur les principes les plus solides, une prérogative que toute la multitude du peuple Chrétien lui a constamment et si hautement attribuée, que toute l'Église honore par un culte public et solennel, et qui, en conséquence des desseins de Dieu sur elle, semblait lui être due. Qui, nous nous plaisons à le répéter, Marie seule fut préservée de la contagion générale.
Ce moment, où tous les hommes, enveloppés dans la disgrâce du Créateur, semblent n'être tirés de la masse commune que pour en perpétuer l'opprobre et l'ignominie, fut pour elle un moment de gloire. Remplie de Grâce dès le moment de sa Conception, elle parut au milieu des filles d'Adam, comme ce signe céleste et bienfaisant dont les vives et brillantes couleurs percent à travers l'épaisseur des nuages, présage consolant de la fin des tempêtes, ou telle que le lys au milieu des épines ; ou telle encore qu'une fumée légère de parfums délicieux se répand et s'élève jusqu'au trône de Dieu : Sicut virgula fumi, ex aromatibus mirrhæ et thuris.
Distinguée de toutes les créatures par la prérogative de la Maternité Divine dont elle doit être revêtue, le Verbe se fit une gloire de consacrer par l'onction de sa Sainteté, les prémices de son être, et il lui fit sentir l'impression de sa grâce dans le sein de sa mère : Dominus ab utero vocavit me.
L'Enfer ne reconnut donc pas en elle sa proie, le Démon son esclave, la justice rigoureuse sa victime ; non que cette auguste vierge eût été soustraite à la loi de la rédemption, et qu'elle n'eût pas besoin d'être teinte du sang de l'Agneau pour échapper au glaive de l'Ange exterminateur : ce serait sans doute dérober à sa gloire et affaiblir sa grandeur, que de lui ôter les fruits d'un mystère où l'amour infini de Jésus-Christ se déploie tout entier.
Pécheresse dans Adam, elle était, comme nous, dévouée à l'anathème et destinée à l'esclavage ; mais la Miséricorde arrêta tous les traits de la Vengeance, en rétablissant cette créature dans l'Innocence, avant que la Justice pût exercer ses droits. Les mérites du Rédempteur qui purifiaient les autres enfants d'Adam de leurs souillures, préservèrent Marie de la contagion commune ; et, comme dit un saint docteur, la Grâce qui répare en nous les suites funestes du Péché, prévint en elle le désordre de la Nature : Alii post peccatum creati sunt, Maria in ipso casu sustentata est ne rueret.
Tel est l'auguste privilège que l'Église reconnaît dans Marie, et qu'elle propose aux fidèles, non comme une règle de leur foi, mais comme l'objet d'une croyance pieuse, fondée sur la Maternité Divine, propre à nous manifester les miséricordes du Seigneur dans ce vase d'élection, et conforme à l'idée que nous avons de la tendresse de Jésus-Christ pour cette auguste Vierge.
Telle est la faveur singulière que la pente du cœur et une tendre dévotion nous portent à reconnaître dans la mère commune de tous les hommes quoique l'Esprit ne soit pas décidé par l'autorité de la Révélation. Marie a été conçue sans péché ; c'est la doctrine que nous nous faisons un devoir et une gloire tout ensemble de professer.
Cependant, en comparant ces deux états celui de Marie dans sa Conception, et celui de cette même Vierge dans sa bienheureuse Nativité, nous ne pouvons nous dissimuler que la Sainteté de sa Conception n'a pas été sans quelques contestations ; que jusque dans le sein de l'Église ce point a été discuté ; que sur cet objet une pleine unanimité n'a pas tout-à-coup concilié tous les esprits, qu'ils ont même été entièrement divisés quoique le parti favorable ait prévalu, et par le nombre, et par la force de la Vérité. Voilà ce dont nous sommes obligés de convenir.
Mais à l'égard du Mystère de la Nativité que nous célébrons, et de l'incontestable Sainteté qu'il expose à notre foi, je n'aperçois qu'un consentement général, et je n'entends de toutes parts qu'une même voix.
Tout ici se réunit de soi-même et sans violence. On chante partout, et tous le chantent, que Marie en ce jour commence à paraître au Monde comme une fleur qui naît dans les campagnes, pure et brillante : Ego flos campi ; qu'elle s'y montre comme le lys qui croît dans les vallées avec toute sa blancheur, et sans nulle flétrissure qui obscurcisse son éclat : Et lilium convallium ; qu'elle est comme l'Aurore qui ramène le Jour, et qui, dès son lever, brille déjà des plus éclatantes couleurs : Progreditur quasi aurora consurgens.
Éloges figurés d'une grâce plus universellement reconnue, et même encore d'une grâce plus abondante et plus excellente. En effet, outre la certitude de la grâce qui sanctifia la naissance de Marie, j'y trouve un degré d'excellence que n'eut point la grâce de sa Conception ; car, s'il est permis de raisonner quelquefois dans l'ordre de la Grâce comme nous raisonnons dans l'ordre de la Nature, et de juger de l'avancement de l'âme par les divers accroissements du corps qui, depuis le premier instant qu'il est formé, sans demeurer dans le même état, croît toujours d'un jour à un autre, s'étend et se fortifie ; ainsi, l'on peut dire que la Grâce, dans une âme Sainte qu'elle possède, et où nul obstacle ne l'arrête, fait sans cesse, et d'une heure à une autre heure, de nouveaux progrès, se répand avec plus de profusion, et communique plus abondamment ses dons.
Delà je conclus que la Grâce de Marie dans sa Naissance a donc autant surpassé la Grâce de sa Conception, qu'il y eût, entre ces deux termes, de moments où le don, où le talent de la Grâce pût profiter.
C'est la même Grâce, sans doute, grâce très-abondante dans la Conception de Marie, mais augmentée et bien enrichie dans sa Naissance. Pourquoi même ne dirions-nous pas que la Grâce de sa Nativité a eu un caractère propre et singulier ?
Puisque Dieu, dans les événements particuliers, surtout si ce sont de ces événements remarquables et plus mémorables, donne des grâces particulières, serions-nous donc mal fondés à croire qu'il y eût, dans les trésors de sa Providence, une grâce spéciale marquée pour un jour, qui est, à proprement parler, le commencement de la vie sans égard à ce qui a été précédé, et où le Ciel, pour la première fois, voulait produire au Monde la Vierge qu'il avait choisie, et qui devait, quelques années ensuite, donner aux hommes le Sauveur qu'ils attendaient ?
Quoi qu'il en soit, il est toujours vrai, comme nous l'avons annoncé, que la Grâce, et par conséquent la Sainteté a été l'apanage et le caractère distinctif de la Mère de Dieu dans sa Naissance : Sainteté plus abondante encore que dans sa Conception : Sainteté non seulement habituelle, mais actuelle, pour m'exprimer avec le docteur angélique Saint Thomas et tous les théologiens.
Par la Sainteté habituelle, on entend cette grâce sanctifiante, ce don du Ciel le plus précieux, qui réside en nous, pour nous rendre, tant qu'il y demeure, agréables à Dieu et dignes de son amour.
Par la Sainteté actuelle, on entend les actes de vertus que nous pratiquons, aidés du secours de la Grâce qui nous est communiquée, et qui nous donne le pouvoir d'aimer Dieu, et de Lui marquer notre amour, ou par des sentiments, ou par des effets.
Or, Marie dans sa Naissance eut l'une et l'autre Sainteté ; c'est-à-dire qu'elle eut le double avantage, et de naître dans l'état de la Grâce, et d'agir dès sa naissance même avec la Grâce ; c'est-à dire que la Sainteté de Marie, commencée dans sa Conception, fut plus abondante dans sa Naissance, parce que dès ce moment elle fut une Sainteté agissante ; c'est-à-dire que Marie répondit à la grâce de sa Nativité par une prompte et pleine coopération, et que déjà, par tous les actes des plus éminentes vertus, elle fit valoir le talent qu'elle recevait. Car, ce que nous devons bien remarquer, c'est que jamais les pères et les docteurs de l'Église n'ont prétendu comparer cette Vierge recevant la Grâce dans sa naissance avec les autres enfants, lorsqu'ils la reçoivent dans le Baptême. Leur raison, encore enveloppée, n'est point alors en liberté d'agir, ni leur cœur en disposition de former quelque sentiment. Il faut pour cela employer une bouche étrangère, et ce n'est que par le ministère de ceux qui les présentent, et qui se substituent en leur place, qu'ils peuvent répondre et s'engager.
Mais ce n'est point ici une opinion qu'ait formée une pieuse et trop facile crédulité : de penser, de dire que dès l'instant que Marie commença de naître, déjà au-dessus des faiblesses de l'Enfance, et dans un dégagement anticipé de toutes les facultés de son âme, elle connaissait, et le Créateur de qui elle tenait l'être et le Sanctificateur qui, avec l'Être, lui avait donné la Grâce ; de penser et de dire qu'entrant dans le Monde, elle adora en esprit le souverain Seigneur du Monde ; et que s'offrant à lui, elle lui fit, avec une proportion convenable, comme Jésus-Christ, et le même hommage, et le même sacrifice d'elle-même : Ingrediens mundum dicit : Ecce venio, ut faciam, Deus, voluntatem tuam : de penser et de dire que cette Vierge Sainte, plus éclairée que ne le fut Jean-Baptiste dans le sein d'Élisabeth, et plus vivement touchée, tressaillit d'une vive joie en naissant, soit dans la vue des infinies perfections de Dieu, qui se manifesta plus sensiblement à elle ; soit dans un retour de son cœur vers cette suprême bonté, qui la comblait si libéralement de ses faveurs ; soit dans une connaissance, obscure néanmoins encore et non distincte, des grands desseins que le Ciel avait conçus de toute éternité sur elle, et à l'exécution desquels elle devait bientôt servir ; enfin de penser et de dire que, remplie de ces hautes idées, et comme ravie hors d'elle-même lorsque à peine elle apprenait à se connaître, l'âme de Marie se livra à toute la tendresse de son amour, qu'elle s'enflamma, qu'elle se plongea profondément et s'abîma dans le sein de la Divinité.
En s'exprimant de la sorte, c'est parler d'après de saints docteurs et de savants hommes, dont les paroles portent avec elles leur autorité ; et ce serait sans doute une délicatesse mal-entendue, plutôt qu'une véritable force d'esprit, de ne vouloir point déférer aux sentiments des plus célèbres et des plus saints personnages, à moins qu'ils ne soient soutenus d'ailleurs par des preuves incontestables.
Pour moi, ô Vierge Immaculée, j'adhère de tout mon cœur à ces pieux sentiments, et je les crois solidement établis, quoiqu'ils n'aient pas la révélation pour base, quoiqu'ils n'aient pour garants que les Saintes inspirations des pères et des docteurs de l'Église. Je suis persuadé que Votre naissance, non seulement a été Sainte, mais que la Sainteté qui l'a accompagnée en a fait le plus bel ornement, c'est-à-dire, que non seulement Vous avez eu la Sainteté habituelle par l'état de la Grâce où Vous êtes née, mais une Sainteté actuelle par tous les actes de vertus, où, dès Votre naissance, et avec le secours de cette même grâce, Vous Vous êtes exercée, et que par là Vous fûtes, dès votre Nativité, l'objet des plus tendres complaisances de Dieu.
D'où je conclus qu'on n'est grand qu'autant que, par la fidélité aux grâces reçues, on approche de la grandeur même, qui est Dieu ; d'où je conclus enfin que, sans la Sainteté, il y a entre Dieu et nous un chaos infini. Est-ce cependant à cette véritable grandeur de l'Homme qui n'est autre que la Sainteté que le Monde s'attache ?
On désire être grand, c'est-à-dire, tenir par l'antiquité de sa race à des temps, à des hommes qui ne sont plus ; s'annoncer par un nom qui rappelle le souvenir d'une foule d'ancêtres, autrefois chers à la Patrie par l'éclat qu'elle reçut d'eux, et par les services qu'ils lui rendirent ; un nom surtout que l'Opulence soutienne, et qui, retraçant d'abord toute l'histoire de ceux qui l'ont porté, garantisse l'hommage des peuples à ceux qui le portent ; grandeur par conséquent qui n'a rien de personnel : car, si l'on n'était quelque chose par ses aïeux, peut-être ne serait-on rien par soi-même.
On désire être grand, c'est-à-dire, ajouter à la noblesse du Sang, aux avantages de la Fortune, la multiplicité des distinctions et des titres, occuper des places éminentes, d'où, comme du sommet d'une montagne, on contemple le reste des hommes dans un éloignement qui les diminue et les confonde ; grandeur d'emprunt par conséquent ; car on ne la doit qu'à l'avantage du terrain, pour ainsi dire, et à l'élévation du théâtre où l'on se produit.
On désire être grand ; c'est-à-dire, passer ses jours au service des maîtres du Monde, ramper plus librement aux pieds du Trône en contempler de près, en réfléchir au loin la splendeur ; c'est-à-dire, approcher du sanctuaire de ces divinités mortelles, être admis à se disputer leurs faveurs, réussir à faire tomber sur soi leurs regards, à leur faire agréer ses empressements et sa servitude ; grandeur par conséquent peu solide, et sujette aux plus tristes révolutions.
On désire être grand, c'est-à-dire, se rendre célèbre dans le Monde par des entreprises hardies, par des succès glorieux, par la capacité dans les affaires, par l'étendue des talents, par la science de gouverner les hommes : grandeur par conséquent toute humaine, qui pourra prétendre au suffrage de la Terre, mais qui seule ne sera jamais qu'un spectacle indifférent pour le Ciel.
On désire enfin être grand, c'est-à-dire, se distinguer dans le Monde à quelque prix que ce soit, et souvent même par des attentats heureux ; s'y maintenir par une politique ténébreuse, s'y avancer par la Fraude et l'Injustice, par des crimes réels, ou par des vertus contrefaites : grandeur funeste par conséquent, et que l'Humanité ne regarde qu'avec une espèce d'effroi mêlé d'horreur.
Voilà cependant les seules grandeurs où la plupart sont flattés de parvenir, des grandeurs, ou apparentes ou étrangères, grandeurs qui sont souvent odieuses, et qui n'exposent sur l'Autel que des divinités malfaisantes ; des grandeurs du moins qui ne sont consacrées que par les éloges dé la sagesse profane, et où la Foi ne découvre rien de réel, rien qui doive survivre à la Vanité qui les encense.
Quant à cette grandeur spirituelle que Dieu nous offre dans l'ordre de Sa Grâce, et qui consiste dans l'assujettissement au devoir, dans la liberté d'un cœur détaché de tout ce qui passe, dans l'estime et la pratique des vertus que la Foi canonise et récompense ; hélas ! On y est indifférent ; on ne daigne pas même y penser, disons plus, on la regarde comme indigne de ses poursuites, on laisse aux âmes étroites et communes le désir d'être grand aux yeux de Dieu ; on met toute sa gloire à ne l'être qu'aux yeux des hommes, à ne l'être que par des décorations passagères, qui supposent moins le mérite que la faveur ; à ne l'être qu'au jugement de la Multitude et de la Vanité ; à ne l'être surtout que pour quelques moments bien courts, et dont le dernier ne peut être que le commencement de bien des regrets.
Ô Vierge véritablement grande, parce que Vous êtes véritablement Sainte, que votre Naissance bienheureuse et consacrée par la Grâce est bien capable de rectifier nos idées sur l'estime et la recherche de la véritable grandeur, en nous montrant que la vraie noblesse, que le vrai bonheur du Chrétien consiste dans la Sainteté !
Obtenez-nous, ô Divine Vierge, de L'acquérir, et de nous y maintenir par la pratique de Vertus solides que Dieu puisse couronner dans l'Éternité ! Ainsi soit-il.
Abbé Arnaud-Bernard d'Icard Duquesne (1732-1791) – « Les Grandeurs de Marie ou Méditations pour chaque Octave des Fêtes de la Sainte Vierge » : Première Méditation sur la Nativité de la Très Sainte Vierge Marie, pages 91-101, chez Guichard Aine (1823)
Voir pour la Fête de la Nativité de la Très-Sainte Vierge Marie le 8 septembre :
- La « Sainte Messe de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie » (Vidéo + Textes Liturgiques)
- La Prière sur la Nativité de la Très-Sainte Vierge Marie du Révérend Père Bouix « Vierge Sainte, naissez spirituellement dans nos cœurs »
- La Prière pour la Fête de la Nativité de Marie « Ô Marie naissante, nous Vous bénissons et Vous honorons »
- La « Nativité de Marie » selon Saint Josémaria Escriva
- La Prière en l’honneur de la Nativité de Notre-Dame « Reine des Cieux, après Dieu, je Vous aime par-dessus tout ce que l'on peut chérir » de Monsieur l’abbé Simon-Joseph Pellegrin
- Le Sermon du Curé d’Ars pour la Nativité de la Très Sainte Vierge Marie « De qua natus est Jesus »
- La Prière sur la Conception et la Nativité de la Vierge Marie « Ô Vierge Pieuse, montres-nous aussi que Tu es notre Mère » de Charles Coffin
- La Prière de St Fulbert de Chartres sur la Nativité de Marie « Celle qui va engendrer le Soleil de Justice, le Roi suprême »
- La Prière sur la Nativité de la Très Sainte Vierge « Aujourd'hui est née Marie » de Benedetto Menzini
- La Prière pour le Jour de la Nativité de Notre-Dame le 8 septembre « Nous Te rendons grâce, Seigneur, pour la Naissance de Notre-Dame » de Dom Ludovic Lécuru
- La Prière d’Etienne l’Hagiopolite pour la Fête de la Nativité de la Très-Sainte Vierge Marie « En ce Jour, Anne la stérile met au monde la divine Enfant »
- La Prière de Saint Jean Damascène pour la Nativité de Marie « Fêtons la Naissance de l'Allégresse du monde entier ! »
- La Prière sur la Nativité de la Vierge Marie « Ô fille du roi David et Mère de Dieu » de Saint Jean Damascène
- La « Prière Universelle » pour la Nativité de la Vierge Marie
- La Prière à la Mère de Dieu et à Notre Mère du Ciel « Ô Mère de Dieu, Vous êtes Mère d'un fils qui est Fils de Dieu et Dieu Lui-même » de Mgr le Duc de Fitz-James
- La Prière sur la Naissance de Marie fêtée le 8 septembre « Je Vous adore, ô mon Dieu, dans la Naissance de cette nouvelle créature que Vous donnez au Monde » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Méditation sur la Sainteté de Marie au moment de sa Naissance « Pour moi, ô Vierge Immaculée, j'adhère de tout mon cœur à ces pieux sentiments et je les crois solidement établis » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- L'Homélie sur la Nativité de la Très Sainte Vierge Marie « Aujourd'hui est apparu l'éclat de la Pourpre divine » de Saint André de Crète
- Le Sermon sur la Nativité de la Vierge « Du plus profond de nos entrailles, vénérons Marie » de Saint Bernard de Clairvaux
- Le Sermon du 8 septembre pour la Nativité de la Sainte Vierge « Ô Immaculée, sauvez nous ! » de Monsieur l’Abbé Guillaume d'Orsanne
- Le Sermon pour la Fête de la Nativité de Marie « Que notre terre, illustrée par la Naissance d’une telle Vierge, se livre donc aux plus joyeux transports » de Saint Augustin
Voir également de M. l’Abbé Arnaud-Bernard d'Icard Duquesne :
- La Méditation pour recouvrer la Grâce de Dieu sans délai « Ô Vierge Sainte, arrachez à l'Ennemi du Salut ces âmes qui appartiennent à Dieu et qui Lui sont chères » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour satisfaire aux peines des péchés passés « Ô Vierge exempte du Péché, demandez pour nous la Grâce de souffrir Chrétiennement toutes les peines que Dieu nous envoie dans cette vie » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour ouvrir les yeux sur la Grâce du Baptême « Ô Vierge Sainte, obtenez à ces Chrétiens ingrats la Grâce de fermer les yeux de la Chair » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour être fidèle à la Grâce de notre Baptême « Ô Vierge Sainte, faites nous respecter le grand caractère que nous a imprimé le Baptême » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière à Marie pour son Immaculée Conception « Ô Marie, nous avons recours à Vous contre le fatal ennemi de notre Salut qui nous poursuit et nous perd » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Conception Immaculée de la Très Sainte Vierge « Soyez à jamais béni, ô Père Éternel ! » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur le Mystère de l'Immaculée Conception « Obtenez-moi la Grâce, ô Divine Marie, de vivre et mourir dans cette Sainte croyance » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Conception de la Très Sainte Vierge Marie « Avant que je visse le jour, le Seigneur m’a appelée » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière à la Très Pure Vierge Marie conçue sans péché « Ô Sainte Mère de Dieu, inspirez-nous pour le péché Votre horreur infinie » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Méditation sur la Sainteté de Marie au moment de sa Naissance « Pour moi, ô Vierge Immaculée, j'adhère de tout mon cœur à ces pieux sentiments et je les crois solidement établis » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière à Marie choisie de Dieu pour être sa Mère « Ô Vierge naissante, vivez et croissez pour nous donner le Libérateur que nous attendons » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Naissance de Marie fêtée le 8 septembre « Je Vous adore, ô mon Dieu, dans la Naissance de cette nouvelle créature que Vous donnez au Monde » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Nativité de la Très Sainte Vierge « Obtenez-nous, ô Vierge Sainte, de Vous imiter » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière à Marie pour être au Service de Dieu « Ô Vierge Sainte, guidez-moi pour être à Dieu sans partage » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Présentation de la Très-Sainte Vierge Marie « Ô Marie, qui Vous êtes offerte et consacrée toute entière à Dieu dans ce Jour » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière à la Vierge Marie présentée dans le Temple « Ô Vierge Sainte, chargez-Vous de nous obtenir la Grâce d'être un jour présentés à Dieu dans ses Tabernacles Éternels » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur l’Ave Maria « Quand je dis à Marie Ave, je Lui dis… » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur l’Annonciation de la Très Sainte Vierge « Ô Vierge Sainte, c’est à Vos humiliations que Vous devrez toute votre Gloire » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur l’Annonciation de la Très Sainte Vierge Marie « Ô Glorieuse Mère de Dieu, obtenez de Votre Divin Fils qu’Il entre spirituellement dans nos cœurs » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Maternité Divine de la Vierge Marie « Ô Marie, qui demeurez toujours Vierge et que l'Esprit-Saint Vous rend toujours féconde » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour nous conformer à la Volonté de Dieu « Ô Vierge Sainte, obtenez-moi de votre Divin Fils de reconnaître plus que jamais la nécessité et les avantages de conformer ma volonté à la Sienne » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière de Consécration au Temple de Dieu « Faites, Seigneur, que la Présentation de Marie serve de Modèle à celle que je viens Vous faire de tout moi-même » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour les âmes religieuses consacrées à Dieu « Ô Vierge Sainte, faites que toutes les âmes religieuses renouvelle les sacrifices qu'elles ont faits d'elles-mêmes à votre Divin Fils » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour soutenir les Ordres Religieux « Soyez, ô Vierge Sainte, le secours et l'appui de ces Saints Ordres dont Vous Vous êtes toujours montré la Mère » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur toutes les Vertus de Marie « Ô Mère de Dieu, obtenez-moi la Grâce de peindre dignement et avec onction les Vertus qui formèrent le tissu de Votre sainte et glorieuse vie » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Grâce de la Vigilance de Marie « Ô Vierge Sainte, obtenez-moi la Grâce de cette vigilance exacte et de cette crainte salutaire qui furent l'âme de Vos actions » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour nous obtenir la Pureté de la Vierge Marie « Ô Marie, que la Pureté dont Vous me faites une leçon si puissante dans le Mystère de l’Annonciation ne s'efface jamais de mon esprit » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur la Foi « Obtenez-nous, ô Vierge Sainte, quelques rayons de cette Divine Foi qui Vous anime » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière sur l’Humilité de l’Annonciation « Ô Jésus et Marie, que ne puis-je être dans les mêmes dispositions d'Humilité où Vous fûtes l'un et l'autre au moment de l'Incarnation » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière pour obtenir l’Humilité « Obtenez-nous, ô Vierge Sainte, le Don de l’Humilité » de l’Abbé Arnaud Duquesne
- La Prière lors de la Circoncision de Notre Seigneur Jésus-Christ « Ô Jésus, pour me sauver, Vous versez votre Sang » de l’Abbé Arnaud Duquesne