Voici en vidéo la « Messe du Troisième Dimanche du Carême » 20 mars 2022 (année C) célébrée et prêchée par Monsieur le Chanoine Jean-Marcel Rossini (OFMCap) au Sanctuaire de Lourdes avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Antiennes ; Prières ; Lectures Ex 3, 1-8a.10.13-15 et 1 Co 10, 1-6.10-12 ; Psaume 102 (103), 1-2, 3-4, 6-7, 8.11; Évangile selon Saint Luc 13, 1-9 ; Préface du Carême III ; …) pour les Catholiques qui ne peuvent pas participer au Saint Sacrifice de la Messe.
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe du Troisième Dimanche du Carême » (Dominica Tertia in Quadragesima) célébrée tous les ans en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours » avec les mêmes Textes Liturgiques chaque année
Parole de Dieu pour cette Messe du Troisième Dimanche du Carême (année « C ») : Salutaire conversion « L'Enseignement de Jésus est aujourd'hui bien abrupt. Il nous confronte d'une manière inattendue à la difficile question du mal en ce monde. Et Il ne laisse rien de côté : ni le mal moral, mis en évidence par l'évocation du massacre des Galiléens par Pilate ; ni le mal physique, convoqué par le récit de l'accident de la tour de Siloé. Mais à la différence d'un maître de philosophie qui tenterait de répondre à la question, Jésus donne une autre interprétation de ces faits douloureux. Il ne cherche pas tant à résoudre un épineux problème qu'à nous alerter sur les conséquences de nos actes. Le défi que le mal lance à l'humanité recevra une réponse dans le Don de la Vie du Christ, par Amour, sur la Croix. Pour l'heure, le Christ pointe l'enjeu vital de notre vie : la conversion. « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même ». Le mal a décidé de broyer notre humanité ; il nous enserre de toute part. Nous en sommes d'abord les victimes, mais nous savons que, bien souvent, nous pouvons aussi en être les complices. La Conversion à laquelle Jésus nous exhorte nous conduit à sortir du cercle fatal du mal pour entrer, par la Grâce de Dieu, dans le Salut promis. La Conversion ne se vit qu'avec l'aide du Christ pour revenir au Père et porter du fruit : c'est ainsi qu'il faut comprendre la Parabole du Figuier dans la suite de l'Enseignement de Jésus. C'est le Christ qui prend soin de nous, qui bêche la terre de notre cœur pour l'inonder de la fécondité de l'Esprit. C'est donc maintenant le moment favorable, c'est donc maintenant le moment du Salut (cf. 2 Co 6, 2) » (Père Sylvain Brison)
La Méditation Dominicale pour la Messe du 3ème Dimanche du Carême (année C) : Dans les larmes, la communion Vous rappelez-vous la dernière fois que vous avez pleuré ? Se souvenir de ses larmes, c'est entrer en contact avec des zones de sa sensibilité affectée et désarmée. Se mettre au contact de ses larmes et de ses pleurs, c'est retrouver un espace intérieur de fragilité, de vulnérabilité et de vérité sur soi. Saint Dominique, le fondateur de l'Ordre des Prêcheurs, a la réputation d'être un homme qui pleure abondamment la nuit dans sa prière. Il crie vers Dieu « Ma Miséricorde, que vont devenir les pécheurs ! » Il incarne une tradition bien vivante : celle de prier et de pleurer en même temps. En effet les Pères du désert considèrent que la prière doit être accompagnée d'abondantes larmes. Pour eux, il est impossible de prier sans pleurer. Ce qui souligne le sens profond et intense qu'ils ont de la Présence de Dieu et de sa Miséricorde. Ils vivent ainsi l'expérience de Saint Pierre au matin du Vendredi Saint quand, après avoir renié trois fois le Christ, celui-ci croise son Regard dans la cour. Pierre est regardé et aimé. Ses yeux contemplent le Pardon et l'Amour inconditionnel de Jésus pour lui, alors qu'il vient de Le trahir. Son cœur est brisé ; il pleure. Il fait l'expérience de la componction du cœur. Transpercé, son cœur de pierre devient liquide ; il fond en larmes. Dans un même instant, il voit et comprend. Il entre dans la connaissance de lui-même par la prise de conscience de sa trahison et dans une connaissance spirituelle de la relation de Jésus pour lui ; ses larmes sont sa confession : Il est son Sauveur et son Dieu. Joseph, le fils de Jacob, est l'homme qui pleure souvent au Livre de la Genèse. Après avoir été exclu et presque mis à mort par ses propres frères qui voulaient se débarrasser de lui, il se retrouve des années plus tard le conseiller du pharaon en Égypte. C'est alors que ses frères, affamés et dans le besoin, viennent lui quémander de la nourriture. Joseph les reconnaît, mais pas eux. Joseph les a vus et reconnus. Les attendait-il secrètement ? L'Écriture n'en dit rien. Cependant, dès que ses frères apparaissent, son cœur est bouleversé. Il doit se retirer pour pleurer sans se faire voir par eux. Plus tard, lorsqu'il se fait reconnaître de ses frères, il ne peut leur parler sans sangloter. « Il éleva la voix avec des pleurs »,« il se jeta au cou de Benjamin son frère et pleura ; et Benjamin aussi pleura dans ses bras. Il embrassa tous ses frères et les baigna de ses larmes; alors seulement ses frères lui parlèrent» (Gn 45, 2 et 14-15). Joseph prend conscience de sa détresse devant la violence de ses frères des années auparavant. Il les voit et discerne leur changement. Lui, Joseph qui avait subi tant de haine et de rejet, se retrouve en position de choisir. Va-t-il se venger ? Et son père ? A-t-il souffert autant que lui de cette disparition ? Le cœur de Joseph est en proie à des débats que nous connaissons : se venger, nourrir la violence devant le mal subi... ou bien voir autrement la situation et se mettre à la place de l'autre ... Joseph, dans ses pleurs, se laisse atteindre tout d'abord par sa propre souffrance cachée depuis des années, il la laisse jaillir. Puis, il choisit de ne pas la répandre sur d'autres avec cette phrase surprenante : « Vais-je prendre la place de Dieu ? » (Gn 50, 19). Joseph comme Pierre pleurent et leurs larmes jouent ce rôle de vérité sur la relation humaine. La réconciliation accompagnée d'une parole nouvelle est possible » (Sœur Catherine Aubin)
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Antienne d'ouverture de la « Messe du Troisième Dimanche du Carême » :
« J'ai toujours les yeux tournés vers le Seigneur : Il tirera mes pieds du filet. Regarde, et prends pitié de moi, de moi qui suis seul et misérable » (cf. Ps 24, 15-16)
Prière d'ouverture de la « Messe du Troisième Dimanche du Carême » :
« Seigneur Dieu, Source de toute Bonté, et de toute Miséricorde, Tu nous as montré comment guérir du péché par le jeûne, la prière et le partage ; accueille favorablement l'aveu de notre faiblesse, et puisque nous prenons humblement conscience de nos fautes, que ta Miséricorde nous relève sans cesse. Par Jésus Christ »
Première Lecture du Livre de l’Exode (Ex 3, 1-8a.10.13-15) de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis »
« En ces jours-là, Moïse était berger du troupeau de son beau-père Jéthro, prêtre de Madiane. Il mena le troupeau au-delà du désert et parvint à la montagne de Dieu, à l’Horeb. L’ange du Seigneur lui apparut dans la flamme d’un buisson en feu. Moïse regarda : le buisson brûlait sans se consumer. Moïse se dit alors : « Je vais faire un détour pour voir cette chose extraordinaire : pourquoi le buisson ne se consume-t-il pas ? » Le Seigneur vit qu’il avait fait un détour pour voir, et Dieu l’appela du milieu du buisson : « Moïse ! Moïse ! » Il dit : « Me voici ! » Dieu dit alors : « N’approche pas d’ici ! Retire les sandales de tes pieds, car le lieu où tu te tiens est une Terre sainte ! » Et Il déclara : « Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob. » Moïse se voila le visage car il craignait de porter son regard sur Dieu. Le Seigneur dit : « J’ai vu, oui, j’ai vu la misère de mon Peuple qui est en Égypte, et j’ai entendu ses cris sous les coups des surveillants. Oui, je connais ses souffrances. Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens et le faire monter de ce pays vers un beau et vaste pays, vers un pays, ruisselant de lait et de miel. Maintenant donc, va ! Je t’envoie chez Pharaon : tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël. » Moïse répondit à Dieu : « J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai : « Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous ». Ils vont me demander quel est son Nom ; que leur répondrai-je ? » Dieu dit à Moïse : « Je suis qui Je suis. Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : « Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis ». Dieu dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : « Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est Le Seigneur, le Dieu de vos pères, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ». C’est là mon Nom pour toujours, c’est par Lui que vous ferez mémoire de Moi, d’âge en d’âge »
Le sens de cette Première Lecture du Livre de l’Exode (Ex 3, 1-8a.10.13-15) : L'épisode du buisson ardent a marqué à tout jamais la mémoire de Moïse et de son Peuple : désormais les croyants savent que Dieu voit la souffrance des hommes et entend leurs cris, Il intervient pour les en délivrer, Le Nom (SEIGNEUR) sous lequel Dieu s'est révélé à Moïse ce jour-là exprime sa Présence indéfectible à nos côtés. C'est sur ce socle, cette conviction désormais inébranlable, que s'est construite la foi d'Israël et donc la nôtre
Psaume 102 (Ps 102 (103), 1-2, 3-4, 6-7, 8.11) de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
R/ Le Seigneur est Tendresse et Pitié (cf. Ps 102, 8a)
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
Bénis son Nom très Saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
N’oublie aucun de ses Bienfaits !
Car Il pardonne toutes tes offenses
Et te guérit de toute maladie ;
Il réclame ta vie à la tombe
Et te couronne d’amour et de tendresse.
Le Seigneur fait œuvre de justice,
Il défend le droit des opprimés.
Il révèle ses desseins à Moïse,
Aux enfants d’Israël ses hauts Faits.
Le Seigneur est Tendresse et Pitié,
Lent à la colère et plein d’Amour ;
Comme le Ciel domine la terre,
Fort est son Amour pour qui Le craint ».
Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 10, 1-6.10-12) de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« La vie de Moïse avec le peuple au désert, l’Écriture l’a racontée pour nous avertir »
« Frères, je ne voudrais pas vous laisser ignorer que, lors de la sortie d’Égypte, nos pères étaient tous sous la protection de la nuée, et que tous ont passé à travers la mer. Tous, ils ont été unis à Moïse par un baptême dans la nuée et dans la mer ; tous, ils ont mangé la même nourriture spirituelle ; tous, ils ont bu la même boisson spirituelle ; car ils buvaient à un Rocher spirituel qui les suivait, et ce Rocher, c’était le Christ. Cependant, la plupart n’ont pas su plaire à Dieu : leurs ossements, en effet, jonchèrent le désert. Ces événements devaient nous servir d’exemple, pour nous empêcher de désirer ce qui est mal comme l’ont fait ces gens-là. Cessez de récriminer comme l’ont fait certains d’entre eux : ils ont été exterminés. Ce qui leur est arrivé devait servir d’exemple, et l’Écriture l’a raconté pour nous avertir, nous qui nous trouvons à la fin des temps. Ainsi donc, celui qui se croit solide, qu’il fasse attention à ne pas tomber ».
Le sens de cette Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 10, 1-6.10-12) : Les premiers Chrétiens connaissaient bien L'Ancien Testament : Saint Paul leur rappelle donc l'histoire du Peuple élu pour en tirer les leçons. Pendant l'Exode, à la suite de Moïse, les fils d'Israël ont bénéficié de la Sollicitude constante de Dieu. Mais ils n'en ont montré aucune reconnaissance et ils ont sans cesse trahi l'Alliance. Aucun d'entre eux n'a atteint la Terre promise, sauf Josué et Caleb, les deux fidèles. Choisissons donc quel exemple nous voulons suivre.
Gloire au Christ, Sagesse éternelle du Dieu vivant. Gloire à Toi, Seigneur.
« Convertissez-vous, dit le Seigneur, car le Royaume des Cieux est tout proche » (cf. Mt 4, 17)
Gloire au Christ, Sagesse éternelle du Dieu vivant. Gloire à Toi, Seigneur.
« Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même »
« Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. » Jésus disait encore cette Parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : « Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ? » Mais le vigneron lui répondit : « Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas ».
Credo
Prière Universelle de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » du 20 mars 2022 (année « C ») :
R/ Seigneur, écoute la prière de ton Peuple.
Afin que, par la pénitence et les pratiques du Carême, nous soyons purifiés de nos fautes et que nous renforcions ainsi notre vie de foi, prions le Seigneur. R/
Afin que tous les peuples puissent atteindre la paix, la tranquillité et le bien-être nécessaires pour nous permettre de rechercher plus facilement les Biens du Ciel, prions le Seigneur. R/
Pour ceux qui sont tentés ou troublés par le péché, afin que le Seigneur leur donne la force dont ils ont besoin, et leur accorde la consolation d'une ferme espérance dans les Biens du Ciel, prions le Seigneur. R/
Pour que chacun de nous ait le désir d'une véritable Conversion, afin de pouvoir célébrer dignement les prochaines Fêtes de Pâques, prions le Seigneur. R/
Prière sur les Offrandes de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Par ce Sacrifice, Seigneur de Bonté, alors que nous implorons le pardon de nos fautes, accorde-nous d'avoir à cœur de pardonner celles de nos frères. Par le Christ, notre Seigneur. »
Préface du Carême III de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
Vraiment, il est Juste et Bon, pour ta Gloire et notre Salut, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, Seigneur, Père Très Saint, Dieu Eternel et Tout-Puissant. Tu as voulu que nous Te rendions grâce par nos privations : elles rabaissent notre orgueil de pécheurs et nous invitent à suivre l'exemple de ta Bonté en nous faisant partager avec ceux qui ont faim. C'est pourquoi, avec les anges innombrables, d'une seule voix nous célébrons ta Louange en proclamant : …
« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »
Antienne de la Sainte Communion de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Le passereau lui-même s'est trouvé une maison, et la tourterelle, un nid pour abriter sa couvée : tes Autels, Seigneur de l'univers, mon Roi et mon Dieu ! Heureux les habitants de ta Maison : ils Te loueront pour les siècles des siècles » (cf. Ps 83, 4-5)
Prière après la Sainte Communion de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Nous avons reçu de Toi, Seigneur, un avant-goût des Mystères du Ciel, et, dès cette terre, nous sommes rassasiés par le Pain venu d'en Haut ; nous T'en supplions : donne-nous de mettre en œuvre ce que le Sacrement réalise en nous. Par le Christ, notre Seigneur. »
Et que Dieu Tout-Puissant, vous bénisse...
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
V/ Allez, dans la Paix du Christ.
R/ Nous rendons Grâce à Dieu.
Vidéo de la « Messe du 3ème Dimanche du Carême » du 20 mars 2022 (année « C ») célébrée et prêchée par Monsieur le Chanoine Jean-Marcel Rossini (OFMCap) au Sanctuaire de Lourdes :
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe du 3ème Dimanche du Carême » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe du Troisième Dimanche du Carême » (Dominica Tertia in Quadragesima) célébrée tous les ans en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours »
- Le Chant Grégorien de l’Introït « Oculi mei semper ad Dominum » du Troisième Dimanche de Carême
- La Prière sur l’Évangile de la Messe du Troisième Dimanche de Carême « Ô Seigneur, ne permettez jamais que le démon et ses partisans m'aveuglent » du R. P. Leonhard Goffiné
- La Prière pour le Troisième Dimanche de Carême « Ô mon Dieu, je prends la résolution au Saint Temps de Carême de réveiller, de ressusciter la vie de ma Foi » du Révérend Père Louis-Pierre Pététot
- La Prière du Troisième Dimanche du Carême « Ô Mon Sauveur, Vos yeux se sont abaissés sur moi et Vous avez brisé les pièges qui étaient tendus à mes pieds » d’Adolphe Baudon de Mony
- Les Prières et Résolutions pour la Troisième Semaine du Carême de l’Abbé Jean-Baptiste La Sausse « Ô mon Dieu, c'est surtout pour Bénir votre saint Nom, pour Confesser mes péchés et pour être utile à mon prochain, que Vous m'avez donné l'usage de la parole »
- La Méditation pour le Troisième Dimanche de Carême où Notre Seigneur Jésus-Christ délivre un homme possédé d'un démon muet « Préservez-moi, ô mon puissant Seigneur, d'un mutisme plus funeste encore, celui de l'âme, dont ce démoniaque est la figure » de l’Abbé de Brandt
- La Méditation du Troisième Dimanche de Carême sur la Guérison d’un sourd et muet « Ayez pitié, Seigneur, de cette multitude de sourds et de muets dont tout le monde est plein » du R. P. Louis du Pont
- Le Sermon du 3ème Dimanche de Carême sur « Jésus chassa un Démon qui était Muet » (Luc 11, 14) de Monsieur l’Abbé Guillaume d'Orsanne