Voici en vidéo la « Messe du Quatrième Dimanche du Carême » 27 mars 2022 (année C) célébrée et prêchée par Monsieur le Chapelain Denis Tosser au Sanctuaire de Lourdes avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Antiennes ; Prières ; Lectures Jos 5, 9a.10-12 et 2 Co 5, 17-21 ; Psaume 33 (34), 2-3, 4-5, 6-7 ; Évangile selon Saint Luc 15, 1-3.11-32 sur la Parabole du Fils prodigue ; Préface du Carême IV ; …) pour les Catholiques qui ne peuvent pas participer au Saint Sacrifice de la Messe.
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe du Quatrième Dimanche du Carême » (Dominica Quarta in Quadragesima) célébrée chaque année et pour toujours avec les mêmes Textes Liturgiques en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Sainte Messe du Dimanche de Lætare »
Vidéo de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » du 27 mars 2022 (année « C ») célébrée et prêchée par Monsieur le Chapelain Denis Tosser au Sanctuaire de Lourdes :
Parole de Dieu pour cette Messe du Quatrième Dimanche du Carême (année « C ») : Un Père en sortie « Voici aujourd'hui un « incontournable » du Carême : la Parabole du « Fils prodigue ». Mais cette appellation porte, en fin de compte, bien mal son nom. Certes, le fils cadet est dépensier, mais est-ce là la fine pointe de la Parabole ? Pendant longtemps, les leçons de catéchisme ont forgé en nous une bonne morale à cette pieuse histoire. Au mieux, nous avons justement appris que tout péché peut être pardonné pourvu que nous rentrions à la maison pour demander pardon. Bien trop souvent, nos lectures s'arrêtent au retour du fils cadet dans les bras du père. Mais est-ce là la fin de la Parabole ? Le récit va au-delà des apparences. Cette Parabole est en réalité l'histoire d'un père et de ses relations avec ses deux fils : le cadet qui part inconscient et revient contrit, et l'aîné qui reste orgueilleusement à ses côtés. En fait, ce qui rapproche ces deux enfants, c'est qu'ils obligent, l'un et l'autre, leur père à sortir de la maison : le premier par l'attente du retour, le second par son refus d'entrer. Ici se trouve un précieux enseignement : que nous soyons fidèles ou rebelles, que nous soyons contrits ou orgueilleux, que nous soyons jeunes ou vieux, le Père sort toujours à notre rencontre pour nous faire entrer dans la Maison. L'amour du père pour ses deux fils terribles devance tout et achève tout. Au cœur de ce Carême, Il vient nous rejoindre qui que nous soyons, frère aîné ou frère cadet, pour nous permettre de vivre ensemble, fils d'un même Père dans le Salut donné par Amour et pure Grâce » (Père Sylvain Brison)
La Méditation Dominicale pour la Messe du 4ème Dimanche du Carême (année C) : Le Dimanche, pas de Carême ! Pendant le Carême, nous avons des îlots pour reprendre notre souffle, ce sont les Dimanches qui ne font pas partie du temps de pénitence. « On ne jeûne pas quand on est avec l'Epoux », nous a enseigné Jésus, et le Dimanche, quel que soit le Temps Liturgique, on fête la Résurrection du Christ et rien d'autre. A tel point qu’il est interdit, littéralement, de jeûner le Dimanche. Dans tous les Dimanches du Carême, il y en a Un qui se détache encore plus, et c'est aujourd'hui. C'est le Dimanche dit « Laetare », que l'on peut traduire par joie, réjouissance, allégresse, bref vous avez saisi l'idée. Aujourd'hui on fait la fête, parce qu'on ne parle pas seulement de la Résurrection du Christ, mais de la possibilité de L'accompagner et de parvenir, nous aussi à la Vie éternelle dans le Royaume des Cieux. On nous parle de Dieu qui a libéré le peuple du joug de l'Égypte (métaphore traditionnelle de la libération du péché pour toute personne qui suit le Seigneur). On nous rappelle que Dieu nous entend, qu'Il nous répond et qu'Il nous délivre de toute frayeur et de toute angoisse. On se réjouit de la possibilité de devenir, dans le Christ, des créatures nouvelles, appelées à la réconciliation avec Dieu, parce qu'Il a fait de nous des justes après avoir pris sur Lui le péché du monde. Jésus Lui-même nous raconte la Parabole dite « du fils prodigue », qui insiste encore une fois sur la possibilité de la conversion, quelles que soient les fautes commises, pour peu que l'on se décide à revenir vers Dieu qui nous attend les bras ouverts et qui se réjouit plus de la conversion du pécheur que de la justice des parfaits. Bref, le message du jour est clair : réjouissons-nous, Il nous a sauvés ! Durant une bonne partie de ma vie, je n'ai pas compris l'Appel perpétuel des Évangiles à la Conversion. Quand on est tombé dans le bénitier étant petit, qu'on est toujours allé à la Messe le Dimanche dès avant sa naissance, qu'on a été Baptisé à peine sorti de la maternité, qu'on a fait son premier pèlerinage tout petit enfant, qu'on a reçu tous les Sacrements d'initiation très jeune, et qu'on est toujours resté fidèle à la foi et à la pratique religieuse, comment se sentir concerné quand on entend des appels à la conversion ? Une conversion, techniquement, c'est, quand on change carrément de sens dans notre vie, qu'on abandonne une direction pour aller dans une autre diamétralement opposée, non ? Alors, si on est déjà Chrétien et qu'on se convertit, quoi, il faut devenir païen ? Ça n'a aucun sens. Et pourtant, j'ai découvert petit à petit que même les plus fidèles ont besoin de conversion, parce qu'on peut être fidèle au Christ tout en étant tenté par l'esprit du monde. L'esprit du monde, qu'est-ce que c'est ? Eh bien, l'esprit surnaturel des choses, c'est que nous aimions Dieu par-dessus tout, puis notre prochain, puis soi-même. L'esprit du monde, c'est de s'aimer soi-même par-dessus tout, puis notre prochain quand on a besoin de lui, et éventuellement Dieu quand on a des gros problèmes insolubles ou qu'on est dans le désespoir le plus noir. Entre l'esprit surnaturel et l'esprit du monde, il y a une guerre permanente, celle dont saint Paul déplore qu'elle ait lieu dans son « corps de mort », comme il dit. Et quelles que soient notre foi et la mesure de notre fidélité ou de notre pratique religieuse, cette guerre a lieu aussi en nous. Comme il est tentant d'être à soi-même son propre dieu, celui qui décide souverainement de tout au nom de la liberté ! Comme il est séduisant de se servir des autres, voire de Dieu lui-même, à nos propres fins, et non pas de les aimer pour eux-mêmes ! Comme il est difficile, en vérité, de vivre dans la gratuité totale, donnant tout ce qu'on est et tout ce qu'on possède pour la Gloire de Dieu et le Salut du monde, seulement par amour et non par attente d'un retour sur investissement ! Oh, nous avons tous besoin de conversion, en vérité, je le sais maintenant. Le Message de Dieu aujourd'hui c'est : « Courage ! Je suis là, Je t'attends, Je t'aime ! Reviens à Moi et fêtons ça ! » Oui, courage, le Carême sert à ça. C'est un chemin de retour vers Dieu. On prend sa croix, cet Esprit surnaturel qui nous pousse au don gratuit et généreux de soi pour le bien des autres, et on suit le Christ avec humilité et détermination. On a du pain sur la planche, pour se débarrasser de la tentation permanente de l'auto-adoration et des calculs de boutiquier. Réjouissons-nous, Il nous appelle, et veut notre Salut plus que nous ne Le voulons nous-mêmes. Marchons à Sa suite et, après les souffrances et les crucifixions de ce monde viendront le Temps de la Résurrection et de la Vie éternelle avec Lui ! » (Père Fabrice Chatelain)
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Antienne d'ouverture de la « Messe du Quatrième Dimanche du Carême » :
« Réjouis-toi, Jérusalem ; vous tous qui l'aimez, rassemblez-vous. Jubilez de sa joie, vous qui étiez dans la tristesse ; alors vous exulterez, vous serez rassasiés de consolation » (cf. Is 66, 10-11)
Prière d'ouverture de la « Messe du Quatrième Dimanche du Carême » :
« Seigneur Dieu, par ton Verbe Incarné Tu as merveilleusement réconcilié avec Toi le genre humain ; accorde au Peuple chrétien de se hâter avec un amour généreux et une foi ardente au-devant des Fêtes Pascales qui approchent. Par Jésus Christ »
Première Lecture du Livre de Josué (Jos 5, 9a.10-12) de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« L’arrivée du peuple de Dieu en Terre Promise et la célébration de la Pâque »
« En ces jours-là, le Seigneur dit à Josué : « Aujourd'hui, j'ai enlevé de vous le déshonneur de l'Égypte ». Les fils d’Israël campèrent à Guilgal et célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois, vers le soir, dans la plaine de Jéricho. Le lendemain de la Pâque, en ce jour même, ils mangèrent les produits de cette terre : des pains sans levain et des épis grillés. À partir de ce jour, la manne cessa de tomber, puisqu’ils mangeaient des produits de la terre. Il n’y avait plus de manne pour les fils d’Israël, qui mangèrent cette année-là ce qu’ils récoltèrent sur la terre de Canaan »
Le sens de cette Première Lecture du Livre de Josué (Jos 5, 9a.10-12) : Le Livre de Josué raconte l'installation du peuple d'Israël sur le sol de la Terre Promise. La première Pâque célébrée dans le pays fut l'occasion de se rappeler toutes les manifestations de la sollicitude de Dieu envers son peuple sur la route de l'Exode. Jour après jour, la manne avait permis à ce peuple nomade de subsister.
Psaume 33 (Ps 33 (34), 2-3, 4-5, 6-7) de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
R/ Goûtez et voyez comme est Bon le Seigneur ! (cf. Ps 33, 9a)
Je bénirai le Seigneur en tout temps,
Sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
Que les pauvres m’entendent et soient en fête !
''Magnifiez avec moi le Seigneur,
Exaltons tous ensemble son Nom.
Je cherche le Seigneur, Il me répond :
De toutes mes frayeurs, Il me délivre.
Qui regarde vers Lui resplendira,
Sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
Il le sauve de toutes ses angoisses.
Deuxième Lecture de la Deuxième Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (2 Co 5, 17-21) de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Dieu nous a réconciliés avec Lui par le Christ »
« Frères, si quelqu’un est dans le Christ, il est une créature nouvelle. Le monde ancien s’en est allé, un monde nouveau est déjà né. Tout cela vient de Dieu : Il nous a réconciliés avec Lui par le Christ, et Il nous a donné le Ministère de la Réconciliation. Car c’est bien Dieu qui, dans le Christ, réconciliait le monde avec Lui : Il n’a pas tenu compte des fautes, et Il a déposé en nous la Parole de la Réconciliation. Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ, et par nous c’est Dieu Lui-même qui lance un Appel : nous le demandons au Nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu. Celui qui n’a pas connu le péché, Dieu l’a pour nous identifié au péché, afin qu’en Lui nous devenions justes de la Justice même de Dieu ».
Le sens de cette Deuxième Lecture de la Deuxième Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (2 Co 5, 17-21) : Depuis la Venue du Christ parmi les hommes, nous savons que Dieu n'est qu'Amour, Pardon, Miséricorde. Nous pouvons donc sereinement entrer dans cette Vie nouvelle faite de confiance et d'abandon. C'est ce que Paul appelle notre « Réconciliation ». C'est pour cela que nous pouvons dire sans trembler : « Frères et sœurs, préparons-nous à célébrer le Mystère de l'Eucharistie en reconnaissant que nous avons péché. »
Gloire et Louange à Toi, Seigneur Jésus.
« Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Père j'ai péché contre le Ciel et envers toi » (cf. Lc 15, 18)
Gloire et Louange à Toi, Seigneur Jésus.
« Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie »
« En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour L’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre Lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et Il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette Parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : « Père, donne-moi la part de fortune qui me revient ». Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors il rentra en lui-même et se dit : « Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers ». Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : « Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ». Mais le père dit à ses serviteurs : « Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ». Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : « Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé ». Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : « Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras ! » Le père répondit : « Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! »
Credo
Prière Universelle de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » du 27 mars 2022 (année « C ») :
R/ Seigneur, écoute la prière de ton Peuple.
Pour que Dieu augmente notre foi et fortifie la volonté de ceux qui se préparent à recevoir le Sacrement de Pénitence pendant ces Jours de Carême et leur accorde un vrai repentir pour leurs péchés, prions le Seigneur. R/
Afin que le Seigneur ouvre l'esprit et le cœur des non-croyants, pour qu'ils parviennent à la connaissance de la Vérité et trouvent dans la foi le repos que leur cœur désire tant, prions le Seigneur. R/
Pour que Dieu accorde son aide aux malades, aux pauvres, aux plus démunis, et à tous ceux qui, par leur souffrance, participent à la Croix du Christ, prions le Seigneur. R/
Afin que, persévérant dans nos efforts de Carême, nous arrivions purifiés et éclairés à l'approche des Fêtes de Pâques, prions le Seigneur. R/
Prière sur les Offrandes de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Seigneur, nous Te présentons dans la joie l'Eucharistie qui assure la Guérison éternelle, et nous Te prions humblement : accorde-nous de la vénérer avec foi et de L'offrir avec respect pour le Salut du monde. Par le Christ, notre Seigneur. »
Préface du Carême IV de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
Vraiment, il est Juste et Bon, pour ta Gloire et notre Salut, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, Seigneur, Père Très Saint, Dieu Eternel et Tout-Puissant. Car Tu veux par notre jeûne et nos privations, réprimer nos penchants mauvais, élever nos esprits, nous donner la force et enfin la récompense, par le Christ, notre Seigneur. Par Lui, les anges célèbrent ta Grandeur, et les Esprits Bienheureux adorent ta Gloire ; par Lui s'inclinent devant Toi les puissances d'en Haut et tressaillent, d'une même allégresse les innombrables créatures des Cieux. A leur hymne de louange, laisse-nous joindre nos voix pour chanter et proclamer : …
« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »
Antienne de la Sainte Communion de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Il faut te réjouir, mon fils, car ton frère qui était mort est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! » (cf. Lc 15, 32)
Prière après la Sainte Communion de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C ») :
« Dieu qui éclaires tout homme venant dans ce monde, nous T'en prions, illumine nos cœurs par la Splendeur de ta Grâce : que nos pensées soient toujours dignes de Toi, et accordées à ta Grandeur, et qu'ainsi nous puissions T'aimer sincèrement. Par le Christ, notre Seigneur. »
Et que Dieu Tout-Puissant, vous bénisse...
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
V/ Allez, dans la Paix du Christ.
R/ Nous rendons Grâce à Dieu.
Vidéo de la « Messe du 4ème Dimanche du Carême » du 27 mars 2022 (année « C ») célébrée et prêchée par Monsieur le Chapelain Denis Tosser au Sanctuaire de Lourdes :
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe du 4ème Dimanche du Carême » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe du Quatrième Dimanche du Carême » (Dominica Quarta in Quadragesima) célébrée chaque année et pour toujours avec les mêmes Textes Liturgiques en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Sainte Messe du Dimanche de Lætare »