Voici en vidéo la « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement du Corps et du Sang du Christ », célébrée et prêchée par Mgr Philippe Marsset, Évêque auxiliaire de Paris, en l'église de Saint-Germain-L'auxerrois le Dimanche 19 juin 2022 (année C) avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Antiennes ; Prières ; Lectures Gn 14, 18-20 et 1 Co 11, 23-26 ; Psaume 109 (110), 1-4 ; Séquence « Lauda Sion Salvatorem » ; Évangile selon Saint Luc 9, 11b-17 ; Préface du Saint-Sacrement ; …) pour les Catholiques qui ne peuvent pas participer physiquement au Saint Sacrifice de la Sainte Messe.
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe de la Solennité de la Fête-Dieu ou de la Fête du Très Saint Corps du Christ » (In Festo Sanctissimi Corporis Christi) célébrée chaque année en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours » (Introït « Cibavit eos ex ádipe fruménti » ; Collecte ; Épitre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens I. XI, 23-29 ; Graduel Ps 144, 15-16 ; Alléluia Jean 6, 56-57 ; Séquence « Lauda Sion Salvatorem », Évangile selon Saint Jean VI, 56-59 ; Offertoire Lévitique XXI, 6 ; Secrète ; Préface du Saint-Sacrement ; Communion 1. Cor. 11, 26-27 ; PostCommunion, …) avant que soient composées les 3 Messes du Dimanche de la Solennité du Saint-Sacrement par Vatican II avec des Textes Liturgiques différents ( ?) selon l’année A, B, C
Vidéo de la « Messe du Saint-Sacrement » célébrée et prêchée par Mgr Philippe Marsset, Évêque auxiliaire de Paris, en l'église de Saint-Germain-L'auxerrois, le 19 juin 2022 (année « C ») :
L’Épître nous présente aujourd'hui, avec la plus ancienne attestation de la Célébration du Repas du Seigneur par les Chrétiens, le premier récit de son Institution recueilli par Saint Paul au printemps de l'an 57. La multiplication des pains, dont l'Évangile fait le récit, a certainement préparé les disciples à recevoir la révélation du Repas où Jésus se donnerait Lui-même en nourriture. Quant à l'offrande du pain et du vin que fit Melkisédek, selon le récit de la Genèse, nous pouvons y découvrir une lointaine Annonce de l'Eucharistie et du Sacerdoce du Christ
Parole de Dieu pour cette Solennité du Saint-Sacrement : Le petit reste « Au moment où Israël traverse le drame de l'exil à Babylone et se sent abandonné, Dieu désigne son Peuple comme un « petit reste » (cf. So 3, 12-13), c'est à la fois le constat d'un échec - Israël a été vaincu et dévasté - et un signe d'espérance : Dieu promet à son Peuple la survie et la renaissance. Et par la suite, à bien des reprises, cette formule lui rendra courage dans les épreuves : nous sommes pauvres, petits, minoritaires, certes, mais nous sommes dans la Main de Dieu. C’est un autre « petit reste » qui se trouve dans la Main du Christ : cinq pains et deux poissons, un médiocre piquenique pour les Douze, absolument hors de proportion pour la faim de cinq mille hommes. C’est pourtant de ce « petit reste » que Jésus tire la nourriture nécessaire, parce qu'Il dit sur Lui la Bénédiction. Jésus bénit la nourriture comme le Père a béni son Peuple, et l'Amour créateur se révèle Source de Vie surabondante. Tous sont nourris à satiété, et il en reste encore, douze paniers, un pour chaque Apôtre, un pour chaque tribu : bref, à chacun son reste, à chacun son espérance. Il n'y a ni angoisse ni orgueil à tirer d'être le « petit reste » de Dieu. Ce n'est pas le nom d'une caste, mais celui d'une Promesse. Au-delà des logiques mondaines, contemplons dans l'Eucharistie la Bienveillance de Dieu pour nous : avec Dieu, il en reste toujours » (Père Martin Charcosset)
Méditation Dominicale pour cette Solennité du Saint-Sacrement : Toujours concret, l'amour ! « Mes frères bien-aimés, quel bonheur que de pouvoir partager avec vous l'Évangile de ce Jour alors que nous célébrons la Fête du Très Saint-Sacrement du Corps et du Sang du Christ. Et comme l'Esprit Saint est toujours inattendu, pour cette belle Journée de Fête Il nous emporte en promenade sur le bord du lac de Tibériade et nous fait participer à la Multiplication des pains opérée par Jésus, qui est, disons-le tout de suite, une Image, une Préfiguration de l'Eucharistie. Regardez cette foule impressionnante qui entoure le Christ ! Sans doute Le suit-elle depuis plusieurs jours, heureuse d'entendre Sa voix et de recevoir de Son cœur très aimant un Enseignement que les rabbis ne dispensent plus, tant ils sont enfermés dans la lettre de la Loi. On aurait bien voulu connaître le contenu de l'Enseignement que le Christ délivrait, hélas ! C’est peine perdue, l'Évangile n'en a pratiquement rien gardé, mais ... bien sûr nous nous rattraperons au Ciel, nous aurons alors tout le temps nécessaire pour découvrir en plénitude la Sagesse de Dieu, et plus encore pour en vivre enfin ! à la perfection. Remarquons tout de suite, que Jésus est préoccupé - et c'est la source cachée de la Multiplication des pains - par tous ceux qui font cercle autour de Lui, et qui sans doute n'ont pas mangé à leur faim depuis fort longtemps. Il y avait là des gens venus parfois de loin ; des vieillards, des femmes, des enfants, et bien sûr un nombre innombrable de malades, certains couchés sur des brancards attendant anxieusement leur libération. À l'heure où nous les rejoignons, pourquoi ne pas l'imaginer, il est autour de 7 heures du soir, le soleil commence à baisser - que voulez-vous, les Prédications de ce temps-là ne duraient pas un quart d'heure comme à nos Messes, mais plusieurs heures, à tel point que certains fans du Christ qui n'ont rien mangé depuis longtemps sont sur le point de défaillir. Aussi, Jésus prend en main la situation, d'autant plus que Son intention est d'écrire aujourd'hui l'une des plus belles pages de l'Évangile. De leur côté, les Apôtres qui voient bien que l'on ne peut apparemment rien faire pour cette foule, désormais sans forces, supplient leur Maître de la renvoyer, mais Jésus, Lui, ne mange pas de ce pain-là ! Pour Lui la foule n'existe pas ... Ce qui existe, c'est chaque personne qui mérite attention et respect. Et comme Il entend communiquer cette manière de voir à ses Apôtres, Il leur lance en plein visage : «Donnez-leur vous-mêmes à manger ! » Et eux de répondre : « Mais Tu sais bien que nous n'avons rien à leur donner si ce n'est trois pains et deux malheureux poissons ». Mais Jésus fait la sourde oreille ; Il ne tient pas compte de cette remarque, et sans attendre, Il donne l'ordre aux Apôtres de faire asseoir tout le monde, par groupes de 50. Voyez s'Il a aussi le sens de l'organisation ! Notons aussi que ce n'est pas Lui qui donne les ordres à la foule, Il oblige les Apôtres à les donner, car Il entend les responsabiliser en les poussant à s'occuper de ces pauvres gens. Nous aussi, mes frères bien-aimés, très souvent, nous passons à côté de la misère humaine sans chercher à l'anéantir, tout en étant sensibles à leur situation jusqu'à nous écrier, une larmette au coin d'un œil : « Oh les pauvres ! », mais on en reste là en attendant que Dieu intervienne ! Vous connaissez comme moi le fameux Bénédicité prononcé avant le repas, qui n'est qu'une abomination antiévangélique : cette prière commence bien et finit mal. Écoutez-la et rayez-la de votre mémoire : « Bénissez-nous Seigneur, bénissez ce repas (jusque-là tout va bien), et donnez du pain à ceux qui n'en ont pas ». Et voilà la catastrophe ! Comment voulez-vous que du Haut du Ciel, si ce n'est par nos mains, Dieu Notre Père balance des tonnes de pain dans les sacs des plus pauvres de nos frères ! Allez, amis qui m'écoutez, essayons ensemble d'être concrets dans l'amour que nous portons aux autres, de même que Jésus par son Eucharistie vient nourrir encore des foules entières pour que vous et moi nous tenions bon et debout. Bon Dimanche à tous ! » (Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine)
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Antienne d'ouverture de la « Messe du Saint-Sacrement » :
« Le Seigneur a nourri son Peuple de la fleur du froment, Il l' a rassasié avec le miel du rocher » (cf. Ps 80, 17)
Prière d'ouverture de la « Messe du Saint-Sacrement » :
« Seigneur Jésus Christ, dans cet admirable Sacrement, Tu nous as laissé le Mémorial de ta Passion ; donne nous de vénérer avec une telle ferveur les Saints Mystères de ton Corps et de ton Sang, que nous puissions goûter sans cesse en nous le fruit de ta Rédemption. Toi qui vis et règnes avec le Père dans l'unité du Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles »
Première Lecture du Livre de la Genèse (Gn 14, 18-20) de la « Messe du Saint-Sacrement » (année « C ») :
« Melkisédek offre le pain et le vin »
« En ces jours-là, Melkisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin : il était prêtre du Dieu très-haut. Il bénit Abram en disant : « Béni soit Abram par le Dieu très-haut, qui a fait le ciel et la terre ; et béni soit le Dieu très-haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains. » Et Abram lui donna le dixième de tout ce qu’il avait pris ».
Le sens de cette Première Lecture du Livre de la Genèse (Gn 14, 18-20) : Lorsque la dynastie de David a semblé éteinte à tout jamais, on a commencé à imaginer un Messie différent : non plus un roi descendant de David, mais un Prêtre capable d'apporter aux descendants d'Abraham la Bénédiction du Dieu Très-Haut. À ce moment-là, on s'est souvenu de Melkisédek.
Psaume 109 (Ps 109 (110), 1, 2, 3, 4) de la « Messe du Saint-Sacrement » (année « C ») :
R/ Tu es Prêtre à jamais, selon l’ordre de Melkisédek (cf. Ps 109, 4)
Oracle du Seigneur à mon seigneur :
« Siège à ma droite,
Et je ferai de tes ennemis
Le marchepied de ton trône. »
De Sion, le Seigneur te présente
Le sceptre de ta force :
« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi. »
Le jour où paraît ta puissance,
Tu es prince, éblouissant de Sainteté :
« Comme la rosée qui naît de l’aurore,
Je t’ai engendré. »
Le Seigneur l’a juré
Dans un serment irrévocable :
« Tu es Prêtre à jamais
Selon l’ordre du roi Melkisédek ».
Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 11, 23-26) de la « Messe du Saint-Sacrement » (année « C ») :
« Chaque fois que vous mangez ce Pain et buvez cette Coupe, vous proclamez la Mort du Seigneur »
« Frères, j’ai moi-même reçu ce qui vient du Seigneur, et je vous l’ai transmis : la Nuit où Il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain, puis, ayant rendu Grâce, Il le rompit, et dit : « Ceci est mon Corps, qui est pour vous. Faites Cela en mémoire de moi. » Après le Repas, Il fit de même avec la Coupe, en disant : « Cette Coupe est la Nouvelle Alliance en mon Sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi. » Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce Pain et que vous buvez cette Coupe, vous proclamez la Mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne. »
Le sens de cette Deuxième Lecture de la Première Lettre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 11, 23-26) : On peut comparer la transmission de la foi de génération en génération à une course de relais : depuis deux mille ans, le précieux dépôt s'est transmis fidèlement et le Corps du Christ se construit progressivement au long de l'histoire de l'humanité. En participant à l'Eucharistie, nous nous engageons résolument à contribuer à cette grande Œuvre de Réconciliation et d'Alliance inaugurée par Jésus.
Séquence « Lauda Sion Salvatorem » de Saint Thomas d'Aquin pour la « Messe du Saint-Sacrement » du 19 juin 2022 (année « C ») :
Alléluia ! Alléluia !
« Moi, je suis le Pain Vivant qui est descendu du Ciel, dit le Seigneur ; si quelqu’un mange de ce Pain, il vivra éternellement » (cf. Jn 6, 51)
Alléluia !
« Ils mangèrent et ils furent tous rassasiés »
« En ce temps-là, Jésus parlait aux foules du Règne de Dieu, et guérissait ceux qui en avaient besoin. Le jour commençait à baisser. Alors les Douze s’approchèrent de Lui et Lui dirent : « Renvoie cette foule : qu’ils aillent dans les villages et les campagnes des environs afin d’y loger et de trouver des vivres ; ici nous sommes dans un endroit désert. » Mais Il leur dit : « Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Ils répondirent : « Nous n’avons pas plus de cinq pains et deux poissons. À moins peut-être d’aller nous-mêmes acheter de la nourriture pour tout ce peuple. » Il y avait environ cinq mille hommes. Jésus dit à Ses disciples : « Faites-les asseoir par groupes de cinquante environ. » Ils exécutèrent cette Demande et firent asseoir tout le monde. Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au Ciel, Il prononça la Bénédiction sur eux, les rompit et les donna à Ses disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Ils mangèrent et ils furent tous rassasiés ; puis on ramassa les morceaux qui leur restaient : cela faisait douze paniers ».
Credo
Prière Universelle de la « Messe du Saint-Sacrement » du 19 juin 2022 (année « C ») :
Fortifiés par le Saint-Esprit et unis à la Prière de notre Seigneur Jésus Christ, prions notre Père des Cieux :
Pour que tous les Pasteurs de nos églises, et tous ceux qui en ces jours seront ordonnés Prêtres ou Diacres, imitent dans leur vie Ce qu'ils célèbrent.
Pour que les exploitants agricoles reçoivent une juste reconnaissance pour leur précieux travail.
Pour que ceux qui vivent la fin de leur vie et qui ont mis leur espoir en tes Promesses reçoivent de Toi les vivres dont ils ont besoin.
Pour que notre Communauté rassemble en Toi ceux que Tu as nourris du même Pain.
Seigneur, accueille notre prière et guide-nous tous ensemble jusqu'au Banquet du Ciel.
Prière sur les Offrandes de la « Messe du Saint-Sacrement » :
« Nous T'en prions, Seigneur, dans ta Bonté accorde à ton Église les dons de l'unité et de la paix, signifiés mystérieusement par les présents que nous T'offrons. Par le Christ, notre Seigneur… »
Préface du Saint-Sacrement de la « Messe du Saint-Sacrement » :
Vraiment, il est juste et bon de Te rendre gloire, de T'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, à Toi, Père très Saint, Dieu Éternel et Tout-Puissant par le Christ, notre Seigneur. Dans le dernier Repas qu’Il prit avec ses Apôtres, afin que toutes les générations fassent mémoire du Salut par la Croix, Il s'est offert à Toi, comme l'Agneau sans péché, et Tu as accueilli son Sacrifice de louange. Quand Tes fidèles communient à ce Sacrement, Tu les sanctifies pour que tous les hommes, habitant le même univers, soient éclairés par la même foi et réunis par la même charité. Nous venons à la Table d'un si grand Mystère nous imprégner de ta Grâce et connaître déjà la Vie du Royaume. Voilà pourquoi le Ciel et la terre T'adorent ; ils chantent le cantique de l'Alliance Nouvelle, et nous-mêmes, unissant notre voix à celle des anges, nous T'acclamons : ...
« Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt caeli et terra gloria tua. Hosanna, in excélsis. Benedictus qui venit in nomine Domini. Hosanna, in excélsis ! »
Antienne de la Sainte Communion de la « Messe du Saint-Sacrement » :
« Celui qui mange ma Chair et boit mon Sang demeure en moi, et moi en lui, dit le Seigneur » (cf. Jn 6, 56)
Prière après la Sainte Communion de la « Messe du Saint-Sacrement » :
« Nous T'en prions, Seigneur Jésus Christ : donne nous de goûter pleinement à ta Vie Divine dans l'éternité, ce que préfigure dans le temps la Communion à ton Corps et à ton Sang Précieux. Toi qui vis et règnes pour les siècles des siècles. »
V/ Allez, dans la Paix du Christ, alléluia, alléluia.
R/ Nous rendons grâce à Dieu, alléluia, alléluia.
Vidéo de la « Messe du Saint-Sacrement » célébrée et prêchée par Mgr Philippe Marsset, Évêque auxiliaire de Paris, en l'église de Saint-Germain-L'auxerrois, le 19 juin 2022 (année « C ») :
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « A » : 2023, 2026, 2029, …)
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « B » : 2021, 2024, 2027, …)
- La « Messe pour la Solennité du Saint-Sacrement » (année « C » : 2022, 2025, 2028, …)
- La « Sainte Messe de la Solennité de la Fête-Dieu ou de la Fête du Très Saint Corps du Christ » (In Festo Sanctissimi Corporis Christi) célébrée chaque année en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours » (Introït « Cibavit eos ex ádipe fruménti » ; Collecte ; Épitre de Saint Paul Apôtre aux Corinthiens I. XI, 23-29 ; Graduel Ps 144, 15-16 ; Alléluia Jean 6, 56-57 ; Séquence « Lauda Sion Salvatorem », Évangile selon Saint Jean VI, 56-59 ; Offertoire Lévitique XXI, 6 ; Secrète ; Préface du Saint-Sacrement ; Communion 1. Cor. 11, 26-27 ; PostCommunion, …) avant que soient composées les 3 Messes du Dimanche de la Solennité du Saint-Sacrement par Vatican II avec des Textes Liturgiques différents ( ?) selon l’année A, B, C
Voir également pour la Fête du Très Saint Corps du Christ (In Festo Sanctissimi Corporis Christi) :
- Les « Litanies du Saint Sacrement » en français et en latin « Litaniae de Sanctissimo Sacramento » pour la Fête-Dieu
- La Prière de la Solennité de la Fête-Dieu « Seigneur Jésus, Vous venez dans Votre Divin Sacrement pour y être notre perpétuel Intercesseur » d’Adolphe Baudon de Mony
- Les Prières et Résolutions pour chaque Jour de la Semaine dans l'Octave du Saint-Sacrement de l’Abbé Jean-Baptiste La Sausse « Ô Jésus, Pain du Ciel, qui êtes le Pain de Vie, soyez pour moi une Source de Vie »
- Toutes les « Prières devant le Saint Sacrement » (plus d’une centaine)
- Toutes les « Prières avant, pendant et après la Sainte Communion » (plus d’une centaine)
- Le Sermon pour la Fête-Dieu « Le Miracle Eucharistique de Faverney » de l’Abbé Denis Puga
- Le Sermon pour la Fête-Dieu « Qui mange ma Chair a la Vie Éternelle » de l’Abbé Denys de Crécy