Voici la Prière « Ô Mère de mon Dieu ! » de Saint Jérôme (347-420), Père et Docteur de l'Église qui a placé la Bible au centre de sa vie en La traduisant en latin : « La Vulgate », en La commentant dans ses œuvres, et surtout en La vivant concrètement dans sa vie en passant les trente-cinq dernières années de sa vie à Bethléem près de la grotte ou Jésus est né.
La Prière de Saint Jérôme « Ô Mère de mon Dieu ! » :
Ô Mère de mon Dieu ! Quelle Gloire est la Vôtre ! Vous avez conçu, dans Votre sein virginal, l'Auteur même de la Vie ; Vous avez pressé contre votre Cœur et couvert de Vos maternels embrassements, Votre bien-aimé Jésus ; quoique votre Créateur et votre Maître, Vous L'avez vu Petit Enfant s'attacher à Vous, essayer à Vos côtés Ses premiers pas et inonder Votre âme d'une ineffable jouissance. Ô heureux Enfantement ! Vous faites tressaillir d'allégresse les Anges, Vous êtes l'attente de tous les Saints. Enveloppé dans une même réprobation, le genre humain tout entier avait besoin de Vous pour être déchargé du poids de cet anathème. Ainsi soit-il.
Saint Jérôme (347-420)
Voir également sur Saint Jérôme :
- La « Catéchèse de Benoît XVI » sur Saint Jérôme
- La Prière à Saint Jérôme « Glorieux Saint Jérôme, Père et Docteur de l'Église »
- La Prière de Saint Jérôme à la Très Sainte Vierge Marie « Ô Mère de mon Dieu ! »
- La Prière de Saint Jérôme à l’heure de notre Mort « Ô Marie, lorsque mon âme sortira de mon corps, daignez venir à sa rencontre pour la recevoir »
- La « Veillée de Noël » de Saint Jérôme « Cher Petit Enfant, qu'êtes-Vous donc venu chercher sur cette terre ? »
- L’Homélie de Saint Jérôme sur le Psaume 41 : « Action de Grâce des nouveaux Baptisés »
- L’Homélie de Saint Jérôme sur la Guérison de la fille de la Cananéenne (Matthieu XV-21-28) « Ayez pitié de moi, Seigneur, fils de David ! »
- La Prière de Saint Jérôme pour les Agonisants « Ô Seigneur, Vos menaces me font trembler jusqu'au plus profond de mes entrailles »
- La Prière de Contrition de Saint Jérôme « Seigneur, j'ai péché contre Vous qui Seul êtes sans péché »