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Prière de Saint Robert Bellarmin

Prières > à Dieu le Père

Voici une Prière extraite de « l'Echelle du Ciel » sur les Moyens efficaces de parvenir au vrai Bonheur « Élevez donc, ô mon âme, vos yeux au ciel » de Saint Robert Bellarmin (1542-1621), Cardinal Archevêque italien de Bénévent, Théologien Jésuite et Docteur de l'Église qui forma le jeune Saint Louis de Gonzague. Vous trouverez également ici la « Catéchèse de Benoît XVI » sur Saint Roberto Francesco Romolo Bellarmino.



La Prière de Saint Robert Bellarmin « Élevez donc, ô mon âme, vos yeux au ciel » :

« Élevez donc, ô mon âme, vos yeux au ciel, et considérez combien il faut estimer les biens qui s'y trouvent réunis, puisque l’or, l'argent et les pierres précieuses qu'on recherche tant ici-bas, sont, moins que de la boue et de la paille comparées à ces biens célestes ! Ajoutez encore que l'or, l’argent et les pierres précieuses dont les hommes font tant de cas, sont sujettes à la Corruption, tandis que ce qui brille dans le ciel est éternel et incorruptible. Mais si vous voulez transmettre dans le ciel cet or et cet argent corruptibles que vous possédez par l’entremise des pauvres, ce que vous ferez si vous êtes sage, alors vous le rendrez incorruptible et vous le posséderez éternellement ; car la souveraine Vérité ne saurait mentir, et elle vous dit : Vendez ce que vous avez et le donnez aux pauvres , et vous aurez un trésor dans le ciel... Vendez ce que vous possédez, et donnez l'aumône ; faites-vous des bourses qui ne s'usent point par le temps, et amassez ainsi dans le ciel un trésor qui ne s'épuise jamais, d'où les voleurs n'osent approcher et que les vers ne puissent corrompre (Luc 12, 33). Ô incrédulité des enfants des hommes ! L'homme, menteur par un désordre de sa nature corrompue, promet de paver dix pour cent d'intérêt, et de plus de rendre le capital ; on se fie à sa parole : Dieu, qui ne ment jamais, promet à celui qui donne l'aumône, un trésor dans le ciel ; bien plus, il promet cent pour un et par-dessus encore la vie éternelle, et cependant l’homme avare balance, on ne peut lui inspirer la confiance, et il aime mieux cacher un trésor que la rouille consume, que les voleurs déterrent et emportent souvent, que de le placer dans le ciel d'où les voleurs ne sauraient approcher, ni la rouille l’y consumer. Mais quand même vos trésors seraient à l’abri des voleurs et des autres accidents, je vous demande, malheureux ! À qui seront un jour ces trésors dont l'acquisition et la conservation vous ont coûté tant de peines ? Ils ne seront plus certainement à vous, tandis qu'ils auraient continué de l’être, si vous eussiez chargé les pauvres de les porter dans le ciel. Il arrive communément que ce que les avares ont ramassé passe à des héritiers prodigues qui mettent moins de temps à le dissiper qu'ils n'en avaient mis eux-mêmes à le ramasser. Cependant le péché de l'avare demeurera et subsistera éternellement ; le ver de la conscience ne meurt point et le feu de l’enfer ne s'éteindra jamais. Instruisez-vous donc, ô mon âme, par les folies d'autrui ; croyez le Seigneur votre maître qui vous dit d'éviter toute espèce d'avarice : car en quelque abondance qu'un homme soit, la conservation de sa vie ne dépend point des grands biens qu'il possède (Luc 12, 15). L'avare ramasse et conserve pour avoir de quoi vivre longtemps, mais il arrive tout le contraire ; car au moment où il y pense le moins, la mort le surprend, et tous les biens qu'il a ramassés et conservés si avaricieusement engendrent ce ver qui ne meurt point, et allument ce feu qui ne s'éteindra jamais. Ô avare infortuné ! Était-ce pour allumer le feu inextinguible de l'enfer, que tu as ramassé des trésors avec tant de sollicitude ? Écoute l'apôtre saint Jacques qui dit à toi et à tous ceux qui te ressemblent : « Riches, qui ne pensez qu'a augmenter votre trésor, pleurez, poussez des cris, et comme des hurlements dans la vue des misères qui doivent fondre sur vous pour vous punir de votre avarice ; la pourriture consume les richesses que vous gardez ; les vers mangent les vêtements que vous avez en réserve ; la rouille gâte l'or et l'argent que vous cachez, et cette rouille portera témoignage contre vous au jugement de Dieu, et dévorera votre chair comme un feu » (Jc 5, 1). Vous vous estimez heureux, observe St. Jacques, parce que vous vous croyez riches et vous le dites ; mais il est vrai que vous êtes misérables et les plus misérables de tous, et que vous avez grand sujet de pleurer et de pousser des hurlements à cause de la grande misère dont vous êtes menacés. Car ces richesses surabondantes que vous avez conservées, et que vous saviez devoir se perdre, tandis que vous auriez pu les donner aux pauvres ; ces habits superflus que vous avez mieux aimé laisser gâter par les teignes que d'en revêtir ceux qui étaient nus ; cet or et cet argent que vous avez laissé endommager par la rouille, plutôt que d'en faire l'aumône et d'en acheter de quoi nourrir les indigents ; tous ces objets de votre avarice déposeront contre vous au jour du jugement : la teigne et la rouille de vos richesses se convertiront en un feu brûlant qui dévorera éternellement vos chairs sans les consumer, afin que le feu ne s'éteigne point et que la douleur ne finisse jamais. Concluons donc avec le prophète, que si les insensés appellent bienheureux ceux qui possèdent les biens terrestres, les richesses superflues, ceux qui sont vraiment sages attribuent ce bonheur au peuple qui a pris Dieu pour son partage : « Beatus populus Dominus Deus ejus » (Ps. 143). Amen. »

Saint Robert Bellarmin (1542-1621) - « l'Echelle du Ciel » (3°: considération de la terre)

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Voir également de Saint Robert Bellarmin :
- « Saint Robert Bellarmin » d’après la Catéchèse de Benoît XVI
- La Prière de Saint Robert Bellarmin « Élevez donc, ô mon âme, vos yeux au Ciel »
- La Prière de Saint Robert Bellarmin « Ô mon âme, n’appelez personne votre père sur la terre car vous n'avez qu'un seul Père qui est dans les Cieux »
- La Prière de Saint Robert Bellarmin « Ô mon âme, vous devez détester le péché par-dessus tout »
- La Prière de Saint Roberto Bellarmino « Ô mon âme, ne ressemblez pas à ceux qui confessent Dieu de bouche et Le nient par leurs actions »
La Prière de Saint Roberto Bellarmino « Ô mon Père, donnez-moi de cette Eau qui purifie toutes mes souillures »
- La Prière de Mgr Robert Bellarmin « Ô Seigneur, qui êtes Suave, Doux et rempli de Miséricorde »
- La Prière de Roberto Bellarmino « Ô mon Dieu, je Vous cherche sérieusement et de tout mon cœur »
- La Prière de Saint Roberto Bellarmino « Seigneur, nous voulons Te suivre, la Croix sur les épaules, par un chemin étroit rempli d'épines et de ronces »
- La Prière de Robert Bellarmin « Ô Seigneur, nous ne désirons pas seulement T'aimer et Te suivre mais nous sommes résolus à mépriser ce monde »
- L’Acte de Contrition du Saint Cardinal Bellarmin « Mon Dieu, je suis grandement affligé de Vous avoir offensé »
- La Prière sur l’humilité du Saint Cardinal Bellarmin « Ô Seigneur Jésus, donnez-moi votre Humilité »
- La Prière pour être plus miséricordieux du Cardinal Bellarmin « Ô Père, donnez-moi votre Miséricorde »
- La Prière du Cardinal Robert Bellarmin pour louer Dieu comme les anges « Si vous croyez, ô mon âme, avec raison devoir admirer la nature des anges »
- La Prière du Cardinal Robert Bellarmin « Ô Seigneur, faites-moi la Grâce de vivre avec sobriété, avec justice et avec piété dans ce monde »
- La Prière du Cardinal Robert Bellarmin « Ô Père des Lumières, donnez-moi la Lumière de la Sagesse et la Règle de la Charité »



LE PAPE BENOIT XVI CELEBRE L'EPIPHANIE

  • « Saint Robert Bellarmin » d’après la Catéchèse de Benoît XVI lors de son audience générale du mercredi 23 février 2011 :


Chers frères et sœurs !

Saint Robert Bellarmin, dont je désire vous parler aujourd’hui, nous ramène en esprit à l’époque de la douloureuse scission de la chrétienté occidentale, lorsqu’une grave crise politique et religieuse provoqua l’éloignement de nations entières du Siège apostolique.

Né le 4 octobre 1542 à Montepulciano, près de Sienne, il est le neveu, du côté de sa mère, du Pape Marcel II. Il reçut une excellente formation humaniste avant d’entrer dans la compagnie de Jésus le 20 septembre 1560. Les études de philosophie et de théologie, qu’il accomplit au Collège romain, à Padoue et à Louvain, centrées sur saint Thomas et les Pères de l’Eglise, furent décisives pour son orientation théologique. Ordonné prêtre le 25 mars 1570, il fut pendant quelques années professeur de théologie à Louvain. Appelé par la suite à Rome comme professeur au Collège romain, il lui fut confiée la chaire d’« Apologétique » ; au cours de la décennie où il occupa cette fonction (1576-1586), il prépara une série de leçons qui aboutirent ensuite aux « Controverses », œuvre devenue immédiatement célèbre en raison de la clarté et de la richesse de son contenu et de son ton essentiellement historique. Le Concile de Trente s’était conclu depuis peu et pour l’Eglise catholique, il était nécessaire de renforcer et de confirmer son identité notamment face à la Réforme protestante. L’action de Robert Bellarmin s’inscrit dans ce contexte. De 1588 à 1594, il fut d’abord père spirituel des étudiants jésuites du Collège romain, parmi lesquels il rencontra et dirigea Saint Louis de Gonzague, puis supérieur religieux. Le Pape Clément VIII le nomma théologien pontifical, consulteur du Saint-Office et recteur du Collège des pénitenciers de la Basilique Saint-Pierre. C’est à la période 1597-1598 que remonte son catéchisme, Doctrine chrétienne abrégée, qui fut son œuvre la plus populaire.

Le 3 mars 1599, Saint Robert Bellarmin fut créé cardinal par le Pape Clément VIII et, le 18 mars 1602, il fut nommé archevêque de Capoue. Il reçut l’ordination épiscopale le 21 avril de la même année. Au cours des trois années où il fut évêque diocésain, il se distingua par son zèle de prédicateur dans sa cathédrale, par la visite qu’il accomplissait chaque semaine dans les paroisses, par les trois synodes diocésains et le Concile provincial auquel il donna vie. Après avoir participé aux conclaves qui élurent les Papes Léon XI et Paul V, il fut rappelé à Rome, où il devint membre des Congrégations du Saint-Office, de l’Index, des rites, des évêques et de la propagation de la foi. Il reçut également des charges diplomatiques, auprès de la République de Venise et de l’Angleterre, pour défendre les droits du Siège apostolique. Dans ses dernières années, Saint Robert Bellarmin rédigea divers livres de spiritualité, dans lesquels il résuma le fruit de ses exercices spirituels annuels. Le peuple chrétien tire aujourd’hui encore une profonde édification de leur lecture. Il mourut à Rome le 17 septembre 1621. Le Pape Pie XI le béatifia en 1923, le canonisa en 1930 et le proclama docteur de l’Eglise en 1931.

Saint Robert Bellarmin joua un rôle important dans l'Eglise des dernières décennies du XVIe siècle et des premières du siècle suivant. Ses « Controversiae » constituèrent un point de référence, encore valable, pour l'ecclésiologie catholique sur les questions concernant la Révélation, la nature de l'Eglise, les Sacrements et l'anthropologie théologique. Dans celles-ci, l'aspect institutionnel de l'Eglise se trouve accentué, en raison des erreurs qui circulaient à l'époque sur ces questions. Toutefois, Bellarmin clarifia également les aspects invisibles de l'Eglise comme Corps mystique et les illustra à travers l'analogie du corps et de l'âme, afin de décrire le rapport entre les richesses intérieures de l'Eglise et les aspects extérieurs qui la rendent perceptible. Dans cette œuvre monumentale, qui tente de systématiser les diverses controverses théologiques de l'époque, il évite toute approche polémique et agressive à l'égard des idées de la Réforme, mais en utilisant les arguments de la raison et de la Tradition de l'Eglise, il illustre de manière claire et efficace la doctrine catholique.

Toutefois, son héritage tient à la manière dont il conçut son travail. Les tâches prenantes du gouvernement ne lui empêchèrent pas, en effet, de tendre quotidiennement vers la sainteté en fidélité aux exigences de son statut de religieux, de prêtre et d'évêque. C'est de cette fidélité que découle son engagement dans la prédication. Etant, en tant que prêtre et évêque, avant tout un pasteur d'âmes, il ressentit le devoir de prêcher assidûment. Il prononça des centaines de sermons — les homélies — dans les Flandres, à Rome, à Naples et à Capoue à l'occasion des célébrations liturgiques. Tout aussi nombreuses, ses expositions et les explications destinées aux curés, aux religieuses, aux étudiants du Collège romain, ont souvent pour objet les Saintes Ecritures, en particulier les Lettres de saint Paul. Sa prédication et ses catéchèses présentent ce même caractère d'essentialité qu'il avait appris au cours de son éducation ignacienne, visant tout entière à concentrer les forces de l'âme sur le Seigneur Jésus intensément connu, aimé et imité.

Dans les écrits de cet homme de gouvernement on perçoit de manière très claire, malgré la réserve derrière laquelle il cache ses sentiments, le primat qu'il accorde aux enseignements du Christ. Saint Bellarmin offre ainsi un modèle de prière, âme de toute activité : une prière qui écoute la Parole du Seigneur, qui se satisfait d'en contempler la grandeur, qui ne se replie pas sur elle-même, mais est heureuse de s'abandonner à Dieu. Un signe distinctif de la spiritualité de Robert Bellarmin est la perception vivante et personnelle de l'immense bonté de Dieu, grâce à laquelle notre saint se sentait vraiment le fils bien-aimé de Dieu et c'était une source de grande joie que de se recueillir, avec sérénité et simplicité, en prière, en contemplation de Dieu. Dans son livre « De ascensione mentis in Deum » — Elévation de l'esprit à Dieu — composé sur le schéma de « l'Itinerarium » de saint Bonaventure, il s'exclame : « Ô mon âme, ton exemple est Dieu, Beauté infinie, Lumière sans ombres, Splendeur qui dépasse celle de la lune et du soleil. Lève les yeux vers Dieu dans lequel se trouvent les archétypes de toutes les choses, et dont, comme d'une source d'une infinie fécondité, dérive cette variété presque infinie des choses. C'est pourquoi tu dois conclure: celui qui trouve Dieu trouve toute chose, qui perd Dieu perd toute chose ».

Dans ce texte, on entend l’écho de la célèbre « contemplatio ad amorem obtineundum » — contemplation pour obtenir l’amour — des Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola. Robert Bellarmin, qui vit dans la société fastueuse et souvent malsaine de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle, tire de cette contemplation des aspects pratiques et y projette la situation de l’Eglise de son temps avec un vif souffle pastoral. Dans l’ouvrage « De arte bene moriendi » — l’art de bien mourir — il indique, par exemple, comme règle sûre d’une bonne vie, et également d’une bonne mort, de méditer souvent et sérieusement le fait que l’on devra rendre compte à Dieu de ses propres actions et de sa propre façon de vivre, et de chercher à ne pas accumuler de richesses sur cette terre, mais à vivre simplement et avec charité de manière à accumuler des biens au Ciel. Dans l’ouvrage « De gemitu colombae » — le gémissement de la colombe, où la colombe représente l’Eglise — il rappelle avec force tout le clergé et les fidèles à une réforme personnelle et concrète de leur propre vie, en suivant ce qu’enseignent les Saintes Ecritures et les saints, parmi lesquels il cite en particulier saint Grégoire de Nazianze, saint Jean Chrysostome, saint Jérôme et saint Augustin, en plus des grands fondateurs des Ordres religieux, tels que saint Benoît, saint Dominique et saint François. Robert Bellarmin enseigne avec une grande clarté et à travers l’exemple de sa propre vie qu’il ne peut pas y avoir de véritable réforme de l’Eglise si auparavant il n’y a pas notre réforme personnelle et la conversion de notre cœur.

Robert Bellarmin puisait aux Exercices spirituels de saint Ignace des conseils pour communiquer de manière profonde, également aux plus simples, les beautés des mystères de la foi. Il écrit : « Si tu es sage, tu comprends que tu es créé pour la gloire de Dieu et pour ton salut éternel. Cela est ton but, le centre de ton âme, le trésor de ton cœur. Estime donc comme un vrai bien pour toi ce qui te conduit à ton objectif, un vrai mal ce qui te le fais manquer. Les événements bénéfiques ou l’adversité, la richesse et la pauvreté, la santé et la maladie, les honneurs et les outrages, la vie et la mort, le sage ne doit ni les chercher, ni les fuir pour lui-même. Ils ne sont bons et désirables que s’ils contribuent à la gloire de Dieu et à ton bonheur éternel, ils sont mauvais et à fuir s’ils lui font obstacle » (De ascensione mentis in Deum, grad. 1).

Ces paroles ne sont assurément pas passées de mode, ce sont des paroles que nous devons méditer longuement aujourd’hui pour orienter notre chemin sur cette terre. Elles nous rappellent que le but de notre vie est le Seigneur, le Dieu qui s’est révélé en Jésus Christ, en qui Il continue à nous appeler et à nous promettre la communion avec Lui. Elles nous rappellent l’importance de s’en remettre au Seigneur, de nous prodiguer dans une vie fidèle à l’Evangile, d’accepter et d’illuminer par la foi et par la prière toute circonstance et toute action de notre vie, toujours tendus vers l’union avec Lui. Merci.

Benoît XVI



Voir également de Saint Robert Bellarmin :
- « Saint Robert Bellarmin » d’après la Catéchèse de Benoît XVI
- La Prière de Saint Robert Bellarmin « Élevez donc, ô mon âme, vos yeux au Ciel »
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La Prière de Saint Roberto Bellarmino « Ô mon Père, donnez-moi de cette Eau qui purifie toutes mes souillures »
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- La Prière du Cardinal Robert Bellarmin « Ô Père des Lumières, donnez-moi la Lumière de la Sagesse et la Règle de la Charité »