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Prière et réflexions sur l’existence de Dieu

Prières > à Dieu le Père

Voici une Prière et quelques réflexions sur les preuves de l’existence de Dieu et le malheur de ceux qui ne Le connaissent pas « Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin » données le 1er Janvier pour la Fête de Saint Fulgence (467-532), Évêque de Ruspe en Afrique et Docteur de l'Église, par Monsieur l’Abbé Joseph Reynaud (1802-1881), Principal du Collège de Digne dans les Basses-Alpes puis Curé de Goncelin en Isère dans le Diocèse de Grenoble, auteur des « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année » d’où est extraite cette Prière.



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La Prière sur l’existence de Dieu « Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin » de l’Abbé Joseph Reynaud :

Fulgence sortait d'une famille illustre qui avait occupé une place distinguée dans le sénat de Carthage ; mais qui, depuis l'invasion des Vandales, était beaucoup déchue de son ancienne splendeur. Notre Saint naquit en 464, à Telepte, ville considérable de la Byzacène. Mariane, sa mère, qui devint veuve de bonne heure, se chargea du soin de lui former le cœur sur les grandes maximes de la Piété Chrétienne ; pour la culture de son esprit, elle le confia à des maîtres habiles qui lui enseignèrent le grec, le latin et les différentes parties de la littérature. La rapidité de ses progrès fut étonnante. Cependant, malgré l'application qu'il donnait à l'étude, il ne laissa pas d'entrer dans le maniement des affaires domestiques, pour soulager sa mère qui était extrêmement surchargée. Ce fut alors que ses heureuses dispositions se développèrent.
Une prudence consommée dont il donnait des preuves en toute occasion, une conduite vertueuse, une douceur admirable envers tous ceux qui avaient à traiter avec lui, et surtout une tendre déférence pour sa mère, sans l'ordre ou l'avis de laquelle il n'entreprenait jamais rien, le firent aimer et admirer de tous ceux qui le connaissaient.
Un mérite aussi distingué ne pouvait rester longtemps caché. On jeta les yeux sur lui pour la place de procureur ou de receveur-général des impôts de la Byzacène ; mais à peine fut-il revêtu de cet emploi, qu'il se dégoûta du monde. Justement alarmé des dangers qu'il y courait, il fortifiait son âme par de pieuses lectures, par une prière continuelle, par des jeûnes rigoureux et par la visite fréquente des Monastères.
Ayant été reçu par Fauste dans celui de Byzacène, il ne s'occupa plus que des choses du Ciel et laissa son bien à sa mère, afin qu'elle en prît l'administration jusqu'à ce que son jeune frère, à qui il devait revenir, fût en âge de le régir lui-même.
La persécution des Vandales ayant obligé Fauste à prendre la fuite, Fulgence, par son avis, se retira dans un Monastère voisin. Félix, qui en était Abbé, sentit tout le prix de l'acquisition qu'il venait de faire ; aussi voulut-il céder à Fulgence le gouvernement de sa communauté.
Le Saint effrayé par les dangers d'une place si importante, refusa de s'en charger ; mais à la longue on vint à bout de le déterminer à en partager les fonctions avec Félix. Rien de plus admirable que le concert avec lequel ces deux Saints gouvernèrent le Monastère pendant six ans.
Jamais il n'y eut de division parmi eux ; chacun étudiait la volonté de son collègue pour s'y conformer. Fulgence bâtit ensuite dans la Byzacène, un Monastère qui fut bientôt rempli d'un grand nombre de personnes de piété.
Cependant la ville de Ruspe, aujourd'hui Alfaques, était sans Pasteur. Elle demanda le Saint pour Évêque et fut assez heureuse pour l'obtenir. On court au Monastère où il habite, on le tire malgré lui de sa cellule et on l'ordonne Évêque, du consentement du Primat.
Cette nouvelle dignité n'apporta aucun changement dans sa manière de vivre. Son grand amour pour la retraite lui inspira le dessein de bâtir un Monastère à Ruspe, auprès de son église, et il en destinait le gouvernement à Félix, son ancien ami ; mais Trasomond ou Trasimond, roi des Vandales, qui favorisait les Ariens, l'exila en Sardaigne avec six autres Évêques Catholiques, avant qu'il eût commencé l'exécution de ce projet.
Quoique Fulgence fût le plus jeune de ces respectables exilés, tous cependant le consultaient dans leurs doutes. Il était leur oracle : c'était lui qui portait la parole et qui prenait la plume dans le besoin. L'éclat de ses belles qualités était encore rehaussé par la modestie et l'humilité avec lesquelles il proposait son sentiment.
Trasimond, informé que Fulgence était le plus puissant défenseur de la Doctrine Catholique, fut curieux de le voir et le manda à Carthage. De retour à Cagliari, il bâtit un Monastère. Son attention était extrême lorsqu'il s'agissait de pourvoir aux besoins des Moines, surtout dans leurs maladies. Cependant Trasimond étant mort, les Évêques exilés furent rappelés, et Fulgence étant rentré dans son église, se mit à travailler à la réformation des abus qu'une longue persécution y avait introduits. L'activité de son zèle fut si bien tempérée par la douceur, qu'il gagna les pécheurs les plus endurcis. Il avait un talent singulier pour instruire, ce qui faisait que ses discours produisaient les plus grands fruits.
Sentant que sa fin approchait, il se retira dans un Monastère de la petite île de Circine, pour se préparer au passage de l'Éternité. Mais les besoins et les plaintes de son troupeau le rappelèrent à Ruspe quelque temps avant sa mort, qui arriva le 1er janvier 532.

Voir sur Saint Fulgence :
- La Prière d’émerveillement sur le Paradis « Quel ravissement, ô mon Dieu, lorsque nous Vous verrons dans le Ciel » de Saint Fulgence
- La Prière d’une veuve qui vient de perdre son mari « Ô mon Dieu, Vous m'avez privée d'un mari dont la fidélité était si religieusement profonde » de Saint Fulgence


EXISTENCE DE DIEU

1er Point : Dieu existe.
2e Point : Malheur à celui qui ne Le connaît pas !


PRÉAMBULE : Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin. Je viens de Vous, je retourne à Vous. Que serais-je, si Vous n'étiez-pas ? Un pur néant. La terre que j'ai sous les pieds, le ciel que j'ai sur la tête, sont l'ouvrage de Vos mains. Qui pourrait Vous méconnaître en ayant devant les yeux le beau spectacle de la nature ?
Je Vous adore et je me prosterne d'esprit et de cœur devant votre Majesté Sainte. J'unis mes hommages à ceux de l'univers entier. Malheur à celui qui aurait la criminelle audace de révoquer en doute la certitude de votre Existence !


1er POINT : Dieu existe
Dieu est un Esprit infiniment parfait qui a fait de rien le ciel et la terre et tout ce qui y est renfermé. Ce qui est hors de moi et dans moi m'annonce cet Être Souverain dont la puissance est infinie.
Si je regarde le ciel, quel spectacle ravissant ! Qui est-ce qui a fait cette voûte immense ? Qui est-ce qui a suspendu tous ces globes éclatants : le soleil qui répand partout sa lumière et sa chaleur pendant le jour, la lune et les étoiles qui brillent au firmament pendant la nuit ? Avec quelle régularité ces astres recommencent chaque jour leur course majestueuse ! Tous leurs mouvements sont réglés. Jamais ils ne s'écartent de la route que Dieu leur a tracée, et ce bel ordre subsiste depuis près de six mille ans.
La succession des mois et des jours n'a jamais été interrompue. D'où peut venir une régularité si constante, si ce n'est d'une intelligence infinie et toute-puissante ? Si j'abaisse mes regards sur la terre, que de merveilles n'y aperçois-je pas ! Considérez, mes yeux, cette multitude innombrable d'animaux d'espèces différentes dont elle est peuplée ; cette variété d'arbres, de plantes et de fruits dont elle est couverte ; la quantité prodigieuse de poissons que la mer renferme dans son sein. Quel peut être l'Auteur de tant de merveilles, si ce n'est Dieu ?
Le prince le plus puissant, le plus grand roi du monde pourrait-il seulement former une fleur, une feuille, un grain de sable ? Non sans doute.
Attribuer tout cela au hasard, ne serait-ce pas le comble de l'extravagance ? Quand je vois un beau palais, je juge sans hésiter qu'il y a un habile architecte qui en a tracé le plan et dirigé l'exécution. En voyant un beau tableau, je ne doute pas qu'il n'y ait eu un excellent peintre qui en a conçu le dessein et distribué les couleurs. Si quelqu'un venait me dire que c'est l'ouvrage du hasard ; que les pierres de l'édifice se sont taillées et posées d'elles-mêmes ; que les couleurs du tableau sont venues par hasard s'arranger sur la toile, le nuancer dans un si bel ordre et former une figure si régulière, ne le regarderais-je pas comme un insensé ? Quelle folie n'y aurait-il pas à prétendre que l'univers s'est formé par hasard ? Quoi ! Le hasard n'a jamais formé une maison, un tableau, et il aurait formé le monde !
Ce n'est pas tout : j'ai un corps, et ce corps est composé d'une multitude étonnante de ressorts et d'organes qui sont placés et rangés avec un ordre admirable. Partout j'aperçois un dessein marqué, et je vois que celui qui les a faits a employé les moyens les plus propres à l'exécution de ce dessein. Quelle n'est pas la convenance de la situation des yeux ? Ainsi que des sentinelles, ils occupent le lieu le plus élevé pour apercevoir de loin les objets. N'est-ce pas évident qu'ils ont été faits pour voir, comme les oreilles pour entendre, les mains pour agir et les pieds pour marcher ? Quel autre que Dieu a pu faire un si bel ouvrage ?
Dire que c'est la nature, c'est proférer un mot vide de sens, à moins que par la nature on entende une cause pleine de Sagesse et de Puissance, et alors c'est Dieu Lui-même.
Je n'ai pas seulement un corps, j'ai aussi une âme : cette âme n'est point matérielle, car la matière n'est pas capable de penser : c'est donc un esprit. Cependant mon âme est étroitement unie à mon corps : elle ne s'y est point unie d'elle-même : cette union s'est faite avant qu'elle y ait pensé. Cette union est si étroite, que quand mon corps est en bon état, une douce joie se répand dans mon âme, et dès que mon corps s'altère, l'âme souffre de son côté. Qui a pu unir ainsi deux choses si différentes, et établir entre elles cette correspondance admirable, si ce n'est Dieu ?
Ces sentiments de joie et de douleur que j'éprouve, sont encore une nouvelle preuve de l'existence de Dieu ; car il ne dépend pas de moi de les avoir ou de ne pas les avoir. Si je pouvais me les procurer ou m'y soustraire, je serais toujours dans la joie, et jamais je n'éprouverais malgré moi la douleur. J'ai donc un Maître Tout-Puissant et Souverain qui excite en moi ces sentiments, de qui je dépends et qui dispose de moi selon son bon plaisir ; ce Maître Suprême c'est Dieu.
De là ce cri : mon Dieu ! Qui m'échappe dans une douleur inopinée, dans un danger imprévu ; cri indélibéré qui n'est pas l'effet de la réflexion, mais le témoignage d'une âme naturellement Chrétienne, selon l'expression de Tertullien. Il est donc vrai que nous portons au-dedans de nous l'impression de la Divinité, tracée en caractères ineffaçables. Aussi n'y a-t-il jamais de peuple si barbare et si sauvage qui n'ait reconnu une divinité.
On trouve des nations qui n'ont point de villes, point de lois, point de magistrats ; mais on n'en trouve aucune qui n'ait point de Dieu. Ce consentement si universel parmi les hommes de tous les pays et de tous les siècles, si différents d'ailleurs de génie et de mœurs, séparés par des intervalles immenses de temps et de lieux, ne peut être l'effet d'une convention arbitraire : il ne peut donc venir que d'une lumière qui éclaire tous les hommes, et que Dieu a mise dans nos âmes en nous créant, lumière qu'augmentent la grâce et l'instruction.


2º POINT : Malheur à celui qui ne connaît pas Dieu !
On ne saurait se passer de la connaissance de Dieu : elle est absolument nécessaire. Celui qui ignore le premier Principe, que peut-il savoir ? Ne reste-t-il pas dans la nuit la plus obscure, dans les ténèbres les plus profondes ?
Il ne sait ni d'où il vient ni où il va, il devient pour lui-même un mystère impénétrable. Comment se rendra-t-il compte de son origine ? Qu'était-il avant de paraître sur la terre ? Que sera-t-il après qu'il aura quitté ce monde visible ?
Il tombera entre les mains de ce Grand Maître qu'il admet dans son esprit et qu'il rejette dans son cœur, car il ferme volontairement les yeux. Il résiste aux lumières de la raison et de la Religion, et se rend inexcusable au Tribunal du Juste Juge.
Les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité sont devenues visibles depuis la création du monde, par la connaissance que ses créatures nous en donnent. Ainsi, ces personnes sont inexcusables, dit l'Apôtre Saint Paul, dans son Épître aux Romains I, 20 : Invisibilia enim ipsius, a creaturâ mundi, per ea quae facta sunt, intellecta, conspiciuntur : sempiterna quoque ejus virtus et Divinitas, ità ut sint inexcusabiles.
Oui, mon Dieu, Vous avez gravé dans Vos ouvrages la magnificence de votre Nom en caractères si visibles, que les plus simples même ne sauraient s'y méconnaître : Les cieux annoncent votre Gloire, et le firmament publie les merveilles de votre Puissance ; cette voix se fait entendre à tous les hommes et à toutes les nations.
Quel autre, en effet, a pu dire au soleil : Sortez du néant et présidez au jour ? Quel autre que Vous a pu dire à la lune : Paraissez et soyez le flambeau de la nuit ? Toutes les créatures me disent qu'elles ne se sont pas faites elles-mêmes, mais que c'est Vous qui leur avez donné l'existence. C'est Vous qui avez étendu le ciel comme une tente magnifique ; qui avez attaché les astres au firmament ; qui leur avez trace la route qu'ils doivent parcourir. C'est Vous qui faites germer les plantes dans le sein de la terre, qui leur donnez l'accroissement ; c'est Vous qui avez réglé la succession des jours et des nuits ; fixé l'ordre invariable des saisons. C'est Votre main invisible qui a formé notre corps, qui a arrangé tous ses ressorts et disposé tous ses membres avec un art admirable.
Pour reconnaître cette Vérité, il ne faut ni des lumières sublimes, ni une étude profonde ; les premières impressions de la raison et de la Grâce suffisent : Il ne faut qu'une âme qui porte encore en elle-même ces traits primitifs de lumière que Vous y avez mis en la créant.
Malheur à moi si je laissais jamais éteindre ou même obscurcir cette lumière précieuse par les nuages de mes passions ! Malheur à moi si je devenais semblable à cet insensé qui a dit dans son cœur : Il n'y a point de Dieu ! Ce n'est pas dans son esprit, c'est dans son cœur que l'impie a tenu ce langage ; car le cœur corrompu peut bien lui suggérer ce sentiment, mais son esprit ne saurait se le persuader.
Ne permettez pas, ô mon Dieu, que j'aie le malheur de tomber jamais dans un aveuglement si déplorable. Vous avez fait Vos créatures comme autant de degrés par lesquels je puisse m'élever à Vous ; c'est l'usage que je veux en faire : en les voyant, je verrai et j'adorerai leur Auteur.
Je Vous remercie de ce que Vous avez daigné écouter un pécheur tel que moi. Je Vous supplie de me pardonner les fautes dont je suis coupable, et en particulier celles que j'ai commises dans cette oraison ; et pour que je puisse apaiser Votre justice, je me propose de gagner toutes les Indulgences que je pourrai gagner, soit comme simple fidèle, soit comme membre de quelque confrérie. Je m'unis par conséquent aux Mérites de Notre Seigneur Jésus-Christ et de Saint Fulgence, Votre fidèle serviteur. Ainsi soit-il.


Abbé Joseph Reynaud (1802-1881) - « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année », Méditation sur l’existence de Dieu le 1er janvier pour la Fête de Saint Fulgence, Ier volume, p. 45-53, Ed. Baratier Frères et Fils (1839)

Voir également de M. l’Abbé Joseph Reynaud :
- La Prière sur l’existence de Dieu « Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Méditation sur la nécessité de la Sanctification du Dimanche « Pourriez-Vous, Seigneur, retenir la rosée de votre Grâce, quand Vous voyez une terre si bien préparée ? » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour assister à la Messe le jour de Dimanche « Ne permettez pas, Seigneur, que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière de préparation avant la Messe à l'usage des Prêtres « Seigneur, ayez pitié de ce malheureux Prêtre que Vous voyez prosterné contre terre à vos pieds » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pendant la Messe « Ô Divin Jésus, recevez mes adorations » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Confiteor « Ensevelissez dans votre tombeau, ô mon Dieu, le grand nombre de mes iniquités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Credo « Je crois, ô mon Dieu, toutes les Vérités qu'il Vous a plu de révéler aux hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour l’Offertoire « Ô mon Dieu, je sollicite avec larmes un Pardon que je n’ai pas su mériter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Lavabo « Seigneur, c'est avec les larmes qui coulent de mes yeux que je veux me purifier de mes souillures » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière entre la Préface et le Canon « Vous ne Vous êtes pas contenté, Seigneur, de Vous offrir une fois sur la Croix pour nous racheter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l'Élévation du Saint Sacrifice « Ô Bouquet Sacré où L'on reçoit Jésus-Christ » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Pater « Notre Père, ne nous laissez plus succomber aux tentations par lesquelles l'esprit séducteur nous a ravi l'Innocence » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l’Agnus Dei « Seigneur Jésus, donnez-moi cette Paix que le monde ne saurait donner » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Sainte Communion « Communier, ô bon Jésus, c'est Vous recevoir dans l'Eucharistie Vous-même tout entier » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'une bonne Communion « Faites, Seigneur, que je connaisse les heureux fruits d'une bonne Communion » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour Communier à genoux « Ô Céleste Époux, faites-moi la Grâce de Communier avec les dispositions nécessaires » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière après la Sainte Communion « Ô Dieu, qui nous avez donné le véritable Pain descendu du Ciel » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Dernier Évangile « Vous donnez à vos Apôtres, ô mon Dieu, des preuves si claires et si convaincantes de votre Résurrection » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'action de grâces après la Messe à l'usage des Prêtres « Quelle abondance de Grâces, Seigneur, pour ceux qui célèbrent votre Sacrifice avec piété » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Salutation Angélique « Ô Vous, qui êtes la Mère de l'Auteur des Grâces, priez pour nous » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour une juste Dévotion à Marie « Réglez si bien ma Dévotion à la Sainte Vierge, Seigneur, que je ne Vous offense ni par défaut ni par excès » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour réciter fréquemment le Chapelet « Vous avez, ô mon Dieu, opéré des Miracles par le moyen du Chapelet » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Sacrement de Baptême « La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière des Parrains et Marraines de Baptême « Seigneur, faites-moi connaître les qualités et les obligations des Parrains et des Marraines » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Pardon « Ô mon Dieu, que Votre vengeance est terrible ! » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière du pécheur pénitent « Dieu Tout-Puissant, ayez pitié de ce misérable qui sollicite sa grâce avec des larmes de tristesse et de joie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obéir à la Volonté de Dieu « Je reconnais, ô mon Dieu avec les Saints, que l'Obéissance comprend en abrégé toutes les Vertus » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obtenir la vraie Humilité « Faites, ô mon Dieu, que mon humilité extérieure ne soit que la fidèle expression de mes sentiments intérieurs » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour acquérir la Modestie « Ô mon Dieu, que je désire d'avoir cette aimable vertu de la Modestie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour être Patient dans la Maladie « Je reconnais, ô mon Dieu, que j'ai souvent manqué de Patience dans les adversités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour recevoir le Sacrement de l'Extrême-Onction « Ne permettez pas, Seigneur, que je sois privé de ce Sacrement à l'heure de la mort » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour la Saint Sylvestre le 31 décembre « Seigneur, en vue des Mérites de Saint Sylvestre, laissez-moi puiser dans le trésor des Indulgences ce qui est nécessaire à l'entière expiation de mes fautes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur l’Ascension de Jésus-Christ « Puisque Vous montez au Ciel, ô mon Jésus, faites que j'apprenne à m'y élever » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la descente de Jésus-Christ dans les Enfers « Ce sont les âmes des Justes, Seigneur Jésus, que Vous délivrez en descendant aux Enfers » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur notre Jugement Particulier « Ô Seigneur, nul homme vivant n'est capable de soutenir sa cause devant votre Tribunal, s'il n'est aidé de votre Miséricorde » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Jugement Général « Je crois, ô mon Jésus, qu'à la fin du monde Vous descendrez visiblement des Cieux pour juger tous les hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud