Voici une Prière sur l’obligation d’assister et d’entendre pieusement la sainte Messe le jour de Dimanche à tous les fidèles Catholiques qui ont atteint l'âge de raison, sous peine de péché mortel, à moins qu'ils n'en soient empêchés par des motifs suffisants « Ne permettez pas, Seigneur, que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux » donnée par Monsieur l’Abbé Joseph Reynaud (1802-1881), Principal du Collège de Digne dans les Basses-Alpes puis Curé de Goncelin en Isère dans le Diocèse de Grenoble, auteur des « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année » d’où est extraite cette Prière.
La Prière pour assister à la Messe le jour de Dimanche « Ne permettez pas, Seigneur, que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux » de l’Abbé Joseph Reynaud :
Tous les jours Vous appartiennent, Seigneur, et il n'y en a aucun que nous ne devions rapporter à votre gloire ; mais comme les besoins de la vie nous empêchent de vaquer continuellement à des exercices de religion, Vous Vous êtes réservé un jour de chaque semaine, que Vous nous ordonnez d'employer à Vous adorer et à Vous servir. Ce précepte étant fondé sur la loi naturelle, est aussi ancien que le monde. Aussitôt après la création de l'univers, Vous consacrez ce jour, afin que les hommes célèbrent la mémoire de la création et du repos mystérieux où Vous êtes entré, après avoir consommé ce grand ouvrage. Depuis la Résurrection de Jésus-Christ et la descente du Saint-Esprit, opérées le premier jour de la semaine, le Dimanche a pris la place du samedi ou du dernier jour de la semaine ; l'œuvre de la régénération ou de la seconde création est plus excellente que la première. C'est pourquoi le jour de Fête parmi les Chrétiens est le Dimanche et non le Samedi.
Lorsque vous avez donné votre loi au peuple juif, dans le désert, Vous avez non-seulement renouvelé le précepte de la sanctification du Sabbat, mais Vous avez voulu qu'il fût observé par les Israélites, d'une manière bien plus parfaite que par les autres nations. Vous avez décerné la peine de mort contre quiconque violerait le Sabbat chez les Juifs. Par votre ordre, on lapida un homme qui avait amassé un peu de bois le jour du Sabbat. Ce ne fut qu'après avoir été délivré de la servitude de Pharaon, que le peuple d'Israël fût obligé, sous de si graves peines, d'observer le jour qui Vous était consacré. La loi donnée sur le mont Sinaï était une loi de crainte. L'observation du Sabbat était si rigoureuse, qu'il n'était pas permis, ce jour-là, de cuire ou de préparer la nourriture dont on avait besoin ; il fallait le faire la veille, c'est-à-dire le vendredi, qui pour cela était appelé chez les Juifs le jour de la préparation.
Toutes les cérémonies de l'ancien Testament étaient des figures de ce qui devait se passer dans le nouveau. C'est pourquoi, à l'approche de la vérité, elles ont cessé comme l'ombre cesse à l'arrivée du soleil. Les sacrements, les sacrifices et les oblations d'alors représentaient les Sacrements et le Sacrifice d'aujourd'hui. La circonstance du Sabbat était une chose cérémonielle établie de Dieu dès le commencement du monde, pour qu'elle durât jusqu'à la publication de la Loi de Grâce. Jusqu'à cette époque, les hommes devaient s'occuper principalement de la grande œuvre de la création, parce que Dieu n'avait encore rien fait de plus merveilleux ; mais comme l'œuvre de la Rédemption est bien plus excellente que celle de la création, il a fallu en célébrer la mémoire dans une fête de chaque semaine. Jésus-Christ, par sa sortie du tombeau, et le Saint-Esprit, par sa descente sur les Apôtres, ont renouvelé la face de la terre ; la figure du monde a changé, et il s'est opéré comme une espèce de création spirituelle. La mort du péché a été détruite, et la Grâce sanctifiante est devenue un principe de vie. Ce sont les Apôtres qui ont substitué le Dimanche au Samedi, et comme ils étaient conduits par l'Esprit Saint et qu'ils agissaient avec une autorité infaillible, il s'ensuit que cette substitution a été faite par la volonté de Dieu. Aussi nous voyons qu'il est parlé du Dimanche dans l'Écriture Sainte. Aux Actes des Apôtres 20, 7, il est dit que les fidèles s'assemblaient le premier jour de la semaine pour rompre le pain de l'Eucharistie : Una autem Sabbati cùm convenissemus ad frangendum panem. Saint Paul (1 Cor. 16, 1-2) s'exprime de la sorte : « Quant aux aumônes qu'on recueille pour les Saints, faites comme j'ai ordonné aux Églises de Galatie. Que chacun de vous mette à part chez soi, le premier jour de la semaine, ce que bon lui semblera ». Saint Jean, dans l'Apocalypse 1, 10, nomme en propres termes le jour du Dimanche : « Je fus, dit-il, ravi en esprit un jour de Dimanche : Fui in spiritu in Dominica die ». L'Église a donc jugé à propos de transférer la solennité et le culte du Sabbat au jour du Dimanche, et cela pour de bonnes raisons : ce fut en ce jour que la lumière commença à éclairer, et c'est aussi en ce même jour que nous avons passé des ténèbres du péché à la lumière de la Grâce de notre Rédempteur, qui nous a donné entrée à la vie éternelle par sa Résurrection arrivée au jour du Dimanche ; ce qui a fait que les Apôtres ont voulu qu'il fût appelé le jour du Seigneur ; mais de plus ç'a été en ce jour, comme nous l'apprenons de l'Écriture Sainte, que le monde a été tiré du néant, et que le Saint-Esprit a été donné aux Apôtres. C'est Vous-même, Seigneur, qui avez inspiré à votre Église la pensée de cette translation ; elle n'a agi qu'en vertu de votre autorité. Le Dimanche sera toujours sacré à mes yeux ; je le sanctifierai de mon mieux, et tâcherai de ne plus le profaner, comme je l'ai fait jusqu'ici. Ne permettez pas que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux. Ayez pitié d'un misérable pécheur qui demande grâce et miséricorde.
Quoique la loi naturelle nous apprenne qu'il faut destiner un certain temps à honorer Dieu d'un culte particulier, elle ne nous prescrit pas néanmoins le jour où nous devons le faire. Par une loi positive Vous avez voulu que, pendant environ quatre mille ans, c'est-à-dire, depuis la création du monde jusqu'à la promulgation de l'Évangile, l'on Vous rendît, tous les samedis, un culte extérieur de Religion. Cette loi, que l'on peut appeler cérémonielle, a été remplacée par une autre qui doit durer jusqu'à la fin du monde. En vertu de cette divine loi, fondée sur votre divine autorité, nous sommes obligés de pratiquer, tous les Dimanches, certains devoirs religieux. Le Dimanche ou le premier jour de la semaine, est le Sabbat des Chrétiens. C'est ce jour que Vous nous ordonnez de sanctifier ; c'est en ce jour que nous devons paraître devant Vous purs et saints, attendu que ce jour Vous est consacré, et qu'un jour n'est Saint que parce que les hommes sont spécialement obligés d'y faire des actions de Sainteté et de Religion. Il faut, Seigneur, que j'examine d'abord la principale de ces actions, et que je porte ensuite mes regards sur les autres.
Premier point : Quelle est l'obligation d'entendre la Messe le jour du Dimanche ?
Tous les fidèles qui ont atteint l'âge de raison sont obligés, sous peine de péché mortel, d'assister à la Messe le jour de Dimanche, à moins qu'ils n'en soient empêchés par des motifs suffisants. Pour établir la certitude de cette obligation, je n'aurai point recours à la pratique universelle des vrais fidèles qui se font un devoir important d'assister, tous les Dimanches, au saint Sacrifice de la Messe, et qui prouvent, par la continuité de leur assistance, que je suis tenu de faire comme eux. Je me borne à l'examen des Conciles qui nous ordonnent d'entendre la Messe, tous les jours consacrés au Seigneur. Voici ce que dit le concile d'Agde, en 506 : « Par une ordonnance spéciale, nous enjoignons à tous les séculiers d'entendre entièrement la Messe le jour du Dimanche, en sorte que le peuple ne s'avise point de sortir avant la bénédiction du Prêtre : s'ils n'agissent pas ainsi, qu'ils soient publiquement confondus par l'Évêque ». Le décret de Gratien, Dist. 1, fait mention d'un grand nombre de conciles qui prescrivent la même chose. Le concile d'Orléans, en 511, ceux de Bordeaux, en 1583 et en 1624, déclarent que tous les fidèles sont tenus, sous peine de péché mortel, d'entendre la Messe le Dimanche ; tous les docteurs de l'Église n'ont qu'une voix pour affirmer cette vérité. On ne peut satisfaire à cette grave obligation, sans entendre entièrement la Messe d'un seul et même Prêtre, et sans lui être moralement et religieusement uni. De l'avis de tous les théologiens, c'est un péché mortel de manquer une partie considérable de la Messe. On s'expose à le commettre ce péché, lorsque sans cause légitime, on n'arrive qu'après l'Évangile. S'absenter pendant tout le temps de la Consécration ou de la Communion du Prêtre, c'est se rendre coupable d'une faute grave, comme le pense la plupart des docteurs : ces deux actions tiennent à l'essence ou à l'intégrité du Sacrifice. Autant que la chose me sera possible, j'entendrai la Messe tout entière ; si, pour cause d'empêchement légitime, je ne puis en entendre qu'une partie, je satisferai à mon devoir, si j'assiste à cette partie. Je ferais de même si, par ma faute, je n'arrivais qu'après l'Évangile ; je commettrais un second péché, si, n'ayant pas eu le commencement de la Messe, je négligeais d'entendre le reste. Le sentiment et la pratique de l'Église exigent que j'entende entièrement la Messe d'un même Prêtre. Je n'accomplirais pas le Précepte, Seigneur, si j'entendais successivement ou en même temps plusieurs parties de la Messe, célébrée par des Prêtres différents. Il y a violation du Précepte, lorsqu'on n'est pas moralement uni aux Prêtres et aux fidèles par une présence corporelle. Il est nécessaire qu'on soit présent de corps dans l'Église, ou que si, à cause de la multitude, on est forcé de rester dehors, on se tienne près des fidèles, pour qu'on soit censé ne faire qu'un corps moral avec eux. A la présence corporelle, je veux joindre la présence religieuse, qui renferme l'intention d'entendre la Messe, le respect extérieur, le respect intérieur ou l'attention au moins virtuelle au saint Sacrifice. On ne satisfait point au Précepte par une révérence purement extérieure, ayant volontairement l'esprit occupé d'une pensée étrangère. L'attention qui est nécessaire à la prière en général, est nécessaire au saint Sacrifice en particulier. C'est violer le Précepte que de dormir, que de rire, que de parler, que de regarder de côté et d'autre, que de se distraire de propos délibéré, pendant une partie notable de la Messe. Un pécheur quelconque, pourvu qu'il ne soit ni excommunié ni interdit, loin de commettre un nouveau péché en entendant la Messe, fait une bonne œuvre, s'il y assiste avec piété et avec le regret d'avoir offensé Dieu. Quand je serais chargé de crimes, je ne laisserais pas d'aller implorer votre miséricorde, Seigneur, dans les temples qui Vous sont consacrés, et cela le Dimanche même, pendant l'oblation du saint Sacrifice. Lorsqu'il y a impossibilité ou une grande difficulté, comme seraient l'emprisonnement, la maladie grave, il n'y a pas d'obligation d'assister à la Messe. On la manque encore sans crime, lorsqu'on est retenu par la charité ou par la justice ; ce qui a lieu, par exemple, lorsqu'on ne peut quitter un malade sans s'exposer à de graves inconvénients, ou qu'on est obligé à raison de son emploi, de rester où l'on est ; ainsi un soldat ne peut abandonner son poste pour aller à la Messe.
Deuxième point : Suffit-il d'entendre la Messe pour bien sanctifier le Dimanche ?
L'intention de l'Église n'est pas que ses enfants se contentent d'assister à la Messe, elle les exhorte à la pratique d'autres œuvres de piété. La Messe est le sacrifice du matin ; il faut, autant que possible, assister aux Vêpres, qui sont le sacrifice du soir. Les âmes vraiment Chrétiennes se font un devoir d'y aller et d'y conduire leurs enfants et leurs domestiques. Quand je ne pourrai m'y rendre, je les réciterai en mon particulier. Je ne croirai pas que le jeu, la chasse, la pêche ou d'autres amusements soient des raisons de me dispenser des Vêpres. Rester au cabaret pendant cette assemblée publique des fidèles, c'est mépriser indignement les lois de l'Église, et renoncer à l'avantage de participer à une prière commune, en se séquestrant ainsi de la société de ses frères. Pour bien sanctifier le Dimanche, il faut encore être assidu aux instructions, c'est-à-dire, au sermon, s'il y en a, mais surtout aux catéchismes, qui ne sont pas moins utiles aux grands qu'aux petits. Que de choses n'oublie-t-on pas tous les jours ! Que de choses on n'a jamais bien sues ! Quelquefois une simple explication du pasteur ou du catéchiste suffit pour dissiper des doutes et pour affermir la foi. Les visites au Saint Sacrement, les lectures de piété, les œuvres de charité contribueront encore à faire sanctifier le jour du Dimanche. Je visiterai le Saint Sacrement dans les intervalles des offices, pendant la matinée et la soirée. Il y a tant de moments où je ne sais que faire ; je me trouve quelquefois les Dimanches dans un désœuvrement qui m'ennuie ; ces journées me paraissent plus longues que celles de mes travaux ordinaires. Pour faire cesser cet ennui, je viendrai passer quelques moments auprès de Vous, je lirai quelques bons livres, je ferai les prières que je sais, je m'entretiendrai simplement avec Vous, ô mon Jésus, de mes affaires, de mes chagrins, de mes bonheurs ; je repasserai dans ma mémoire les péchés de la semaine ; je me proposerai et je Vous demanderai de mieux passer la suivante. Si je n'ai pas de bons livres, j'en achèterai ou j'en emprunterai ; je les lirai à l'Église ou à la maison, ou seul, ou avec d'autres, en famille. J'édifierai mon prochain, en communicant cet aliment spirituel à ceux qui ne peuvent le prendre eux-mêmes, ne sachant pas lire. C'est, dit l'apôtre saint Jacques (1, 27), une Religion immaculée, bien agréable aux yeux de votre Père commun, de visiter les veuves et les pupilles dans leurs tribulations. Je ne puis donc mieux sanctifier le Dimanche, qu'en allant ce jour-là visiter les pauvres, les affligés, les malades, etc. ; les soulager, les servir, les consoler, leur faire des aumônes, les aider, faire leur lit, leur donner les soulagements, les remèdes nécessaires dans leurs maladies. Je n'oublierai pas, ô mon Dieu, qu'un des meilleurs moyens de sanctifier le jour qui Vous est consacré, c'est de confesser mes péchés à un Prêtre et de me disposer à la réception de l'Eucharistie. Que je serais heureux, ô mon Dieu, si j'avais fait par le passé ce que je veux faire à l'avenir ! Mais que de fois n'ai-je pas profané le jour que Vous Vous êtes réservé ! J'ai manqué la Messe, j'y ai ri, j'y ai été volontairement distrait. Je ne me suis pas fait un scrupule de m'absenter des Vêpres ; j'aurais pu pratiquer grand nombre de bonnes œuvres, et je les ai négligées. Pardon, Seigneur, Vous voyez mon repentir ; accordez-moi, par l'intercession de saint Pie V, les indulgences plénières et partielles dont j'ai besoin. Ainsi soit-il.
Abbé Joseph Reynaud (1802-1881) - « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année », Prière pour assister à la Messe le jour de Dimanche, volume 3, pages 233-246, Ed. Baratier Frères et Fils (1839)
Voir également de M. l’Abbé Joseph Reynaud :
- La Prière sur l’existence de Dieu « Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Méditation sur la nécessité de la Sanctification du Dimanche « Pourriez-Vous, Seigneur, retenir la rosée de votre Grâce, quand Vous voyez une terre si bien préparée ? » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour assister à la Messe le jour de Dimanche « Ne permettez pas, Seigneur, que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière de préparation avant la Messe à l'usage des Prêtres « Seigneur, ayez pitié de ce malheureux Prêtre que Vous voyez prosterné contre terre à vos pieds » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pendant la Messe « Ô Divin Jésus, recevez mes adorations » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Confiteor « Ensevelissez dans votre tombeau, ô mon Dieu, le grand nombre de mes iniquités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Credo « Je crois, ô mon Dieu, toutes les Vérités qu'il Vous a plu de révéler aux hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour l’Offertoire « Ô mon Dieu, je sollicite avec larmes un Pardon que je n’ai pas su mériter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Lavabo « Seigneur, c'est avec les larmes qui coulent de mes yeux que je veux me purifier de mes souillures » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière entre la Préface et le Canon « Vous ne Vous êtes pas contenté, Seigneur, de Vous offrir une fois sur la Croix pour nous racheter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l'Élévation du Saint Sacrifice « Ô Bouquet Sacré où L'on reçoit Jésus-Christ » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Pater « Notre Père, ne nous laissez plus succomber aux tentations par lesquelles l'esprit séducteur nous a ravi l'Innocence » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l’Agnus Dei « Seigneur Jésus, donnez-moi cette Paix que le monde ne saurait donner » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Sainte Communion « Communier, ô bon Jésus, c'est Vous recevoir dans l'Eucharistie Vous-même tout entier » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'une bonne Communion « Faites, Seigneur, que je connaisse les heureux fruits d'une bonne Communion » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour Communier à genoux « Ô Céleste Époux, faites-moi la Grâce de Communier avec les dispositions nécessaires » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière après la Sainte Communion « Ô Dieu, qui nous avez donné le véritable Pain descendu du Ciel » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Dernier Évangile « Vous donnez à vos Apôtres, ô mon Dieu, des preuves si claires et si convaincantes de votre Résurrection » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'action de grâces après la Messe à l'usage des Prêtres « Quelle abondance de Grâces, Seigneur, pour ceux qui célèbrent votre Sacrifice avec piété » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Salutation Angélique « Ô Vous, qui êtes la Mère de l'Auteur des Grâces, priez pour nous » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour une juste Dévotion à Marie « Réglez si bien ma Dévotion à la Sainte Vierge, Seigneur, que je ne Vous offense ni par défaut ni par excès » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour réciter fréquemment le Chapelet « Vous avez, ô mon Dieu, opéré des Miracles par le moyen du Chapelet » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Sacrement de Baptême « La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière des Parrains et Marraines de Baptême « Seigneur, faites-moi connaître les qualités et les obligations des Parrains et des Marraines » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Pardon « Ô mon Dieu, que Votre vengeance est terrible ! » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière du pécheur pénitent « Dieu Tout-Puissant, ayez pitié de ce misérable qui sollicite sa grâce avec des larmes de tristesse et de joie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obéir à la Volonté de Dieu « Je reconnais, ô mon Dieu avec les Saints, que l'Obéissance comprend en abrégé toutes les Vertus » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obtenir la vraie Humilité « Faites, ô mon Dieu, que mon humilité extérieure ne soit que la fidèle expression de mes sentiments intérieurs » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour acquérir la Modestie « Ô mon Dieu, que je désire d'avoir cette aimable vertu de la Modestie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour être Patient dans la Maladie « Je reconnais, ô mon Dieu, que j'ai souvent manqué de Patience dans les adversités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour recevoir le Sacrement de l'Extrême-Onction « Ne permettez pas, Seigneur, que je sois privé de ce Sacrement à l'heure de la mort » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour la Saint Sylvestre le 31 décembre « Seigneur, en vue des Mérites de Saint Sylvestre, laissez-moi puiser dans le trésor des Indulgences ce qui est nécessaire à l'entière expiation de mes fautes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur l’Ascension de Jésus-Christ « Puisque Vous montez au Ciel, ô mon Jésus, faites que j'apprenne à m'y élever » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la descente de Jésus-Christ dans les Enfers « Ce sont les âmes des Justes, Seigneur Jésus, que Vous délivrez en descendant aux Enfers » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur notre Jugement Particulier « Ô Seigneur, nul homme vivant n'est capable de soutenir sa cause devant votre Tribunal, s'il n'est aidé de votre Miséricorde » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Jugement Général « Je crois, ô mon Jésus, qu'à la fin du monde Vous descendrez visiblement des Cieux pour juger tous les hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud