Voici une Prière sur le Sacrement de Baptême qui est le fondement de tous les autres Sacrements, et sans lequel, si l'on en excepte l'Eucharistie, il est impossible de les recevoir validement « La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême » donnée par Monsieur l’Abbé Joseph Reynaud (1802-1881), Principal du Collège de Digne dans les Basses-Alpes puis Curé de Goncelin en Isère dans le Diocèse de Grenoble, auteur des « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année » d’où est extraite cette Prière.

La Prière sur le Sacrement de Baptême « La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême » de l’Abbé Joseph Reynaud :

Il ne me suffit pas d'avoir médité sur les Sacrements en général, il faut que je m'applique à connaître les Sacrements en particulier. Pour procéder avec méthode, je dois commencer par celui qui est le fondement de tous les autres, et sans lequel, si l'on en excepte l'Eucharistie, il est impossible de les recevoir validement. Le Baptême, qui nous donne une nouvelle naissance, en nous régénérant spirituellement, en nous faisant enfants de Dieu et de l'Église, va fixer mon attention pendant quelques jours. C'est par le Baptême que nous sommes incorporés à votre famille, ô mon Dieu, et que nous devenons membres de l'Église militante et de l'Église triomphante. Sans le Baptême ou sans le désir du Baptême, nous ne pouvons être sauvés. Je veux m'exciter à la reconnaissance en considérant la nature et la nécessité du don précieux que Vous avez fait au monde. Quelque indigne que je sois de paraître en votre Présence, ne me rejetez pas de devant votre face. Permettez que ce pécheur s'humilie à vos pieds et qu'il participe à l'abondante effusion de vos Grâces.
Je Vous remercie, Seigneur, de ce que Vous avez voulu que j'aie reçu ce Sacrement sans lequel il est impossible d'entrer dans votre Royaume. Faites que personne ne soit privé de ce bain de la régénération qui donne droit à l'héritage céleste. Je reconnais que le Baptême m'était nécessaire pour que je pusse recevoir validement les autres Sacrements, à l'exception de l'Eucharistie, qui toutefois n'opère rien lorsqu'elle est reçue par quelqu'un qui n'a pas été purifié par les eaux régénératrices. Je Vous demande pardon des péchés dont je me suis rendu coupable, depuis que j'ai été présenté sur les Fonts sacrés. Ayez pitié de moi selon l'étendue de vos miséricordes.
La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême ; mais elle me laisse ignorer le temps précis où Vous l'avez institué. Les uns disent que ç'a été avant votre Passion, lorsque Vous fûtes baptisé dans le Jourdain par Saint Jean-Baptiste, ou lorsque Vous entretenant avec Nicodème, Vous lui dites : « Si l'homme ne renaît de l'eau, etc. Nisi qui renatus fuerit ex aqua et Spiritu Sancto, etc. » Les autres pensent que ce fut après votre Résurrection, lorsque Vous dites à vos Apôtres (Matth. 28, 19) : Enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Docete omnes Gentes, baptizantes eos, etc. Je regarde cependant comme beaucoup plus certain le sentiment de ceux qui soutiennent que Vous avez institué le Baptême avant votre Passion. L'Évangile nous dit (Jean 3, 22) qu'étant venu dans la terre de Judée, Vous demeuriez avec vos disciples et que Vous baptisiez ; et ce n'était point le Baptême de Jean que Vous administriez (Matth. 3, 11). D'ailleurs vos Apôtres ont été ordonnés Prêtres, la veille de votre Passion ; ils avaient donc reçu le Baptême, puisque sans ce Sacrement aucun autre n'est valide. Si Tertullien a pensé que Vous les avez immédiatement justifiés par Vous-même, sans les purifier par les eaux régénératrices, Saint Augustin est d'un avis contraire, et son sentiment est de beaucoup préférable. Je sais cependant que la loi du Baptême, n'a été universellement obligatoire qu'après que l'Évangile a été suffisamment promulgué. Mais si avant cette promulgation le Baptême n'était pas nécessaire pour être sauvé, il l'était pour recevoir validement le Sacrement de l'Ordre que vos Apôtres ont reçu la veille de votre mort. Je ne m'arrête pas là-dessus ; je passe à l'examen de deux choses essentielles au Baptême, je veux dire la matière et la forme. Souffrez, ô Dieu Sauveur, que je reste en votre Présence durant ce saint exercice de l'Oraison mentale. Aidez-moi d'un secours particulier, et ne me traitez pas selon mes iniquités.
J'aurai soin, ô mon Dieu, de baptiser selon la forme usitée dans l'Église latine, et de prononcer les Paroles sacramentelles pendant que je verserai l'eau sur la tête des personnes que je baptiserai. Je Vous remercie de la Grâce que Vous m'avez faite en me purifiant dans le bain de la régénération : que je regrette d'avoir perdu l'innocence baptismale ! Ne permettez pas que je reste sous le poids de votre colère ; effacez mes iniquités, et faites-moi participer aux mérites de Jésus-Christ et des Saints, afin que je gagne les indulgences plénières et partielles dont j'ai besoin, tant pour moi que pour les âmes du Purgatoire.
Rien n'est plus propre à enflammer mon cœur de l'amour de la véritable piété, que la considération des effets merveilleux que produit le Sacrement de la régénération. C'est pour ne jamais les perdre de vue, que je me présente devant Vous, ô Dieu de bonté. Je sens combien je Vous suis redevable. Vous m'avez délivré de grands maux et Vous m'avez procuré des biens que je ne saurais apprécier à leur juste valeur. J'étais enfant de colère, et je suis devenu enfant de bénédiction. En me remettant le péché originel, et en me donnant la Grâce sanctifiante, Vous m'avez arraché aux puissances des ténèbres et Vous m'avez transféré dans le Royaume de votre Fils bien-aimé. Que de faveurs attachées à la Grâce de mon adoption ! Je ne puis assez Vous en remercier. Je n'ai qu'un regret, c'est de n'en avoir pas profité. Quelque coupable que soit ce malheureux pécheur que Vous voyez à vos pieds, ne lui refusez pas le secours dont il a besoin pour faire oraison.
Quand Vous m'avez accordé la Grâce du Baptême, ô mon Dieu, je n'étais pas en état de connaître la grandeur de ce bienfait, et je ne pouvais Vous en remercier. Vous m'avez prévenu de l'abondance de vos miséricordes dans le temps que je ne pouvais ni les désirer, ni les sentir. Maintenant, je reconnais le don ineffable que Vous m'avez départi, et je Vous en rends de très-humbles actions de grâces. J'avais été conçu dans le péché ; mais, par le Baptême, Vous m'en avez délivré ; j'étais, par ma naissance, l'esclave du Démon, et Vous m'avez adopté pour votre enfant ; je n'avais reçu de mes parents qu'une vie périssable, et Vous m'avez communiqué une vie divine. Vous n'avez pas fait la même Grâce à tant de peuples infidèles qui ne Vous connaissent pas. J'ai eu le bonheur de naître dans le sein de l'Église Catholique, et d'une famille Chrétienne : qu'avais-je fait pour mériter cette préférence ? Je ne la dois qu'à votre miséricorde. Un don si précieux et si peu mérité exige de moi la plus vive reconnaissance. Ah ! Seigneur, je veux Vous la témoigner, en estimant la qualité de Chrétien plus que tous les titres du monde, en ne faisant rien qui soit indigne d'un enfant de Dieu. Dorénavant, ma conduite sera plus régulière qu'elle ne l'a été. Je déteste les crimes que j'ai commis depuis mon Baptême. Sachant que le souvenir de ce Sacrement que j'ai reçu autrefois, ne peut ni les effacer ni les rendre véniels, je veux recourir au Sacrement de Pénitence qui est établi pour remettre les péchés commis après le Baptême, et même pour expier la profanation qu'on aurait pu faire de ce Sacrement. Quant aux péchés commis auparavant, ils sont remis dans l'Absolution sacramentelle en vertu du Baptême précédemment reçu. Je n'ai pas besoin de me repentir des péchés actuels commis avant la réception de ce Sacrement, puisque j'ai été Baptisé dès ma plus tendre enfance ; mais je déplore avec des larmes de sang ceux dont je me suis rendu coupable depuis que j'ai atteint l'âge de raison. Daignez me les pardonner, Seigneur, je vais les expier par des œuvres satisfactoires.
Je me présente à vos pieds, Seigneur, pour célébrer vos louanges et Vous remercier de la bonté dont Vous avez usé à l'égard de tous les hommes. Plus j'examine vos voies, plus je découvre les desseins paternels de votre infinie miséricorde. Comme Vous désirez sincèrement le Salut de toutes les créatures raisonnables, faites à votre image, Vous avez non-seulement voulu que, dans le cas de nécessité, on puisse administrer en tout lieu le Sacrement de Baptême, et le conférer avec de l'eau qui est un élément que l'on trouve partout ; mais encore que toute personne puisse Baptiser et que chacun puisse recevoir ce Sacrement, sans lequel il est impossible d'entrer dans votre Royaume. Quelque grand pécheur que je sois, permettez, qu'après m'être humilié en votre sainte Présence, je publie la gloire de votre Nom. Je n'ose lever les yeux, j'ai honte de raconter vos merveilles, vu le nombre de mes iniquités ; accordez-moi, avec mon pardon, la Grâce de méditer d'une manière utile à mon Salut.
Je n'ai été admis à la Grâce de l'adoption divine, dans mon Baptême, qu'à certaines conditions, que je me suis solennellement engagé à remplir. Lorsque j'ai été présenté à l'Église pour être baptisé, le Prêtre, qui est votre ministre, ô mon Sauveur, m'a demandé si je croyais en Dieu le Père tout-puissant, en Jésus-Christ son Fils unique, Notre-Seigneur, et au Saint-Esprit. J'ai répondu, par la bouche de ceux qui me présentaient : Je crois. Le Prêtre m'a encore demandé si je renonçais à Satan, à ses pompes et à ses œuvres ; j'ai répondu : J'y renonce. J'ai donc déclaré à la face des saints Autels, devant Vous, ô mon Dieu, et devant vos Anges, que j'abandonnais le parti du Démon, pour me soumettre à votre Loi : j'ai promis de mépriser les pompes du Démon, c'est-à-dire, les maximes et les vanités du monde ; j'ai promis d'éviter les œuvres du Démon, c'est-à-dire, toutes sortes de péchés. C'est pour moi, c'est en mon nom que ces promesses ont été faites ; je n'avais pas, il est vrai, l'usage de la raison quand j'ai été Baptisé, mais je les ai ratifiées depuis, toutes les fois que j'ai fait une profession publique du Christianisme ; je les ratifie encore tous les jours quand je fais le Signe de la Croix, quand je récite l'Oraison Dominicale, quand j'assiste à la Messe. Je ne suis plus à moi, je Vous appartiens, Seigneur ; mon esprit, mon cœur, mon corps, toute ma personne Vous a été consacrée : tout ce qui est à moi doit être employé pour votre gloire et à votre service. Je me présente à vos pieds, pour réfléchir sérieusement sur la nature et l'étendue des obligations que m'impose le Baptême, et pour voir si j'y ai été fidèle. Aidez-moi d'une Grâce puissante, afin que je tire avantage du saint exercice de l'oraison mentale.
Il ne me suffit pas, ô mon aimable Sauveur, d'obéir à votre loi et à celle de votre Église, je dois encore suivre vos exemples. Le grand Apôtre nous dit que tous ceux qui sont baptisés sont revêtus de Jésus-Christ. Qui cum que enim in Christo baptizatiestis, Christuminduistis (Gal. 3, 27). Que signifie cette énergique expression ? Elle signifie que nous devons ressembler à ce divin modèle, nous revêtir et nous orner de ses vertus. Vous nous l'avez recommandé Vous-même, lorsque Vous avez dit : Quiconque veut être mon disciple, qu'il se renonce soi-même, qu'il prenne sa croix et qu'il me suive (Matth. 16, 24). Il faut que je souffre patiemment les opprobres, les misères, les tribulations de cette vie, la mort même, et que je marche à votre suite, jusqu'au Calvaire. Pour accomplir l'étendue de mon obligation, je dois me revêtir de Jésus-Christ au-dedans et au-dehors, en imitant ses vertus intérieures, son humilité, sa douceur, son obéissance, sa bonté, et ses vertus extérieures, son amour de la pénitence, de la mortification, de la pauvreté, des souffrances.
Quelle confusion pour moi, ô mon Dieu, à la vue de mes infidélités ! Que sont devenues mes promesses ? Où sont les biens que Vous m'aviez accordés. Ah ! Seigneur, oubliez mes iniquités : Vous voyez à vos pieds un coupable qui Vous demande grâce et qui désire de réparer son ingratitude passée et de s'engager à Vous par de nouveaux serments. Oui, mon Dieu, je ratifie maintenant les promesses qu'on Vous a faites pour moi au jour de mon Baptême ; je les renouvelle de tout mon cœur en votre Présence ; je renonce de nouveau et pour toujours à Satan ; je me donne à Vous pour ne m'en séparer jamais. Le Démon, votre ennemi et le mien, n'aura plus d'empire sur moi ; je renonce à ses œuvres, en détestant tous les péchés que j'ai commis et tous ceux que je pourrais commettre. Inspirez-moi, Seigneur, une horreur infinie pour ces œuvres de ténèbres qui donnent la mort à l'âme. Je renonce donc au monde, à ses maximes, à ses vanités ; je veux mener une vie Chrétienne et conforme aux règles de l'Évangile ; je veux vivre de la vie de Jésus-Christ, et être dans les dispositions et les sentiments où Il a été Lui-même. Je Vous consacre mon âme et mon corps, comme une hostie vivante, sainte et agréable à vos yeux ; toute ma gloire sera d'être appelé et d'être en effet votre enfant ; mon unique plaisir est d'espérer en Vous, de Vous aimer et de Vous posséder pendant l'Éternité. Ainsi soit-il.

Abbé Joseph Reynaud (1802-1881) - « Méditations spéculatives et pratiques ou dogmatiques et morales pour tous les jours de l'année », Prière sur le Sacrement de Baptême, volume 7, pages 271, 279, 285, 293, 296, 302, 307, 317, 322 et 325, Ed. Baratier Frères et Fils (1839)

Voir également de M. l’Abbé Joseph Reynaud :
- La Prière sur l’existence de Dieu « Mon esprit et mon cœur se portent vers Vous, ô mon Dieu, qui êtes mon Principe et ma Fin » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Méditation sur la nécessité de la Sanctification du Dimanche « Pourriez-Vous, Seigneur, retenir la rosée de votre Grâce, quand Vous voyez une terre si bien préparée ? » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour assister à la Messe le jour de Dimanche « Ne permettez pas, Seigneur, que je Vous offense en ce Jour où je dois apaiser votre courroux » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière de préparation avant la Messe à l'usage des Prêtres « Seigneur, ayez pitié de ce malheureux Prêtre que Vous voyez prosterné contre terre à vos pieds » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pendant la Messe « Ô Divin Jésus, recevez mes adorations » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Confiteor « Ensevelissez dans votre tombeau, ô mon Dieu, le grand nombre de mes iniquités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Credo « Je crois, ô mon Dieu, toutes les Vérités qu'il Vous a plu de révéler aux hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour l’Offertoire « Ô mon Dieu, je sollicite avec larmes un Pardon que je n’ai pas su mériter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Lavabo « Seigneur, c'est avec les larmes qui coulent de mes yeux que je veux me purifier de mes souillures » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière entre la Préface et le Canon « Vous ne Vous êtes pas contenté, Seigneur, de Vous offrir une fois sur la Croix pour nous racheter » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l'Élévation du Saint Sacrifice « Ô Bouquet Sacré où L'on reçoit Jésus-Christ » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Pater « Notre Père, ne nous laissez plus succomber aux tentations par lesquelles l'esprit séducteur nous a ravi l'Innocence » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière à l’Agnus Dei « Seigneur Jésus, donnez-moi cette Paix que le monde ne saurait donner » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Sainte Communion « Communier, ô bon Jésus, c'est Vous recevoir dans l'Eucharistie Vous-même tout entier » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'une bonne Communion « Faites, Seigneur, que je connaisse les heureux fruits d'une bonne Communion » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour Communier à genoux « Ô Céleste Époux, faites-moi la Grâce de Communier avec les dispositions nécessaires » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière après la Sainte Communion « Ô Dieu, qui nous avez donné le véritable Pain descendu du Ciel » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière au Dernier Évangile « Vous donnez à vos Apôtres, ô mon Dieu, des preuves si claires et si convaincantes de votre Résurrection » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière d'action de grâces après la Messe à l'usage des Prêtres « Quelle abondance de Grâces, Seigneur, pour ceux qui célèbrent votre Sacrifice avec piété » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la Salutation Angélique « Ô Vous, qui êtes la Mère de l'Auteur des Grâces, priez pour nous » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour une juste Dévotion à Marie « Réglez si bien ma Dévotion à la Sainte Vierge, Seigneur, que je ne Vous offense ni par défaut ni par excès » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour réciter fréquemment le Chapelet « Vous avez, ô mon Dieu, opéré des Miracles par le moyen du Chapelet » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Sacrement de Baptême « La Foi m'enseigne, ô mon Jésus, que Vous êtes l'instituteur du Sacrement de Baptême » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière des Parrains et Marraines de Baptême « Seigneur, faites-moi connaître les qualités et les obligations des Parrains et des Marraines » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Pardon « Ô mon Dieu, que Votre vengeance est terrible ! » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière du pécheur pénitent « Dieu Tout-Puissant, ayez pitié de ce misérable qui sollicite sa grâce avec des larmes de tristesse et de joie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obéir à la Volonté de Dieu « Je reconnais, ô mon Dieu avec les Saints, que l'Obéissance comprend en abrégé toutes les Vertus » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour obtenir la vraie Humilité « Faites, ô mon Dieu, que mon humilité extérieure ne soit que la fidèle expression de mes sentiments intérieurs » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour acquérir la Modestie « Ô mon Dieu, que je désire d'avoir cette aimable vertu de la Modestie » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour être Patient dans la Maladie « Je reconnais, ô mon Dieu, que j'ai souvent manqué de Patience dans les adversités » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour recevoir le Sacrement de l'Extrême-Onction « Ne permettez pas, Seigneur, que je sois privé de ce Sacrement à l'heure de la mort » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière pour la Saint Sylvestre le 31 décembre « Seigneur, en vue des Mérites de Saint Sylvestre, laissez-moi puiser dans le trésor des Indulgences ce qui est nécessaire à l'entière expiation de mes fautes » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur l’Ascension de Jésus-Christ « Puisque Vous montez au Ciel, ô mon Jésus, faites que j'apprenne à m'y élever » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur la descente de Jésus-Christ dans les Enfers « Ce sont les âmes des Justes, Seigneur Jésus, que Vous délivrez en descendant aux Enfers » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur notre Jugement Particulier « Ô Seigneur, nul homme vivant n'est capable de soutenir sa cause devant votre Tribunal, s'il n'est aidé de votre Miséricorde » de l’Abbé Joseph Reynaud
- La Prière sur le Jugement Général « Je crois, ô mon Jésus, qu'à la fin du monde Vous descendrez visiblement des Cieux pour juger tous les hommes » de l’Abbé Joseph Reynaud