Le « Référendum national sur le projet de Réforme des Retraites » du 15 mars 2020 au 1er tour des « Élections Municipales » se répand comme une trainée de poudre…pour faire sauter la Réforme des Retraites de Macron, ni juste ni universelle avec toutes ses exceptions, qu'Edouard Philippe impose en force en tirant avec son 49-3 sans discussion ni vote sur l'Assemblée Nationale contre l’avis des 2/3 des Français.
Le 29 février 2020, le Premier ministre Edouard Philippe a dégainé avec son « LBD 49.3 législatif » sur la démocratie française pour faire passer sa loi sur la réforme des retraites. Après un conseil des ministres exceptionnel, officiellement pour traiter de l’épidémie du coronavirus, Macron a permis à son gouvernement de décider secrètement de l’activation de l’article 49.3. Après cet acte de dissimulation et de traîtrise, un samedi, Édouard Philippe peut ainsi faire passer sans vote la réforme des retraites à l’Assemblée Nationale en se servant de sa majorité et des dispositions anti-démocratique du 49.3 dans un climat d'épidémie du coronavirus : « Lâcheté », « Faiblesse », « Mépris », « Déni de démocratie », « Dictature », « Arrogance », « Provocation », « Holdup »,… Face à ce déni de démocratie sans précédent sur une réforme des retraites, les députés de l’opposition disposent de 24 heures pour déposer une motion de censure qui doit être signée par 58 députés mais il en faudrait 289 pour renverser le gouvernement d'Edouard Philippe. La motion de censure déposée par la « droite » va recueillir 148 voix et 91 voix pour la « gauche ».
Dans la soirée, de nombreux Français contre le recours de l'article 49-3 se sont rassemblés devant l'Assemblée Nationale à Paris, devant l'Hôtel de Ville de Bordeaux, dans les rue de Toulouse, place des Terreaux à Lyon, à Marseille, devant la préfecture à Montpellier, place de la république à Lille, à Nantes, aux abords de la préfecture à Nancy, devant la Préfecture de la Loire à Saint-Étienne, sur la place de la Liberté à Toulon, …
Au Havre, la permanence de campagne pour les municipales d'Edouard Philippe a été caillassé et tagué dans la soirée du 29 février après l'annonce du recours abusif et dictatorial de l'article 49-3 sur la réforme des retraites : « 49.3 Philippe prend la fièvre », « Mettons-le en quarantaine », « Déni de démocratie », …
Le Lundi 2 mars 2020, le Sénateur Michel Amiel a annoncé qu'il quittait LREM : « L’usage du 49-3 sur la réforme des retraites, un samedi soir, en pleine épidémie de coronavirus, à 15 jours des élections municipales, relève, pour moi à la fois du cynisme et de l’incompétence politique. Raison pour laquelle j’ai décidé de quitter « La République en Marche » et deux députés, Hubert Julien-Laferrière (Rhône) et Delphine Bagarry (Alpes-de-Haute-Provence), ont annoncé qu'ils quittaient eux aussi le groupe LREM à l'Assemblée Nationale après la décision du gouvernement de recourir au 49.3 pour faire adopter son projet de réforme des retraites.
Le mercredi 4 mars, selon la procédure du 49.3 : « Est considéré comme adopté le projet de loi instituant un système universel de retraites », déclare le président de l'Assemblée Nationale, Richard Ferrand, sous les applaudissements des députés de la majorité LREM. Seul problème, la majorité des Français sont contre cette loi sur les retraites qui n’est pas universelle !
Si le gouvernement Macron a catégoriquement rejeté l'idée d'un Référendum, des Gilets Jaunes vont en organiser un eux-mêmes, lors des « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 ». Après avoir protesté tous les samedis dans la rue pendant plus d'un an, les Gilets Jaunes, qui réclament depuis la genèse du mouvement social plus de démocratie directe, sont bien décidés à joindre le geste à la parole.
Dans l'Aveyron, des Gilets Jaunes ont organisé un RIC local et c’est dans cette optique qu’ils se sont lancés dans l'organisation d'un Référendum National sur l'épineuse question du projet de Réforme des Retraites. Une manière de contourner le blocage de la majorité parlementaire et celui du gouvernement Macron qui ont refusé net de consulter la population sur ce dossier. « Nous sommes partis d'un constat : les deux tiers de la population demandent un référendum, des partis politiques, les syndicats, des citoyens, des personnalités publiques, mais aussi les Gilets Jaunes le demandent. Le gouvernement ne nous le donnera pas, alors pourquoi ne l'organiserions-nous pas ? », explique Micka, un des organisateur du scrutin du « Référendum du 15 mars sur la Réforme des Retraites ». Pour se faciliter la tâche, le groupe de Gilets Jaunes de l'Aveyron à l'origine de cette initiative a coché la date du 15 mars 2020, qui correspond au premier tour des « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 » :
« Les gens vont déjà se déplacer pour venir voter. Il n'y a plus qu'à les accueillir une fois qu'ils ont voté pour les Municipales, et les faire voter pour le Référendum. Ca va prendre 5 minutes »
Ainsi, en installant simplement des urnes à côté des bureaux de vote, les électeurs munis de leur carte pourront répondre par oui ou par non à la question suivante : « Selon vous, faut-il retirer le projet actuel de réforme de retraites à points ? »
Ce ne sont pas que les Gilets Jaunes !
Reste à trouver des personnes pour tenir lesdits bureaux, ainsi que des référents pour centraliser les résultats par départements, ce que s'attèle à faire le groupe qui a ouvert à cet effet un site internet.
Le Site Internet du « Référendum du 15 mars 2020 » sur le projet de la Réforme des Retraites aux Municipales
« On est en train de référencer les personnes qui souhaitent ouvrir un bureau de vote. On crée l'ouverture du bureau via le site internet, la démarche à suivre est très simple », assure Micka, précisant qu'une « valise » d'informations et de documents était dores et déjà prête pour ceux qui tiendront ce rôle. Du Code électoral de la bonne conduite du Referendum National, aux communiqués de presse à adapter localement, en passant par les affiches pour annoncer où se situent les bureaux de vote, sans oublier les bulletins ou encore les feuilles de comptage pour le dépouillement, tout a été préparé. Et l'idée se répand comme une trainée de poudre au sein des différents groupes de Gilets Jaunes : « On a des contacts qui nous arrivent de toute la France, des Alpes, de l'Hérault, du nord de la France, du côté de Toulouse, etc. », poursuit Micka, qui souligne que toute personne qui souhaite ouvrir un bureau de vote est la bienvenue, qu'elle soit Gilet Jaune ou pas : « Gilet Jaune, syndicaliste, adhérent à un parti politique, à une association, citoyen lambda, il n'y a aucun problème. Ce ne sont pas que les Gilets Jaunes », précise-t-il, notant que son groupe se contentait de donner « une mallette d'informations, une trame d'organisation ». Si l'organisation se révèle en elle-même d'une « facilité déconcertante » pour le groupe qui a, dans un passé proche, organisé un référendum sur des questions locales, reste désormais à ce que « tout le monde s'empare » de l'idée, afin de la rendre incontournable dans le débat national.
Le Site Internet du « Référendum du 15 mars 2020 » sur le projet de la Réforme des Retraites aux Municipales
Sur ce Site, vous trouverez toutes les informations sur l'organisation de ce Référendum
Comment faire ?
Chaque groupe de volontaires installe et organise un bureau de vote « référendum » à proximité d’un bureau de vote aux « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 ».
Pour voter aux municipales chacun sera muni soit d’une carte d'électeur OU d’une pièce d'identité (ville de moins de 1 000 habitants), soit d’une carte d'électeur ET d’une pièce d'identité (ville de plus de 1 000 habitants).
Un bulletin REFERENDUM sera disponible sur place, (1 question avec 2 possibilités de réponse : oui ou non). Après avoir fait son choix, l’électeur dépose son bulletin plié en 4 (pas besoin d'enveloppe) dans l'urne « Référendum-Retraite », signe un cahier d'émargement (pour compter les votants). On surligne en jaune le tampon officiel sur la carte d'électeur.
Dépouillement en parallèle ou à la suite du dépouillement « municipal » et transmission des résultats locaux vers une plateforme numérique ou un site dédié, pour une synthèse régionale, puis nationale. Chacun veillera au bon déroulement des opérations de vote.
La Lettre de courtoisie à envoyer au Maire pour le Référendum sur la réforme des retraites du 15 mars 2020. Le Maire ne peut pas s’opposer à votre demande mais il est plus courtois de l’en informer. En France, tout ce qui n'est pas interdit est autorisé. Il est interdit de discuter politique DANS le bureau de vote. A l'extérieur, c'est libre. La seule contrainte est de ne pas troubler le déroulement du scrutin municipal. Ceci nous a été confirmé par des avocats et un constitutionnaliste. La réforme des retraites n'est pas un enjeu « municipal », donc le référendum est compatible. C'est pourquoi, ne portez ni gilets jaunes, ni badges syndicaux ou politiques. L'ambiance doit être sereine. Seul le président du bureau de vote est autorisé à faire appel aux forces de l'ordre dans son bureau ou aux abords ! Si certains font du zèle (intimidations), montrer ce qui est écrit officiellement et demander quel texte nous obligerait à partir. Il n'existe pas... Allez discuter avec lui, apportez-lui le courrier aux maires ci-dessous, et tout doit bien se passer :
Groupe : ..............
Madame ou Monsieur le Maire
Vous êtes certainement très occupé(e) par l'organisation des municipales. Cette élection est importante et au-delà du résultat que tout le monde attend, c'est une rencontre presque intime entre ceux qui se présentent à cette responsabilité et les citoyens qui seront vos futurs administrés.
Nous avons le plus grand respect pour cette expression de notre démocratie. Et c'est avec cet esprit que le 15 mars, au premier tour des élections municipales, nous organisons un référendum avec une question que tout le monde se pose :
Selon vous, faut-il retirer le projet actuel de réforme des retraites ?
Vous l'avez compris nous allons profiter du fait que ce jour-là, des dizaines de millions de Français se dirigeront vers les bureaux de votes, pour leur demander, à la sortie des urnes, leur avis sur cet épineux sujet des retraites.
Nous installerons nos urnes à l'extérieur des bureaux de vote, bien évidemment nous n'arriverons pas à couvrir nos 35000 communes et bien évidemment le résultat qui sortira de nos urnes sera contestable mais notre but est de faire participer et débattre sur ce sujet important. Nous rappelons que ce référendum est demandé par tous les partis politiques sauf un et presque tous les syndicats.
Nous espérons que, c'est avec un esprit démocratique que vous saurez accueillir ceux qui prendront la responsabilité de ce référendum chez vous. Et que vous saurez également, avec une bienveillante collaboration, leur indiquer les règles à suivre pour ne pas perturber, en aucune manière, la consultation municipale.
Par avance merci pour votre aimable compréhension et votre accueil.
Le coût ?
Impression des bulletins de vote, le même au niveau national, et des feuilles de comptage qui seront mis en ligne. Chaque groupe sera libre de constituer éventuellement une cagnotte pour couvrir ces frais.
L'objectif ?
Le maximum de participation apportera son poids dans les débats, si le soutien des sondeurs estimé à 60% se confirme, voire s'amplifie.
En tout état de cause, nos objectifs sont démocratiques, avec un souci de justice sociale : faire tomber cette réforme qui va faire baisser les pensions des français à plus ou moins long terme, les seuls vrais gagnants étant les plus riches et les fonds de pension.
Nous avons donc imaginé un moyen d'organiser un référendum citoyen qui demande à la fois peu de moyens et qui peut aboutir à une véritable consultation nationale, certes sans valeur légale, mais qui pourrait être un formidable moyen de pression puisque notre projet se déroule en simultané avec le premier tour des « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 ».
Les besoins ?
Des bénévoles, des bonnes volontés, de l'imagination, et… soyons nombreux à faire fleurir partout des bureaux « Référendum » comme des jonquilles au printemps !!!
Vous souhaitez être organisateur - collecteur départemental ?
Votre rôle va consister à recevoir les appels / courriels des groupes locaux qui vont gérer un bureau de vote, leur transférer les documents et infos (s'ils ne les trouvent pas eux-mêmes sur ce site), puis le Dimanche 15 mars 2020, collecter les résultats locaux et les transmettre aux collecteurs nationaux. Pour cela, il suffit que vous soyez un groupe formé d'au-moins 3 personnes, issues des Gilets Jaunes, ou des organisations syndicales locales, ou d'associations locales, ou encore militants, collectifs, ... Constituez votre équipe puis remplissez le formulaire de contact ci-dessous. Faites le plein d’images !
Vous souhaitez créer un bureau de vote pour le Référendum ?
Votre rôle va consister à annoncer à la population locale de son existence (panneaux associatifs, presse locale, ...). N'oubliez pas d'informer votre Maire par courtoisie, et aussi pour trouver un lieu de repli en cas de pluie ! Le Dimanche 15 mars 2020, vous devrez assurer le bon déroulement démocratique du vote, à savoir un affichage du « code électoral » et des affiches, la mise à disposition des bulletins de vote, une urne cadenassée, des stylos et surligneurs jaunes, un cahier d'émargements et un lieu : boîte, paravent ou rideau permettant de créer un « isoloir ». Le soir, dépouillement en utilisant les feuilles de comptage, puis envoi des résultats à l'organisateur - collecteur le plus proche de votre lieu de vote. Pour cela, une équipe minimale de 3 personnes est requise afin que l'urne ne soit jamais tenue que par une seule personne pour éviter la fraude et par ailleurs permettre un roulement sur la journée. Ne portez aucune marque politique, syndicale ou gilets afin de ne pas prendre le risque d'être évacué. Rien n'interdit notre référendum dans les textes, si nous respectons la neutralité vis-à-vis du scrutin municipal et son bon déroulement. Formulaire de contact (sur le site internet). Commencez à constituer votre équipe et dès que possible, contactez l'organisateur - collecteur de votre département.
Vous souhaitez seulement voter pour le Référendum ?
Si vous ne vous sentez pas prêt(e) à être dans l'organisation mais souhaitez le succès du Référendum, vous pouvez diffuser l'information à vos voisins, amis, famille, collègues professionnels ou associatifs. Partagez dans vos réseaux numériques (mails, réseaux sociaux, ...). Prenez la parole lors des réunions publiques des candidats. Et si vous n'avez pas de bureau de vote dans votre commune, rendez-vous dans une commune voisine avec votre carte d'électeur/trice et votre pièce d'identité. Votre vote sera permis puisque c'est un Référendum National. Nous espérons mettre au point une carte de France des bureaux ouverts. Sinon, il faudra contacter l'organisateur-collecteur départemental, votre groupe Gilets Jaunes local, votre syndicat ou même votre parti politique si vous en avez un. Vous souhaitez voter seulement au Référendum, mais pas aux Municipales ? Venez directement au bureau « référendum » le plus proche de chez vous, muni des mêmes documents :
• ville de moins de 1 000 habitants : la carte d'électeur OU la pièce d'identité
• ville de plus de 1 000 habitants : la carte d'électeur ET la pièce d'identité
Le Site Internet du « Référendum du 15 mars 2020 » sur le projet de la Réforme des Retraites aux Municipales 2020
Sur ce Site, vous trouverez toutes les informations sur l'organisation de ce Référendum
Un code régissant les élections et précisant comment les opérations de vote doivent se dérouler, que ce soit pour l’annonce ou pour l'affichage lié aux élections. Il comporte aussi la manière dont de bureau de vote doit être géré (personnes présentes par exemple) ainsi que la manière dont les votants expriment leur vote (isoloir, papier d'identité, etc.)
L’électeur :
- Être majeur et donc âgé de 18 ans révolus (né avant le 15 mars 2002)
- Présenter une pièce d’identité en cours de validité ou une carte d’électeur ou une attestation obtenue en ligne : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/servicesen-ligne-et-formulaires/ISE
- On peut voter dans n’importe quelle commune sur le territoire.
- Signer un cahier d’émargement (classeur répertoire plus pratique mais chaque groupe est libre du support) pour valider son vote :
• Nom
• Prénom
• Commune
• Signature
Le bureau :
- S’installer dans une salle attenante, sur le trottoir, le parking ou l’esplanade desservant le bureau « officiel », dans une camionnette, sous un barnum, un parasol forain, chez un voisin immédiat, ...
- Préciser les horaires (par exemple 8 h / 18 h), à calquer sur les bureaux officiels
- Imprimer des affiches (et fléchage si vous le souhaitez) pour vos panneaux référendum (pas sur les panneaux officiels !) afin que la population identifie ce bureau.
- Il devra y avoir toujours au minimum 2 personnes près de l’urne pour veiller au bon déroulement du vote. C’est pour cette raison que 3 personnes minimum sont nécessaires sur la journée, pour se relayer ou se compléter.
- Une quantité suffisante de bulletins sera mise à disposition. Le nombre de bulletins raisonnable se situe aux alentours de 75 % du nombre d’inscrits. Chaque groupe organisateur imprime ses propres bulletins, affiche le code et sa sélection d’affiches. Il n’est pas légal d’imprimer en noir sur blanc. Donc utiliser un papier de couleur à votre choix. Votre maire vous indiquera le nombre d’électeurs, par bureau s’il y en a plusieurs.
L’idéal est de donner en main le bulletin de vote à la sortie même du bureau « officiel ». S’il y a des questions, vous devez rester neutre dans la réponse, exemple : « Vous pouvez maintenant vous exprimer sur le projet de loi actuel de la réforme des retraites. Il vous suffit de cocher OUI ou NON et de déposer votre bulletin dans cette urne. Ce sera très rapide, merci. »
- Pas d’enveloppe, le bulletin sera plié avant d’être déposé dans l’urne.
- Matériel : table, chaises, une urne (prêtée ou fabriquée, elle doit juste être fermée : cadenas, ruban adhésif signé au feutre par une personne reconnue ou officielle), un isoloir ou équivalent, des stylos (attachés, en nombre suffisant), …
- Ne portez aucune marque politique, syndicale ou gilets afin de ne pas prendre le risque d'être évacué et pour respecter la neutralité du scrutin. La courtoisie et le respect seront déterminants aux yeux de tous.
La communication :
- Annoncer l’évènement à la population par affiches (panneaux associatifs par exemple, mais pas les panneaux officiels !), par voie de presse (journaux, radio locale, …)
- Le bouche à oreille, le marché, distribution de tracts etc...
Les résultats :
- Le dépouillement a lieu immédiatement après le scrutin, en public.
- Si besoin d’attendre que le dépouillement officiel soit fini (faute de volontaires par exemple), l’urne fermée doit rester à la vue du public en permanence.
Le bureau de vote compte le nombre de bulletins présents dans l'urne et le compare au nombre de votants ayant émargé sur le cahier.
Il désigne les scrutateurs qui déplient les bulletins. Toute personne désireuse de dépouiller est admise. Les bulletins non cochés (votes blancs) ou nuls (comportant des ratures, des signes de reconnaissance ou les 2 cases cochées) sont séparés des bulletins valables afin de décompter le nombre de suffrages valablement exprimés. Ils sont annoncés dans le résultat.
- On procède ensuite au décompte des bulletins OUI et des bulletins NON, en utilisant les feuilles de comptage.
- Les résultats sont proclamés par le bureau de vote et transmis à l’équipe nationale (merci à l’équipe : Le Nombre Jaune) qui va centraliser et communiquer le résultat national.
- Informer la presse locale (correspondants locaux), voire la gendarmerie (elle doit recenser les votes officiels donc ça permettrait d’être affirmatifs dans le fait que le ministère de l’intérieur, et donc le Président, aient connaissance du scrutin et de son score).
- Vous pouvez aussi envoyer en plus votre propre communiqué à votre presse locale, vos éventuels syndicats ou partis politiques, …
Si le Site-Catholique.fr souhaite promouvoir cette idée du « Référendum du 15 mars 2020 » sur le projet de la Réforme des Retraites aux Municipales 2020, provenant des Gilets Jaunes et relayée par l’extrême-gauche (qui n’est pas toujours très Catholique), c’est aussi pour que ces « Élections Municipales des 15 et 22 mars 2020 » ne se transforment pas en un vote national de protestation contre le Gouvernement Macron qui sera exprimé dans ce Référendum mais afin de « voter pour des Maires qui méritent le vote des Catholiques »