Voici la retransmission vidéo de la « Sainte Messe de Notre-Dame des Sept Douleurs » (Septem Dolorum Beátæ Maríæ semper Vírginis), célébrée le 15 septembre par Monsieur l’Abbé Guillaume d'Orsanne (FSSPX) en l'église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Introït « Stabant iuxta Crucem Iesu Mater eius » ; Collecte ; Lecture du Livre de Judith 13, 22-25 ; Graduel ; Trait : Lamentations 1, 12 ; Alléluia ; Séquence « Stabat Mater Dolorósa » ; Évangile selon Saint Jean 19, 25-27 ; Offertoire : Jérémie 18, 20 ; Secrète ; Préface de la Bienheureuse Vierge Marie ; Communion ; PostCommunion ; …) en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe Traditionnelle »
2ème classe - Ornements blancs
L’Église honore aujourd'hui les Sept Douleurs de Notre-Dame : après nous, avoir conduit hier à la Croix, Elle veut ainsi nous conduire à la Mère du Crucifié. Cette Fête doit son origine à l'Ordre des Servites de Marie (XVII siècle), et Pie VII l'étendit en 1814 à l'Église universelle, en souvenir des Souffrances traversées par celle-ci en la personne de Son chef, exilé et captif, avant d'être délivré grâce à la Protection de la Vierge. Pie X, en 1912, la fixa au 15 septembre, ancien Jour Octave de la Nativité de Marie. Dès la Présentation de Jésus au Temple, le vieillard Siméon avait prédit à Marie qu’un glaive de douleur transpercerait son Cœur maternel. Cette prédiction se réalisa d'abord par la fuite en Égypte ; Notre-Dame eut ensuite la douleur de rechercher son Fils pendant trois jours, lors du pèlerinage à Jérusalem ; la séparation, au début de la vie publique, fut une nouvelle Souffrance pour Son cœur. Mais, la prophétie de Siméon s'accomplit principalement pendant la Passion : Jésus rencontre sa Mère, sur la route qui Le conduit au Calvaire (IVème Station du Chemin de Croix) ; Marie est présente, au pied de la Croix, près de son Fils agonisant ; enfin, ultime compassion, Elle reçoit dans Ses bras le Corps inanimé de Jésus. C'est avec tout Son amour maternel que Notre-Dame a participé aux Souffrances rédemptrices de son Fils, pour l'Église, son Corps Mystique.
INTROÏT : (Jean 19, 25-27)
Stabant iuxta Crucem Iesu Mater eius, et soror Matris eius, María Cléophæ, et Salóme et María Magdaléne.
Debout près de la Croix de Jésus se tenaient sa Mère, et la sœur de Sa Mère, Marie, femme de Cléophas, et Salomé, et Marie-Madeleine.
Jn 19, 26-27 : Múlier, ecce fílius tuus : dixit Iesus ; ad discípulum autem : Ecce Mater tua.
Jn 19, 26-27 : Femme, voilà Votre fils : dit Jésus. Puis au disciple : Voilà ta Mère.
V/. Gloria Patri, et Filio, et Spiritui Sancto, sicut erat in principio, et nunc et semper, et in saecula saeculorum. Amen (Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, comme Il était au Commencement, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il)
Puis on répète l'antienne « Stabant iuxta Crucem Iesu Mater eius » . Cette façon de répéter l'Introït s'observe pendant toute l'année.
COLLECTE :
« Cette Reine des Vierges est aussi Reine des Martyrs... c'est en son Cœur que le glaive La transperça, car chez Elle tout se passe au-dedans » (Bse Elisabeth de la Trinité) :
Deus, in cuius passióne, secúndum Simeónis prophétiam, dulcíssimam ánimam gloriósæ Vírginis et Matris Maríæ dolóris gladius pertransívit : concéde propítius ; ut, qui transfixiónem eius et passiónem venerándo recólimus, gloriósis méritis et précibus ómnium Sanctórum Cruci fidéliter astántium intercedéntibus, passiónis tuæ efféctum felícem consequámur : Qui vivis
Ô Dieu, dans la Passion duquel suivant la Prophétie de Siméon, un glaive de douleur a percé le Cœur très doux de la Glorieuse Vierge Marie, votre Mère, faites, dans votre Miséricorde, que célébrant avec respect le souvenir de Ses Douleurs, nous recueillions les heureux fruits de votre Passion : Vous qui étant Dieu, vivez et régnez.
LECTURE : (Livre de Judith 13, 22-25)
Judith, qui n'a pas craint de risquer sa vie pour le Salut de son peuple, est la figure de la Sainte Vierge qui, en unissant Ses souffrances à Celles de son Fils endurées pour notre Salut, mérita nos louanges et notre reconnaissance :
Léctio libri Iudith
Lecture du Livre de Judith
Benedíxit te Dóminus in virtúte sua, quia per te ad níhilum redégit inimícos nostros. Benedícta es tu, fília, a Dómino, Deo excélso, præ ómnibus muliéribus super terram. Benedíctus Dóminus, qui creávit cælum et terram : quia hódie nomen tuum ita magnificávit, ut non recédat laus tua de ore hóminum, qui mémores fúerint virtútis Dómini in ætérnum, pro quibus non pepercísti ánimæ tuæ propter angústias et tribulatiónem géneris tui, sed subvenísti ruínæ ante conspéctum Dei nostri.
Le Seigneur Vous a bénie de sa Force, et Il a anéanti par Vous nos ennemis. Vous êtes bénie, ma fille, par le Seigneur, le Très Haut, plus que toutes les femmes qui sont sur la terre. Béni soit le Seigneur qui a créé le Ciel et la terre, car Il a rendu aujourd’hui votre Nom si célèbre, que les hommes, se souvenant à jamais de la Puissance du Seigneur, ne cesseront jamais de Vous louer, parce que Vous n’avez pas épargné Votre vie pour eux, en voyant les angoisses et les tribulations de votre Peuple ; mais Vous avez empêché sa ruine en Présence de notre Dieu.
GRADUEL :
Dolorósa et lacrimábilis es, Virgo María, stans iuxta Crucem Dómini Iesu, Fílii tui, Redemptóris.
Douloureuse et en larmes, Vierge Marie, Vous Vous tenez au pied de la Croix du Seigneur Jésus, votre Fils, le Rédempteur.
V/. Virgo Dei Génetrix, quem totus non capit orbis, hoc crucis fert supplícium, auctor vitæ factus homo.
V/. Vierge Mère de Dieu, Celui que le monde ne peut contenir, l’Auteur de la Vie fait homme, subit ce Supplice de la Croix.
ALLÉLUIA :
Allelúia, allelúia.
V/. Stabat sancta María, cæli Regína et mundi Dómina, iuxta Crucem Dómini nostri Iesu Christi dolorósa. Allelúia.
V/. Sainte Marie, la Reine du Ciel et Maîtresse du Monde, se tenait pleine de Douleurs au pied de la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Alléluia.
TRAIT : (Lamentations 1, 12)
Stabat Sancta María, cæli Regína et mundi Dómina, iuxta Crucem Dómini nostri Iesu Christi dolorósa
Sainte Marie, la Reine du Ciel et Maîtresse du Monde, se tenait pleine de Douleurs au pied de la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
V/. O vos omnes, qui tránsitis per viam, atténdite et vidéte, si est dolor sicut dolor meus
V/. Ô vous tous qui passez par le chemin, regardez et voyez s’il est une douleur comme ma douleur.
SÉQUENCE : (Stabat Mater Dolorósa)
Stabat Mater Dolorósa
Iuxta Crucem lacrimósa,
Dum pendébat Fílius.
Debout, la Mère des Douleurs,
Près de la Croix était en larmes,
Quand son Fils pendait au Bois.
Cuius ánimam geméntem,
Contristátam et doléntem
Pertransívit gládius.
Alors, Son âme gémissante,
Toute triste et toute dolente,
Un glaive Le transperça.
O quam tristis et afflícta
Fuit illa benedícta
Mater Unigéniti !
Qu’Elle était triste, anéantie,
La Femme entre toutes Bénie,
La Mère du Fils de Dieu !
Quæ mærébat et dolébat,
Pia Mater, dum vidébat
Nati poenas íncliti.
Dans le chagrin qui La poignait,
Cette Tendre Mère pleurait
Son Fils mourant sous Ses yeux.
Quis est homo, qui non fleret,
Matrem Christi si vidéret
In tanto supplício ?
Quel homme sans verser de pleurs
Verrait la Mère du Seigneur
Endurer si grand Supplice ?
Quis non posset contristári,
Christi Matrem contemplári
Doléntem cum Fílio ?
Qui pourrait dans l’indifférence
Contempler en cette Souffrance
La Mère auprès de son Fils ?
Pro peccátis suæ gentis
Vidit Iesum in torméntis
Et flagéllis súbditum.
Pour toutes les fautes humaines,
Elle vit Jésus dans la peine
Et sous les fouets meurtri.
Vidit suum dulcem
Natum Moriéndo desolátum,
Dum emísit spíritum.
Elle vit l’Enfant bien-aimé
Mourir tout seul, abandonné,
Et soudain rendre l’esprit.
Eia, Mater, fons amóris,
Me sentíre vim dolóris
Fac, ut tecum lúgeam.
Ô Mère, Source de Tendresse,
Fais-moi sentir grande tristesse
Pour que je pleure avec Toi.
Fac, ut árdeat cor meum
In amándo Christum Deum,
Ut sibi compláceam.
Fais que mon âme soit de feu
Dans l’Amour du Seigneur mon Dieu :
Que je Lui plaise avec Toi.
Sancta Mater, istud agas,
Crucifixi fige plagas
Cordi meo válida.
Mère Sainte, daigne imprimer
Les Plaies de Jésus Crucifié
En mon cœur très fortement.
Tui Nati vulneráti,
Tam dignáti pro me pati,
Poenas mecum dívide.
Pour moi, ton Fils voulut mourir,
Aussi donne-moi de souffrir
Une part de Ses tourments.
Fac me tecum pie flere,
Crucifíxo condolére,
Donec ego víxero.
Donne-moi de pleurer en toute vérité,
Comme Toi près du Crucifié,
Tant que je vivrai !
Iuxta Crucem tecum stare
Et me tibi sociáre
In planctu desídero.
Je désire auprès de la Croix
Me tenir, debout avec Toi,
Dans Ta plainte et Ta souffrance.
Virgo vírginum præclára.
Mihi iam non sis amára :
Fac me tecum plángere.
Vierge des Vierges, toute Pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec Toi.
Fac, ut portem Christi mortem,
Passiónis fac consórtem
Et plagas recólere.
Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.
Fac me plagis vulnerári,
Fac me Cruce inebriári
Et cruóre Fílii.
Fais que Ses propres plaies me blessent,
Que la Croix me donne l’ivresse
Du Sang versé par ton Fils.
Flammis ne urar succénsus,
Per te, Virgo, sim defénsus
In die iudícii.
Je crains les flammes éternelles ;
Ô Vierge, assure ma tutelle
A l’Heure de la Justice.
Christe, cum sit hinc exíre.
Da per Matrem me veníre
Ad palmam victóriæ.
Ô Christ, à l’heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
À la Palme des vainqueurs.
Quando corpus moriétur,
Fac, ut ánimæ donétur
Paradísi glória. Amen. Allelúia.
À l’heure où mon corps va mourir,
À mon âme, fais obtenir
La Gloire du Paradis. Amen. Alléluia.
ÉVANGILE : (Jean 19, 25-27)
« Qu'Elle est belle à contempler durant Son long martyre, si sereine, enveloppée dans une sorte de majesté qui respire à la fois la force et la douceur ! C'est qu'Elle avait appris du Verbe Lui-même comment doivent souffrir ceux que le Père a choisis comme victimes, ceux qu'Il a résolu d'associer à la grande Œuvre de Rédemption ... Elle est là au pied de la Croix, debout, dans la force et la vaillance » (Bse Elisabeth de la Trinité) :
+ Sequéntia sancti Evangélii secundum Ioánnem
+ Suite du Saint Évangile selon Saint Jean
In illo témpore : Stabant iuxta Crucem Iesu Mater eius, et soror Matris eius, María Cléophæ, et María Magdaléne. Cum vidísset ergo Iesus Matrem, et discípulum stantem, quem diligébat, dicit Matri suæ : Múlier, ecce fílius tuus. Deinde dicit discípulo : Ecce Mater tua. Et ex illa hora accépit eam discípulus in sua.
En ce temps-là, debout près de la Croix de Jésus se tenaient Sa Mère, et la sœur de Sa Mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie-Madeleine. Jésus ayant vu Sa Mère, et, auprès d’Elle, le disciple qu’Il aimait, dit à Sa Mère : Femme, voilà Votre fils. Puis Il dit au disciple : Voilà ta Mère. Et, à partir de cette Heure, le disciple La prit chez lui.
OFFERTOIRE : (Jérémie 18, 20)
Recordáre, Virgo Mater, in conspéctu Dei, ut loquáris pro nobis bona, et ut avértat indignatiónem suam a nobis
Souvenez-Vous, ô Vierge Mère, d’intercéder pour nous auprès de Dieu, et de Lui faire détourner de nous Son indignation.
SECRÈTE :
Offérimus tibi preces et hóstias, Dómine Iesu Christe, humiliter supplicántes : ut, qui Transfixiónem dulcíssimi spíritus beátæ Maríæ, Matris tuæ, précibus recensémus ; suo suorúmque sub Cruce Sanctórum consórtium multiplicáto piíssimo intervéntu, méritis mortis tuæ, méritum cum beátis habeámus : Qui vivis.
Seigneur Jésus-Christ, nous Vous offrons ces prières et ces hosties, en suppliant humblement de faire que, nous qui nous rappelons dans nos prières que l’âme très douce de la Bienheureuse Marie, votre Mère fut transpercée : nous méritions, Grâce à Sa très miséricordieuse Intervention jointe à Celle des Saints qui L’accompagnaient au pied de la Croix, d’avoir part avec les Bienheureux aux Mérites de Votre mort.
PRÉFACE de la Bienheureuse Vierge Marie :
La Préface de la Bienheureuse Vierge Marie est dite avec « Et en la Transfixion de la Bse... » :
VERE dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi semper et ubíque grátias ágere : Dómine, sancte Pater, omnípotens ætérne Deus : Et te in * * * beátæ Maríæ semper Vírginis collaudáre, benedícere et prædicáre. Quæ et Unigénitum tuum Sancti Spíritus obumbratióne concépit : et, virginitátis glória permanénte, lumen ætérnum mundo effúdit, Iesum Christum, Dóminum nostrum. Per quem maiestátem tuam laudant Angeli, adórant Dominatiónes, tremunt Potestátes. Cæli cælorúmque Virtútes ac beáta Séraphim sócia exsultatióne concélebrant. Cum quibus et nostras voces ut admítti iúbeas, deprecámur, súpplici confessióne dicentes.
IL est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est notre salut, de Vous rendre Grâces toujours et partout, Seigneur, Père saint, Dieu éternel et tout-puissant : Et, en * * * de la Bienheureuse Marie toujours Vierge de Vous louer, de Vous bénir et de Vous proclamer. C’est Elle qui a conçu Votre Fils Unique par l’opération du Saint-Esprit : et qui, sans rien perdre de la Gloire de Sa virginité, a mis au monde la Lumière éternelle, Jésus-Christ, Notre-Seigneur. Par Lui les Anges louent Votre Majesté, les Dominations Vous adorent, les Puissances se prosternent en tremblant. Les Cieux, les Vertus des cieux et les bienheureux Séraphins La célèbrent, unis dans une même allégresse. A leurs chants, nous Vous prions, laissez se joindre aussi nos voix pour proclamer dans une humble louange.
COMMUNION :
Felices sensus beátæ Maríæ Vírginis, qui sine morte meruérunt martýrii palmam sub Cruce Dómini.
Heureux le Cœur de la Bienheureuse Vierge Marie, qui sans mourir obtint la Palme du Martyre au pied de la Croix du Seigneur.
POSTCOMMUNION :
Sacrifícia, quæ súmpsimus, Dómine Iesu Christe, Transfixiónem Matris tuæ et Vírginis devóte celebrántes : nobis ímpetrent apud cleméntiam tuam omnis boni salutáris efféctum : Qui vivis.
Que le Sacrifice auquel nous avons Communié, Seigneur Jésus-Christ, en célébrant avec dévotion la Transfixion de la Vierge, votre Mère, nous obtienne de votre Clémence le plein effet de votre Œuvre de Salut.
Voir l’ensemble du déroulement de « l’Ordinaire de la Messe de Saint Pie V » en latin et en français avec des explications selon l’Ordo Missae de 1962 afin de mieux assister au Saint Sacrifice de la Messe
Voir également sur Notre-Dame des Sept Douleurs :
- Le « Stabat Mater dolorosa » du Franciscain Jacopone da Todi
- Le Stabat Mater Dolorosa « A l’école de Notre-Dame des Sept Douleurs » de Monsieur l’Abbé Patrick de La Rocque
- L’Hymne de Patrice de La Tour du Pin à N-D des Douleurs « Console-toi, fille des hommes, dans sa Mort ton Christ te rejoint »
- La Prière à Notre-Dame des Douleurs « Sainte Vierge, ce petit ouvrage vient se rendre à vos Pieds sacrés » du Très Vénérable Abbé Henry-Marie Boudon
- La Prière à Notre Dame des Douleurs « Ô Vierge sacrée, votre Peine a été la plus grande qu'une pure créature ait jamais endurée » de Saint Anselme de Cantorbéry
- La Prière à Notre Dame des Douleurs « Nous Te louons, Mère des sept Douleurs ! » de Guy Jampierre
- Les « 7 Prières à Notre-Dame des sept Douleurs » de Saint Alphonse de Liguori
- La Prière de Saint Bonaventure à la Mère de Douleurs « Souvenez-Vous, ô très miséricordieuse Marie, des prières que nous répandons maintenant en Votre présence »
- La Prière de Mgr Louis-Edouard Pie à Notre-Dame des Douleurs « Ô Vierge Marie, par la vertu de tant de Douleurs, faites que nous moissonnions enfin la joie dans le Royaume céleste ! »
- La Prière de Mgr Félix Dupanloup « Ô Mère de douleur, souffrez donc que nous Vous appelions notre Mère »
- La Prière d’Édith Stein « Notre-Dame des Douleurs, c’est au pied de la Croix que Vous êtes devenue notre Mère »
- La Prière à Notre-Dame des Douleurs « Ô douloureuse Mère, c’est Votre chair crucifiée qui saigne sur cette Croix » de Serge Barrault
- La Prière de Salutation Mariale à Notre-Dame des Douleurs « Je Vous salue, Marie, pleine de douleurs » de Saint Bonaventure
- La Prière « Notre-Dame des Douleurs, c’est au pied de la Croix que Vous êtes devenue notre Mère » de Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix
- La Prière à Notre-Dame des Sept Douleurs « Ô Mère des Sept Douleurs, je Vous en conjure par la Passion de votre Fils et par votre Compassion, obtenez-nous de nous tenir avec Vous au pied de la Croix » du R. P. Dominique Bouix
- Le Sermon du 15 septembre sur Notre-Dame des Sept Douleurs « Un Cœur Douloureux mais Immaculé » de Monsieur l’Abbé Denis Puga
- Le Sermon sur les Sept Douleurs de la Très Sainte Vierge Marie « L'art de mal souffrir et l'art de bien souffrir » Monsieur l’Abbé François-Marie Chautard
- Le Sermon sur la Séquence du Stabat Mater Dolorosa « Le Stabat, École de Sainteté » de Monsieur l’Abbé Gabriel Billecocq