Voici la retransmission vidéo de la « Sainte Messe du Premier Dimanche de la Passion » (Dominica I Passionis) célébrée et prêchée par Monsieur l’Abbé Pierpaolo Maria Petrucci de la FSSPX en l'église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Introït « Iudica me » ; Collecte ; Épître de Saint Paul Apôtre aux Hébreux 9, 11-15 sur le Saint Sacrifice dans la Nouvelle Alliance ; Graduel Ps 142, 9-10 et 17, 48-49 ; Trait Ps 128, 1-4 ; Évangile selon Saint Jean 8, 46-59 sur les faux enfants d'Abraham ; Offertoire Ps 110, 1 et 118, 17.107 ; Secrète ; Préface de la Sainte Croix ; Communion 1 Cor. 11, 24 et 25 ; PostCommunion ; Oraison sur le Peuple ; …) en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe Traditionnelle »
1ère classe - Ornements Violets - Station à Saint-Pierre
« Si Je vous dis la Vérité, pourquoi ne Me croyez-vous pas ? Celui qui est de Dieu, entend les Paroles de Dieu »
Voici le Temps de contempler plus attentivement notre Sauveur dans les souffrances de sa Passion. L'Église nous invite à nous unir à Lui, à prier avec Lui ; Elle nous exhorte à écouter la Voix de ses Souffrances et de ses Douleurs, Lui qui a voulu mourir pour nos péchés et pour nous sauver. C'est cette Voix qui se fait entendre dans les chants de la Messe : le Christ parle à son Père, et fait Siennes la prière et la plainte de tous ; Il est le « Juste » persécuté, effrayé devant la mort et tout ce qu'on va Lui faire subir ; Il demande Grâce et Justice pour nous.
À partir de ce Dimanche et jusqu'au Jeudi Saint inclus, aux Messes du Temps, on ne dit pas le Psaume 42 au bas de l'Autel, ni le « Gloria Patri » à l'Introït, après le Psaume « Lavabo » de l'Offertoire et après le chant de Communion quand on y chante des versets d'un Psaume.
INTROÏT : (Psaume 42, 1-3)
Prière de Jésus au début de sa Passion au Mont des Oliviers :
Iudica me, Deus, et discérne causam meam de gente non sancta : ab homine iníquo et dolóso éripe me : quia tu es Deus meus et fortitúdo mea.
Ô jugez-moi, ô Dieu, et séparez ma cause de celle d’une nation qui n’est pas Sainte : délivrez-moi de l’homme méchant et trompeur. Car Vous êtes ma Force, ô Dieu.
Ps. 42, 3 : Emítte lucem tuam et veritátem tuam : ipsa me de duxérunt et adduxérunt in montem sanctum tuum et in tabernácula tua.
Ps. 42, 3 : Envoyez votre Lumière et votre Vérité ; Elles me conduiront et m’amèneront à votre Montagne Sainte et à vos Tabernacles.
Puis on répète l'antienne « Iudica me » . Cette façon de répéter l'Introït s'observe pendant toute l'année.
COLLECTE :
Cette admirable Prière tient compte des deux éléments dont l'homme est composé : pour que l'âme puisse se sanctifier, il est nécessaire que le corps agisse courageusement selon l'Evangile :
QUǼSUMUS, omnípotens Deus, familiam tuam propítius réspice : ut, te largiénte, regátur in córpore ; et, te servánte, custodiátur in mente. Per Dóminum.
NOUS Vous en prions, Dieu Tout-Puissant, regardez Vos enfants dans votre Miséricorde ; accordez-leur votre Grâce pour qu’ils soient gouvernés en leur corps, et veillez sur eux pour qu’ils soient gardés en leur âme.
ÉPITRE : (Hebr. 9, 11-15)
Saint Paul nous montre la supériorité du Nouveau Testament : l'ancienne Loi répétait sans cesse les mêmes offrandes pour les transgressions du peuple ; le Christ, nouveau grand Prêtre, couvert de Son propre sang et à la Tête de toute l'humanité rachetée, expie une fois pour toutes nos péchés, et pénètre définitivement dans le Sanctuaire Céleste :
Léctio Epístolæ beáti Páuli Apóstoli ad Hebrǽos
Lecture de l’Épître de Saint Paul Apôtre aux Hébreux
FRATRES : Christus assístens Pontifex futurórum bonórum, per ámplius et perféctius tabernáculum non manufáctum, id est, non huius creatiónis : neque per sánguinem hircórum aut vitulórum, sed per próprium sánguinem introívit semel in Sancta, ætérna redemptióne invénta. Si enim sanguis hircórum et taurórum, et cinis vítulæ aspérsus, inquinátos sanctíficat ad emundatiónem carnis : quanto magis sanguis Christi, qui per Spíritum Sanctum semetípsum óbtulit immaculátum Deo, emundábit consciéntiam nostram ab opéribus mórtuis, ad serviéndum Deo vivénti ? Et ideo novi Testaménti mediátor est : ut, morte intercedénte, in redemptiónem eárum prævaricatiónum, quæ erant sub prióri Testaménto, repromissiónem accípiant, qui vocáti sunt ætérnæ hereditátis, in Christo Iesu, Dómino nostro.
MES FRERES, Le Christ ayant paru comme grand Prêtre des biens à venir, c’est en passant par un Tabernacle plus excellent et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’appartient pas à cette création-ci et ce n’est pas avec le sang des boucs et des taureaux, mais avec Son propre Sang, qu’Il est entré une fois pour toutes dans le saint des Saints, après avoir acquis une Rédemption éternelle. Car si le sang des boucs et des taureaux, si la cendre d’une vache, dont on asperge ceux qui sont souillés, sanctifient de manière à procurer la pureté de la chair, combien plus le Sang du Christ qui, par l’Esprit éternel, s’est offert Lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-Il notre conscience des oeuvres mortes, pour servir le Dieu vivant ? Et c’est pour cela qu’Il est Médiateur d’une Nouvelle Alliance, afin que, sa Mort ayant eu lieu pour le pardon des transgressions commises sous la premiere alliance, ceux qui ont été appelés reçoivent l’Héritage éternel qui leur a été promis en Jésus-Christ Notre-Seigneur.
GRADUEL : (Psaumes 142, 9-10 et 17, 48-49)
Pendant son Agonie, Jésus priera de même : « Père, que Ta Volonté soit faite, non la mienne » :
ERIPE ME, Dómine, de inimícis meis : doce me fácere voluntátem tuam.
DELIVREZ-MOI de mes Ennemis, Seigneur ; enseignez-moi à faire Votre Volonté.
V/. Liberátor meus, Dómine, de géntibus iracúndis : ab insurgéntibus in me exaltábis me : a viro iníquo erípies me.
V/. Vous me délivrez de mes ennemis furieux, Seigneur ; et Vous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dresse contre moi ; Vous m’arracherez des mains de l’homme inique.
TRAIT : (Psaume 128, 1-4)
« Toute la Vie de Jésus-Christ ne fut que Croix et Martyre » (Imitation de Jésus-Christ) :
SÆPE expugnavérunt me a iuventúte mea.
ILS m’ont souvent attaqué depuis ma jeunesse.
V/. Dicat nunc Israël : sæpe expugnavérunt me a iuventúte mea.
V/. Qu’Israël le dise maintenant, ils m’ont souvent attaqué depuis ma jeunesse.
V/. Etenim non potuérunt mihi : supra dorsum meum fabricavérunt peccatóres.
V/. Mais ils n’ont pas prévalu contre moi ; les pécheurs ont travaillé sur mon dos.
V/. Prolongavérunt iniquitátes suas : Dóminus iustus cóncidit cervíces peccatórum.
V/. Ils m’ont fait sentir longtemps leur injustice : le Seigneur est Juste, Il tranchera la tête des pécheurs.
ÉVANGILE : (Ioann. 8, 46-59)
« Considérez la Douceur de Dieu. Le Sauveur était venu effacer les péchés du monde, et Il dit : Qui de vous me convaincra de péché ? Si celui qui est de Dieu entend les Paroles de Dieu, et si au contraire celui qui n'est pas de Dieu ne peut Les entendre, que chacun se demande si l'oreille de son cœur perçoit les Paroles de Dieu, et il connaîtra à qui il appartient » (Saint Grégoire le Grand) :
+ Sequéntia sancti Evangélii secundum Joánnem
+ Suite du Saint Évangile selon Saint Jean
IN ILLO TEMPORE : Dicébat Iesus turbis Iudæórum : Quis ex vobis árguet me de peccáto ? Si veritátem dico vobis, quare non créditis mihi ? Qui ex Deo est, verba Dei audit. Proptérea vos non audítis, quia ex Deo non estis. Respondérunt ergo Iudǽi et dixérunt ei : Nonne bene dícimus nos, quia Samaritánus es tu, et dæmónium habes ? Respóndit Iesus : Ego dæmónium non hábeo, sed honorífico Patrem meum, et vos inhonorástis me. Ego autem non quæro glóriam meam : est, qui quærat et iúdicet. Amen, amen, dico vobis : si quis sermónem meum serváverit, mortem non vidébit in ætérnum. Dixérunt ergo Iudǽi : Nunc cognóvimus, quia dæmónium habes. Abraham mórtuus est et Prophétæ ; et tu dicis : Si quis sermónem meum serváverit, non gustábit mortem in ætérnum. Numquid tu maior es patre nostro Abraham, qui mórtuus est ? et Prophétæ mórtui sunt. Quem teípsum facis ? Respóndit Iesus : Si ego glorífico meípsum, glória mea nihil est : est Pater meus, qui gloríficat me, quem vos dícitis, quia Deus vester est, et non cognovístis eum : ego autem novi eum : et si díxero, quia non scio eum, ero símilis vobis, mendax. Sed scio eum et sermónem eius servo. Abraham pater vester exsultávit, ut vidéret diem meum : vidit, et gavísus est. Dixérunt ergo Iudǽi ad eum : Quinquagínta annos nondum habes, et Abraham vidísti ? Dixit eis Iesus : Amen, amen, dico vobis, antequam Abraham fíeret, ego sum. Tulérunt ergo lápides, ut iácerent in eum : Iesus autem abscóndit se, et exívit de templo.
EN CE TEMPS-LA, Jésus disait à la foule des Juifs : Qui de vous me convaincra de péché ? Si je vous dis la Vérité, pourquoi ne me croyez-vous pas ? Celui qui est de Dieu écoute les Paroles de Dieu. C’est pour cela que vous n’écoutez point, parce que vous n’êtes pas de Dieu. Les Juifs Lui répondirent donc, et Lui dirent : N’avons-nous pas raison de dire que Vous êtes un Samaritain et un possédé du démon ? Jésus répondit : Je ne suis pas possédé du démon, mais j’honore mon Père ; et vous, vous me déshonorez. Pour moi, je ne cherche pas ma propre Gloire ; il est quelqu’un qui la cherche, et qui juge. En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma Parole, il ne verra jamais la mort. Les Juifs Lui dirent : Maintenant nous connaissons que Vous êtes possédé du démon. Abraham est mort, et les prophètes aussi ; et Vous dites : Si quelqu’un garde ma Parole, il ne goûtera jamais la mort. Êtes-Vous plus grand que notre père Abraham, qui est mort, et que les prophètes, qui sont morts aussi ? Qui prétendez-Vous être ? Jésus répondit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien ; c’est mon Père qui me glorifie, Lui dont vous dites qu’Il est votre Dieu. Et vous ne Le connaissez pas ; mais moi, je Le connais ; et si je disais que je ne Le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je Le connais et je garde sa Parole. Abraham, votre père, a tressailli de joie, désirant voir mon jour ; il l’a vu, et il s’est réjoui. Les Juifs Lui dirent : Vous n’avez pas encore cinquante ans, et Vous avez vu Abraham ? Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, Je suis. Ils prirent donc des pierres, pour les jeter sur Lui ; mais Jésus se cacha, et sortit du temple.
OFFERTOIRE : (Psaumes 110, 1 et 118, 17.107)
Demandons la Grâce du Christ pour demeurer fidèle au milieu des persécutions :
CONFITEBOR tibi, Dómine, in toto corde meo : retríbue servo tuo : vivam, et custódiam sermónes tuos : vivífica me secúndum verbum tuum, Dómine.
SEIGNEUR, je Vous célébrerai de tout mon cœur. Bénissez Votre serviteur, je vivrai ; et je garderai vos Paroles. Faites-moi vivre selon votre Parole, Seigneur.
SECRÈTE :
Ces liens sont ceux dont Jésus a dit : « Celui qui fait le péché est esclave du Péché » :
HÆC múnera, quǽsumus Dómine, ei víncula nostræ pravitátis absólvant, et tuæ nobis misericórdiæ dona concílient. Per Dóminum.
NOUS Vous en supplions, Seigneur, que ces dons nous arrachent aux liens de notre perversité et nous obtiennent les effets de votre Miséricorde. Par Notre-Seigneur
PRÉFACE DE LA SAINTE CROIX :
La Préface suivante est dite :
a) comme Préface propre aux Messes du Temps du 1er Dimanche de la Passion jusqu’au Jeudi en la Cène du Seigneur ; aux Messes tant festives que votives de la Sainte Croix, de la Passion du Seigneur et d’un instrument de la Passion du Seigneur, du très précieux Sang de N.S. Jésus-Christ, du Très St Rédempteur ;
b) comme Préface du Temps à toutes les Messes du Temps du 1er Dimanche de la Passion jusqu’au Mercredi de la Semaine Sainte qui n’ont pas de Préface propre.
VERE dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi semper et ubíque grátias ágere : Dómine, sancte Pater, omnípotens ætérne Deus :
Il est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est notre salut, de Vous rendre grâces toujours et partout, Seigneur, Père Saint, Dieu Éternel et Tout-Puissant :
Qui salútem humáni géneris in ligno Crucis constituísti : ut, unde mors oriebátur, inde vita resúrgeret : et, qui in ligno vincébat, in ligno quoque vincerétur : per Christum Dóminum nostrum.
Vous avez placé le Salut du genre humain dans le bois de la Croix : pour, là-même où la mort été née, y faire surgir la Vie : et pour que Celui qui vainquit par le bois, fut aussi vaincu par le bois : par le Christ Notre Seigneur.
Per quem maiestátem tuam laudant Angeli, adórant Dominatiónes, tremunt Potestátes. Cæli cælorúmque Virtútes ac beáta Séraphim sócia exsultatióne concélebrant. Cum quibus et nostras voces ut admítti iúbeas, deprecámur, súpplici confessióne dicentes.
Par Lui les Anges louent votre Majesté, les Dominations Vous adorent, les Puissances se prosternent en tremblant. Les Cieux, les Vertus des cieux et les bienheureux Séraphins La célèbrent, unis dans une même allégresse. A leurs chants, nous Vous prions, laissez se joindre aussi nos voix pour proclamer dans une humble louange.
COMMUNION : (1 Cor. 11, 24 et 25)
La Sainte Messe est le mémorial et l'actualisation pour nous de la Mort du Christ sur la Croix :
HOC corpus, quod pro vobis tradétur : hic calix novi Testaménti est in meo sánguine, dicit Dóminus : hoc fácite, quotiescúmque súmitis, in meam commemoratiónem.
CECI est mon Corps qui sera livré pour vous : le Calice est la Nouvelle Alliance en mon Sang, dit le Seigneur ; faites Ceci en mémoire de moi, toutes les fois que vous en prendrez.
POSTCOMMUNION :
Dans la Postcommunion, l’Église demande à Dieu de conserver dans les fidèles les fruits de la Visite qu’Il a daigné leur faire, en entrant en eux par la participation aux Mystères Sacrés :
ADESTO NOBIS, Dómine, Deus noster : et, quos tuis mystériis recreásti, perpétuis defénde subsidiis. Per Dóminum nostrum.
ASSISTEZ-NOUS, Seigneur, notre Dieu, et défendez par d’incessants secours ceux dont Vous avez relevé les forces au moyen de vos Mystères. Par Notre-Seigneur.
ORAISON SUR LE PEUPLE :
À toutes les Messes de Carême, en semaine, on ajoute après les postcommunions l'Oraison sur le Peuple. A l'invitation du Célébrant (ou, à la Messe Solennelle, du diacre, qui se tourne alors vers le peuple), les fidèles inclinent la tête :
OREMUS. Humiliáte cápita vestra Deo.
PRIONS. Humiliez vos têtes devant Dieu
INCLINANTES se, Dómine, maiestáti tuæ, propitiátus inténde : ut, qui divíno múnere sunt refécti, cæléstibus semper nutriántur auxíliis. Per Dóminum.
Jetez un regard favorable, ô Seigneur, sur ceux qui s’inclinent devant votre Majesté, afin que ceux qui ont été nourris de Vos dons divins soient toujours soutenus par les Secours célestes.
Voir l’ensemble du déroulement de « l’Ordinaire de la Messe de Saint Pie V » en latin et en français avec des explications selon l’Ordo Missae de 1962 afin de mieux assister au Saint Sacrifice de la Messe
- La Prière pour un Prêtre avant la Sainte Messe du Dimanche de la Passion « Purifiez-moi par votre Sang, ô Agneau sans tâche qui portez et effacez les péchés du monde » du Révérend Père Claude Fyot de Vaugimois
- La Prière tirée de la Collecte de la Sainte Messe du Dimanche de la Passion « Seigneur, j'ai marché par les voies les plus dures, par obéissance aux Paroles qui sont sorties de Vos lèvres » du Révérend Père Jean-Baptiste-Élie Avrillon
- La Prière pour le Dimanche de la Passion « Ô Dieu, que nous recevons mal les afflictions ! » de Monseigneur Jacques-Bénigne Bossuet
- La Prière pour le Dimanche de la Passion afin d’imiter notre Modèle « A ma place que ferait, que dirait, que voudrait Jésus-Christ ? » du Révérend Père Louis-Pierre Pététot
- La Prière sur l’Évangile (Jn 8, 4) de la Messe du Dimanche de la Passion « Très-doux Jésus, accordez-nous la Grâce de supporter patiemment les injures qu'on nous fait » du R. P. Leonhard Goffiné
- La Prière du Premier Dimanche de la Passion « Ô Seigneur Jésus, les jours s'avancent et Vous allez Vous livrer Vous-même aux mains de Vos bourreaux » d’Adolphe Baudon de Mony
- L’Hymne du Temps de la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ « Vexilla Regis prodeunt » de Saint Venance Fortunat
- La Prière qui paraphrase l'hymne « Vexilla regis » pour le Dimanche de la Passion « Il brille l'Étendard de Grâce et de Victoire » du Comte Lodoïs de Martin du Tyrac de Marcellus
- L’Hymne de l’Office des Vêpres du Dimanche de la Passion « Voici la Croix, rien n'égale sa Gloire » de Monsieur l’Abbé Théodore de Cénat de L'Herm
- Toutes les « Prières pour le Temps de la Passion » (plus d’une centaine)
- Les Prières et Résolutions pour la Semaine du Dimanche de la Passion de l’Abbé Jean-Baptiste La Sausse « Seigneur, donnez-moi une Foi animée par la Charité qui soit féconde en bonnes œuvres »
- Le Commentaire de l’Évangile du Dimanche de la Passion (Jn 8, 46-59) sur « L’Altercation avec les Pharisiens » de l’Abbé Patrick de La Rocque
- Le Sermon du Premier Dimanche de la Passion « Croix et Statues voilées en violet » de Monsieur l’Abbé Denis Puga
- Le Sermon du Dimanche de la Passion « La Croix déchire le voile qui nous sépare de Dieu » de Monsieur l’Abbé Denis Puga
- Le Sermon sur l’Évangile (Jn 8, 51) du Dimanche de la Passion « En Vérité, en Vérité, Je vous Le dis : si quelqu’un garde ma Parole, il ne verra jamais la mort » de Monsieur l’Abbé Denys de Crécy