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Sainte Messe du Vendredi de la Quatrième Semaine du Carême

Messes > Temps du Carême

Voici la retransmission vidéo de la « Sainte Messe du Vendredi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria VI Quarta in Quadragesima) avec l’ensemble des Textes Liturgiques (Introït « Deditatio cordis mei in conspectu tuo semper » ; Collecte ; Lecture du livre des Rois III. 17, I7-24 sur Élie qui ressuscite un enfant ; Graduel psaume 73, 20-22 ; Trait psaumes 102, 10 ; 78, 8-9 ; Évangile selon Saint Jean 11, 1-45 de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la résurrection de Lazare ; Offertoire psaume 17, 28-32 ; Secrète ; Préface du Carême ; Communion Jean 11, 33…44 ; PostCommunion ; Oraison sur le peuple) en latin et en français selon le Rite Tridentin de la Messe de Saint Pie V dite « Messe de Toujours » célébrée en l'église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris par Monsieur l’Abbé Denys de Crécy



La Sainte Messe du Vendredi de la Quatrième Semaine du Carême (Feria VI Quarta in Quadragesima) :





IIIème classe - Station à Saint-Eusèbe – Ornements violets

L'église de la Station est l'ancienne maison de Saint Eusèbe, qui y mourut Martyr au IVe siècle. Elle se trouvait au-dessus d'une immense nécropole, le cimetière païen de l'ancienne Rome. De là le choix des deux Lectures qui nous parlent de la Résurrection des morts


INTROÏT (psaume 18, 15)
L’Introït est emprunté au Psaume 18. La pensée elle-même de Dieu est pour nous une forteresse inexpugnable, dans laquelle nous pouvons toujours trouver un abri contre toutes les tentations et les difficultés de la vie. En effet, quand les tentations nous assaillent, quand la fascination de la volupté menace d’étouffer en nous cette aspiration innée à un bien infini que nous avons tous, quand le poids des iniquités commises nous fait voir comme désespéré notre atterrissage au port du salut, quand, dans la dernière agonie spécialement, Satan nous fera sentir toute la violence de sa tyrannie pour nous réduire définitivement en son pouvoir, il suffit de se souvenir de Dieu, de L’invoquer avec le cœur, et voici que la sérénité revient, que les ennemis s’enfuient honteux, et l’âme sent toute cette douceur qu’exprime le saint Nom de Dieu, quand on L’invoque avec dévotion. En un mot, tout notre mal vient de ce que nous oublions Dieu, alors que selon la parole du Prophète : Memor fui Dei et delectatus sum.
Deditatio cordis mei in conspectu tuo semper : Dómine, adiútor meus, et redémptor meus.
La méditation de mon cœur sera toujours en votre Présence ; Seigneur, Vous êtes mon secours et mon rédempteur.
Ps. 18, 2 : Cæli enárrant glóriam Dei : et ópera mánuum eius annúntiat firmaméntum.
Ps. 18, 2 : Les Cieux racontent la gloire de Dieu, et le firmament publie les œuvres de ses mains.
V/. Gloria Patri, et Filio, et Spiritui Sancto, sicut erat in principio, et nunc et semper, et in saecula saeculorum. Amen
V/. Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, comme Il était au Commencement, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il

Puis on répète l'antienne « Deditatio cordis mei in conspectu tuo semper ». Cette façon de répéter l'Introït s'observe pendant toute l'année.


COLLECTE
La Collecte prélude déjà à la Renaissance Pascale, quand le Sacrement Eucharistique, nous communiquant l’esprit et la vie du Christ, accomplira dans notre âme le Mystère de sa Résurrection spirituelle. Mais cette Renaissance est, pour le moment, simplement spirituelle, et l’Église ne cesse pourtant pas d’être une société visible, composée d’hommes passibles et mortels, qui ont aussi des besoins matériels qu’il faut satisfaire. Avec un équilibre parfait entre les aspirations de l’âme et les nécessités de la nature corporelle, l’Église se garde bien de séparer ce que Dieu a voulu réunir, et elle prie donc le Seigneur afin que la famille du Christ, tout en amassant les biens célestes, ne manque pas néanmoins des ressources matérielles nécessaires.
Deus, qui ineffabílibus mundum rénovas sacraméntis : præsta, quǽsumus ; ut Ecclésia tua et ætérnis profíciat institútis, et temporálibus non destituátur auxíliis. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Ô Dieu, qui renouvelez le monde par d’ineffables Mystères, faites, nous Vous en supplions, que votre Église profite de ce que Vous avez institué pour la conduire à la bienheureuse Éternité, et qu’elle ne soit point privée de votre secours dans ses besoins temporels. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


LECTURE du livre des Rois III. 17, I7-24
Cette Lecture est une préparation à l'Évangile : au lieu de multiplier prières et gestes comme fit le prophète, Jésus ne dira qu'un mot.
In diébus illis : Ægrotávit fílius mulíeris matrisfamílias, et erat lánguor fortíssimus, ita ut non remanéret in eo hálitus. Dixit ergo ad Elíam : Quid mihi et tibi, vir Dei ? Ingréssus es ad me, ut rememoraréntur iniquitátes meæ, et interfíceres fílium meum ? Et ait ad eam Elías : Da mihi fílium tuum. Tulítque eum de sinu eius, et portávit in cenáculum, ubi ipse manébat, et pósuit super léctulum suum, et clamávit ad Dóminum, et dixit : Dómine, Deus meus, étiam ne víduam, apud quam ego utcúmque susténtor, afflixísti, ut interfíceres fílium eius ? Et expándit se, atque mensus est super púerum tribus vícibus, et clamávit ad Dóminum, et ait : Dómine, Deus meus, revertátur, óbsecro, ánima púeri huius in víscera eius. Et exaudívit Dóminus vocem Elíæ : et revérsa est ánima púeri intra eum, et revíxit. Tulítque Elías púerum, et depósuit eum de cenáculo in inferiórem domum, et trádidit matri suæ, et ait illi : En, vivit fílius tuus. Dixítque múlier ad Elíam : Nunc in isto cognóvi, quóniam vir Dei es tu, et verbum Dómini in ore tuo verum est.
En ces jours-là, le fils d’une mère de famille devint malade et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. Cette femme dit donc à Élie : Qu’y a-t-il de commun entre vous et moi, homme de Dieu ? Êtes-vous venu chez moi pour renouveler la mémoire de mes péchés, et pour faire mourir mon fils ? Élie lui dit : Donnez-moi votre fils. Et l’ayant pris d’entre ses bras, il le porta dans la chambre où il demeurait, et il le mit sur son lit. Il cria ensuite au Seigneur ; et il Lui dit : Seigneur mon Dieu, avez-Vous aussi affligé cette veuve, qui a soin de me nourrir comme elle peut, jusqu’à faire mourir son fils ? Après cela il s’étendit sur l’enfant par trois fois, en se mesurant à son petit corps, et il cria au Seigneur et Lui dit : Seigneur mon Dieu, faites je Vous prie, que l’âme de cet enfant rentre dans son corps. Et le Seigneur exauça la voix d’Élie ; l’âme de l’enfant rentra en lui, et il recouvra la vie. Et Élie prit l’enfant, le descendit de sa chambre au bas de la maison, le mit entre les mains de sa mère et lui dit : Voici que votre fils est vivant. La femme répondit à Élie : Je reconnais maintenant à cette action que vous êtes un homme de Dieu, et que la Parole du Seigneur est véritable dans votre bouche.


GRADUEL
(psaume 117, 8-9)
Le Graduel est tiré du Psaume 117 qui est l’un des anciens cantiques de la Cène Pascale. En effet, les hommes et les princes ne veulent ou ne peuvent toujours nous aider, même quand ils en auraient le désir. Seul l’amour de Dieu ne nous manque jamais, et Il peut tout le bien qu’Il nous veut.
Bonum est confídere in Dómino, quam confídere in hómine.
Il vaut mieux se confier au Seigneur, que de se confier à l’homme.
V/. Bonum est speráre in Dómino, quam speráre in princípibus.
V/. Il vaut mieux espérer au Seigneur, plutôt que d’espérer dans les princes.


TRAIT (psaumes 102, 10 ; 78, 8-9)
Le Trait suivant est dit aux Messes des lundis, mercredis et vendredis jusqu’au Mercredi de la Semaine Sainte inclus sauf au Mercredi des Quatre-Temps :
Domine, non secúndum peccáta nostra, quæ fécimus nos : neque secúndum iniquitátes nostras retríbuas nobis.
Seigneur, ne nous traitez pas selon nos péchés, et ne nous punissez pas selon nos iniquités.
V/. Dómine, ne memíneris iniquitátum nostrarum antiquarum : cito antícipent nos misericórdiæ tuæ, quia páuperes facti sumus nimis. (Ici on se met à genoux)
V/. Seigneur, ne Vous souvenez plus de nos anciennes iniquités ; que vos Miséricordes viennent en hâte au-devant de nous, car nous sommes réduits à la dernière misère.
V/. Adiuva nos, Deus, salutáris noster : et propter glóriam nóminis tui, Dómine, libera nos : et propítius esto peccátis nostris, propter nomen tuum.
V/. Aidez-nous, ô Dieu notre Sauveur, et pour la Gloire de votre Nom, Seigneur, délivrez-nous et pardonnez-nous nos péchés, à cause de votre Nom.


Resurrection-Lazare-Giotto.jpg

ÉVANGILE (Jean 11, 1-45)
À quelques jours de sa propre mort, Jésus ressuscite Lazare ; Il veut nous montrer que la mort n'a pas de pouvoir sur Lui, et qu'Il donnera librement sa vie.
+ Sequéntia sancti Evangélii secundum Joánnem XI, 1-45
Lecture du Saint Évangile selon Saint Jean 11, 1-45
In illo témpore : Erat quidam languens Lázarus a Bethánia, de castéllo Maríæ et Marthæ, soróris eius. (María autem erat, quæ unxit Dóminum unguento, et extérsit pedes eius capíllis suis : cuius frater Lázarus infirmabátur.) Misérunt ergo soróres eius ad eum, dicéntes : Dómine, ecce, quem amas infirmátur. Audiens autem Iesus, dixit eis : Infírmitas hæc non est ad mortem, sed pro glória Dei, ut glorificétur Fílius Dei per eam. Diligébat autem Iesus Martham et sorórem eius, Maríam, et Lázarum. Ut ergo audívit, quia infirmabátur, tunc quidem mansit in eódem loco duóbus diébus. Déinde post hæc dixit discípulis suis : Eámus in Iud.am íterum. Dicunt ei discípuli : Rabbi, nunc quærébant te Iudǽi lapidáre, et íterum vadis illuc ? Respóndit Iesus : Nonne duódecim sunt horæ diéi ? Si quis ambuláverit in die, non offéndit, quia lucem huius mundi videt : si autem ambuláverit in nocte, offéndit, quia lux non est in eo. Hæc ait, et post hæc dixit eis : Lázarus, amícus noster, dormit : sed vado, ut a somno éxcitem eum. Dixérunt ergo discípuli eius : Dómine, si dormit, salvus erit. Díxerat autem Iesus de morte eius : illi autem putavérunt, quia de dormitióne somni díceret. Tunc ergo Iesus dixit eis maniféste : Lazarus mórtuus est : et gáudeo propter vos, ut credátis, quóniam non eram ibi : sed eámus ad eum. Dixit ergo Thomas, qui dícitur Dídymus, ad condiscípulos : Eámus et nos, ut moriámur cum eo. Venit itaque Iesus, et invénit eum quátuor dies iam in monuménto habéntem. (Erat autem Bethánia iuxta Ierosólymam quasi stádiis quíndecim.) Multi autem ex Iudǽis vénerant ad Martham et Maríam, ut consolaréntur eas de fratre suo. Martha ergo, ut audívit quia Iesus venit, occúrrit illi : María autem domi sedébat. Dixit ergo Martha ad Iesum : Dómine, si fuísses hic, frater meus non fuísset mórtuus : sed et nunc scio, quia, quæcúmque popósceris a Deo, dabit tibi Deus. Dicit illi Iesus : Resúrget frater tuus. Dicit ei Martha : Scio, quia resúrget in resurrectióne in novíssimo die. Dixit ei Iesus : Ego sum resurréctio et vita : qui credit in me, etiam si mórtuus fúerit, vivet : et omnis, qui vivit et credit in me, non moriétur in ætérnum. Credis hoc ? Ait illi : Utique, Dómine, ego crédidi, quia tu es Christus, Fílius Dei vivi, qui in hunc mundum venísti. Et cum hæc dixísset, ábiit et vocávit Maríam, sorórem suam, siléntio, dicens : Magíster adest, et vocat te. Illa ut audívit, surgit cito, et venit ad eum : nondum enim vénerat Iesus in castéllum ; sed erat adhuc in illo loco, ubi occúrrerat ei Martha. Iudǽi ergo, qui erant cum ea in domo et consolabántur eam, cum vidíssent Maríam, quia cito surréxit et éxiit, secúti sunt eam, dicéntes : Quia vadit ad monuméntum, ut ploret ibi. María ergo, cum venísset, ubi erat Iesus, videns eum, cécidit ad pedes eius, et dicit ei : Dómine, si fuísses hic, non esset mórtuus frater meus. Iesus ergo, ut vidit eam plorántem, et Iud.os, qui vénerant cum ea, plorántes, infrémuit spíritu, et turbávit seípsum, et dixit : Ubi posuístis eum ? Dicunt ei : Dómine, veni et vide. Et lacrimátus est Iesus. Dixérunt ergo Iudǽi : Ecce, quómodo amábat eum. Quidam autem ex ipsis dixérunt : Non póterat hic, qui apéruit óculos cæci nati, facere, ut hic non morerétur ? Iesus ergo rursum fremens in semetípso, venit, ad monuméntum. Erat autem spelúnca, et lapis superpósitus erat ei. Ait Iesus : Tóllite lápidem. Dicit ei Martha, soror eius, qui mórtuus fuerat : Dómine, iam fetet, quatriduánus est enim. Dicit ei Iesus : Nonne dixi tibi, quóniam, si credíderis, vidébis glóriam Dei ? Tulérunt ergo lápidem : Iesus autem, elevátis sursum óculis, dixit : Pater, grátias ago tibi, quóniam audísti me. Ego autem sciébam, quia semper me audis, sed propter pópulum, qui circúmstat, dixi : ut credant, quia tu me misísti. Hæc cum dixísset, voce magna clamávit : Lázare, veni foras. Et statim pródiit, qui fúerat mórtuus, ligátus pedes et manus ínstitis, et fácies illíus sudário erat ligáta. Dixit eis Iesus : Sólvite eum, et sínite abíre. Multi ergo ex Iudǽis, qui vénerant ad Maríam et Martham, et víderant quæ fecit Iesus, credidérunt in eum.
En ce temps-là : Il y avait un malade, Lazare, de Béthanie, village de Marie et de Marthe, sa sœur. Marie est celle qui oignit de parfum le Seigneur, et Lui essuya les pieds avec ses cheveux ; et c’était son frère Lazare qui était malade. Les sœurs envoyèrent dire à Jésus : Seigneur, celui que Vous aimez est malade. Ce qu’ayant entendu, Jésus dit : Cette maladie ne va pas à la mort, mais elle est pour la gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle. Or, Jésus aimait Marthe, et sa sœur Marie, et Lazare. Ayant donc appris qu’il était malade, Il resta deux jours encore au lieu où Il était. Il dit ensuite à ses disciples : Retournons en Judée. Les disciples Lui dirent : Maître, tout à l’heure les Juifs voulaient Vous lapider, et Vous retournez là ? Jésus répondit : N’y a-t-il pas douze heures dans le jour ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne se heurte point, parce qu’il voit la lumière du monde. Mais s’il marche pendant la nuit, il se heurte parce qu’il manque de lumière. Il parla ainsi, et ajouta : Notre ami Lazare dort, mais je me mets en route pour le réveiller. Ses disciples Lui dirent : S’Il dort, il guérira. Mais Jésus avait parlé de sa mort, et ils pensaient que c’était du repos du sommeil. Alors Jésus leur dit clairement : Lazare est mort ; et je me réjouis à cause de vous de n’avoir pas été là, afin que vous croyiez ; mais allons vers lui. Et Thomas, appelé Didyme, dit aux autres disciples : Allons-y, nous aussi, afin de mourir avec lui. Jésus vint donc et trouva Lazare depuis quatre jours dans le sépulcre. Or, Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ. Beaucoup de Juifs étaient venus près de Marthe et de Marie pour les consoler au sujet de leur frère. Dès que Marthe eut appris que Jésus arrivait, elle alla au-devant de Lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison. Marthe dit donc à Jésus : Seigneur, si Vous aviez été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant encore, je sais que tout ce que Vous demanderez à Dieu, Dieu Vous l’accordera. Jésus lui dit : Votre frère ressuscitera. Je sais, Lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera lors de la Résurrection, au Dernier Jour ; Jésus lui dit : Je suis la Résurrection et la Vie ; celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra ; Et quiconque vit et croit en moi, ne mourra point pour toujours. Le croyez-vous ? Oui, Seigneur, Lui dit-elle, je crois que Vous êtes le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir en ce monde. Lorsqu’elle eut ainsi parlé, elle s’en alla, et appela en secret Marie, sa sœur, disant : Le Maître est là, et Il t’appelle. Dès que celle-ci L’eut entendu, elle se leva promptement et alla vers Lui. Car Jésus n’était pas encore entré dans le village ; Il n’avait pas quitté le lieu où Marthe L’avait rencontré. Les Juifs qui étaient avec Marie, et la consolaient, l’ayant vue se lever en hâte et sortir, la suivirent en pensant : Elle va au sépulcre pour y pleurer. Lorsque Marie fut arrivée au lieu où était Jésus, Le voyant, elle tomba à ses pieds, et Lui dit : Seigneur, si Vous aviez été ici, mon frère ne serait pas mort. Jésus la voyant pleurer, elle et les Juifs qui l’accompagnaient, frémit en son esprit, et se laissa aller à l’émotion. Et Il dit : Où l’avez-vous mis ? Seigneur, Lui répondirent-ils, venez et voyez. Et Jésus pleura. Les Juifs dirent : Voyez comme Il l’aimait. Mais quelques-uns d’entre eux dirent : Ne pouvait-Il pas, Lui qui a ouvert les yeux d’un aveugle-né, faire aussi que cet homme ne mourût point ? Jésus donc, frémissant de nouveau en Lui-même, se rendit au sépulcre : c’était un caveau, et une pierre était posée dessus. Ôtez la pierre, dit Jésus. Marthe, la sœur de celui qui était mort, Lui dit : Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là. Jésus lui dit : Ne vous ai-je pas dit que si vous croyez, vous verrez la Gloire de Dieu ? Ils ôtèrent donc la pierre ; et Jésus leva les yeux en Haut et dit : Père, je Vous rends grâces de ce que Vous m’avez exaucé. Pour moi je savais que Vous m’exaucez toujours ; mais j’ai dit cela à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est Vous qui m’avez envoyé. Ayant parlé ainsi, Il cria d’une voix forte : Lazare, sors ! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandelettes, et le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller. Beaucoup d’entre les Juifs qui étaient venus près de Marie et de Marthe, et qui avaient vu ce qu’avait fait Jésus, crurent en Lui.


OFFERTOIRE (psaume 17, 28-32)
L’antienne du Psaume 17 pour l’Offertoire peut bien s’appliquer au monde des morts qui dorment dans les tombes. Voilà comment l’adaptation liturgique de ce verset met en évidence le caractère Messianique de la Résurrection des morts. La première conséquence de la fraude que nous fit celui qui, dans les Écritures, est, pour cette raison, appelé homicida ab initia, fut la mort. Or, le Sauveur est venu en ce monde pour détruire les effets du péché, et par suite, Il aura sa victoire définitive quand, au Jour de la Parousie, Il ressuscitera le genre humain et mettra ses fidèles en possession de sa vie glorieuse.
Pópulum húmilem salvum fácies, Dómine, et óculos superbórum humiliábis : quóniam quis Deus præter te, Dómine ?
Vous sauverez le peuple qui est humble, Seigneur, et Vous humilierez les yeux des superbes. Car qui est Dieu si ce n’est Vous, Seigneur ?


SECRÈTE
La prière d’introduction à l’anaphore eucharistique supplie le Seigneur afin que la vertu expiatoire du Sacrifice Eucharistique nous purifie de nos fautes et que son efficacité propitiatrice nous concilie les faveurs divines.
Múnera nos, Dómine, quǽsumus, obláta puríficent : et te nobis iugiter fáciant esse placátum. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Qu’ils nous purifient, nous Vous en supplions, Seigneur, ces dons qui Vous sont offerts, et qu’ils apaisent constamment pour nous votre Justice. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


PRÉFACE DU CARÊME
La Préface du Carême (Præfatio de Quadragesima) suivante est dite jusqu’au samedi avant le Dimanche de la Passion inclus, selon les rubriques :
Vere dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi semper et ubíque grátias ágere : Dómine, sancte Pater, omnípotens ætérne Deus :
Il est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est notre salut, de Vous rendre grâces toujours et partout, Seigneur, Père saint, Dieu éternel et tout-puissant :

Qui corporáli jejúnio vitia cómprimis, mentem élevas, virtútem largíris et prǽmia : per Christum Dóminum nostrum.
Vous qui, par le jeûne corporel, réprimez les vices, élevez l’âme, accordez la force et la récompense : par le Christ notre Seigneur.

Per quem maiestátem tuam laudant Angeli, adórant Dominatiónes, tremunt Potestátes. Cæli cælorúmque Virtútes ac beáta Séraphim sócia exsultatióne concélebrant. Cum quibus et nostras voces ut admítti iúbeas, deprecámur, súpplici confessióne dicentes.
Par Lui les Anges louent votre Majesté, les Dominations Vous adorent, les Puissances se prosternent en tremblant. Les Cieux, les Vertus des cieux et les bienheureux Séraphins La célèbrent, unis dans une même allégresse. A leurs chants, nous Vous prions, laissez se joindre aussi nos voix pour proclamer dans une humble louange.


COMMUNION (Jean 11, 33…44)
En communiant, nous recevons Celui qui a ressuscité Lazare : la Communion est un gage de notre Résurrection future.
Videns Dóminus flentes soróres Lázari ad monuméntum, lacrimátus est coram Iudǽis, et exclamávit : Lázare, veni foras : et pródiit ligátis mánibus et pédibus, qui fúerat quatriduánus mórtuus.
Le Seigneur voyant pleurer les sœurs de Lazare près du sépulcre pleura Lui-même en présence des Juifs et s’écria : Lazare, viens dehors : et celui qui était mort depuis quatre jours parut ayant les pieds et les mains liés.


POSTCOMMUNION
Dans la Collecte pour l’Eucharistie, ou l’action de grâces, nous supplions le Seigneur que la participation à la Table sainte nous vaille le pardon de nos fautes, et nous serve de défense contre toute adversité. Dans ses Collectes Eucharistiques, l’Église met toujours en relief tantôt l’un tantôt l’autre des fruits du divin Sacrement. En effet, l’Eucharistie est tout pour nous, puisqu’elle est Jésus même ; et Jésus est non seulement notre paix et notre propitiation pour les fautes passées, mais aussi l’antidote qui préserve l’âme de la corruption des tentations et inocule dans le corps le germe de la Résurrection pour l’éternité.
Hæc nos, quǽsumus, Dómine, participátio sacraménti : et a propriis reátibus indesinénter expédiat, et ab ómnibus tueátur advérsis. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Nous Vous en supplions, Seigneur, que cette participation à votre Sacrement nous purifie sans cesse de nos propres fautes et nous garde de tout ce qui s’opposerait à notre bien. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


ORAISON SUR LE PEUPLE
Dans la Collecte de Bénédiction, avant de congédier l’assemblée, le Célébrant rappelle à Dieu que si, conscients de notre faiblesse, nous mettons en Lui toute notre espérance de salut, qu’Il fasse de son côté, par sa Grâce, que nous ayons toujours sujet de nous réjouir de sa douce condescendance. C’est précisément ce que Dieu désire ; Il hait le superbe qui se vante de pouvoir se passer du Seigneur, et s’Il le renverse, c’est pour lui faire comprendre que sans Dieu on ne peut rester debout. Quand, au contraire, une âme est humble, qu’elle reconnaît et confesse qu’elle a un besoin absolu du Seigneur, celui-ci s’abaisse jusqu’à son néant, lui tend la main pour l’aider et l’élève jusqu’au plus haut des Cieux.
Orémus : Humiliáte cápita vestra Deo.
Prions : Humiliez vos têtes devant Dieu.
Da nobis, quǽsumus, omnípotens Deus : ut, qui infirmitátis nostræ cónscii, de tua virtúte confídimus, sub tua semper pietáte gaudeámus. Per Dominum nostrum Iesum Christum Filium tuum, qui tecum vivit et regnat, in unitate Spiritus Sancti, Deus, per omnia saecula saeculorum. Amen.
Accordez-nous, s’il Vous plaît, ô Dieu tout-puissant, à nous qui, conscients de notre faiblesse, nous confions en votre Puissance, de pouvoir toujours nous réjouir sous l’égide votre Bonté. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.


Voir la Prière et la Résolution du Vendredi de la Quatrième Semaine de Carême « Faites, ô mon Dieu, que je regarde les infirmités et les maladies comme des Faveurs » de Monsieur l’Abbé Jean-Baptiste La Sausse et la Prière du Vendredi de la Quatrième Semaine de Carême « Ô Seigneur, tirez-nous du tombeau en nous séparant du péché » de l’Abbé Nicolas Le Tourneux

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Voir successivement pour un Saint Carême :
- La Prière du Mercredi des Cendres « Accordez, Seigneur, à Vos fidèles, d’entreprendre avec la piété convenable, la pratique de ces Jeûnes vénérables et solennels »
- La Prière du Jeudi après les Cendres « Ô Dieu, que le péché offense et que la Pénitence apaise »
- La Prière du Vendredi après les Cendres « Favorisez dans Votre bonté, Seigneur, nous Vous en supplions, les Jeûnes dont nous avons commencé le cours »
- La Prière du Samedi après les Cendres « Écoutez favorablement, Seigneur, nos supplications et accordez-nous de célébrer avec soumission et dévotion ce Jeûne solennel »
- La Prière du Premier Dimanche de Carême « Ô Dieu, qui purifiez chaque année votre Église par l’observation du Carême »
- La Prière du Lundi de la Première Semaine de Carême « Convertissez-nous, ô Dieu, notre Sauveur »
- La Prière du Mardi de la Première Semaine de Carême « Regardez favorablement Votre famille, Seigneur »
- La Prière du Mercredi des Quatre-Temps du Carême « Nous Vous en supplions, Seigneur »
- La Prière du Jeudi de la Première Semaine de Carême « Regardez, dans Votre bienveillance, Seigneur, la dévotion de Votre peuple »
- La Prière du Vendredi des Quatre-Temps du Carême « Soyez, Seigneur, propice à votre Peuple »
- Les Sept Prières du Samedi des Quatre-Temps du Carême « Nous Vous en supplions, Seigneur, exaucez dans Votre clémence les Prières de Votre peuple »
- La Prière du Deuxième Dimanche de Carême « Ô Dieu, qui voyez que nous n’avons de nous-mêmes aucune force »
- La Prière du Lundi de la Deuxième Semaine de Carême « Daignez faire, ô Dieu Tout-Puissant, que Vos fidèles jeûnent aussi du péché »
- La Prière du Mardi de la Deuxième Semaine de Carême « Nous Vous supplions, Seigneur, de continuer à nous assister avec Bonté, dans l’observation de ce Saint Jeûne »
- La Prière du Mercredi de la Deuxième Semaine de Carême « Nous Vous en supplions, Seigneur, regardez favorablement Votre peuple »
- La Prière du Jeudi de la Deuxième Semaine de Carême « Daignez, Seigneur, nous accorder le Secours de votre Grâce »
- La Prière du Vendredi de la Deuxième Semaine de Carême « Faites, ô Dieu Tout-Puissant, que purifiés par ce Jeûne sacré, nous parvenions avec un cœur sincère aux Saintes Solennités qui approchent »
- La Prière du Samedi de la Deuxième Semaine de Carême « Nous Vous en prions, Seigneur, donnez à nos jeûnes un effet salutaire »
- La Prière du Troisième Dimanche de Carême « Nous Vous en prions, Dieu Tout-Puissant, ayez égard aux vœux de nos cœurs humiliés »
- La Prière du Lundi de la Troisième Semaine de Carême « Nous Vous supplions, Seigneur, de répandre en toute bonté Votre Grâce dans nos cœurs »
- La Prière du Mardi de la Troisième Semaine de Carême « Exaucez-nous, Dieu Tout-Puissant et Miséricordieux, et accordez-nous, dans Votre bonté, le Don d’une Continence Salutaire »
- La Prière du Mercredi de la Troisième Semaine de Carême « Faites, nous Vous en supplions, Seigneur, que, formés par ces Jeûnes Salutaires, nous obtenions plus facilement les effets de Votre Miséricorde »
- La Prière du Jeudi de la Troisième Semaine de Carême « Qu’Elle Vous glorifie, Seigneur, la Solennité de Vos Saints Côme et Damien où Vous nous avez secourus par Votre ineffable Providence »
- La Prière du Vendredi de la Troisième Semaine de Carême « Nous Vous supplions, Seigneur, d’accorder dans Votre bonté, un résultat favorable à nos Jeûnes »
- La Prière du Samedi de la Troisième Semaine de Carême « Nous Vous en prions, Dieu Tout-Puissant, accordez-nous la Grâce de Jeûner aussi du péché, en pratiquant la Justice »
- La Prière du Quatrième Dimanche de Carême « Réjouis-toi, Jérusalem, et rassemblez-vous, vous tous qui L’aimez »
- La Prière du Lundi de la Quatrième Semaine de Carême « Faites-nous la Grâce, ô Dieu Tout-Puissant, d’une religieuse Fidélité »
- La Prière du Mardi de la Quatrième Semaine de Carême « Daignez faire, Seigneur, que les jeûnes que nous observons dans ce Saint Temps, nous aident à avancer dans la Piété »
- La Prière du Mercredi de la Quatrième Semaine de Carême « Ô Dieu, qui, par le moyen du Jeûne, accordez aux Justes la Récompense de leurs mérites et aux pécheurs le Pardon de leurs fautes »
- La Prière du Jeudi de la Quatrième Semaine de Carême « Faites, nous Vous en supplions, ô Dieu Tout-Puissant, que nous mortifiant par ces Jeûnes Solennels, nous ressentions la Joie d’une Dévotion Sainte »
- La Prière du Vendredi de la Quatrième Semaine de Carême « Ô Dieu, qui renouvelez le monde par d’ineffables Mystères »
- La Prière du Samedi de la Quatrième Semaine de Carême « Nous Vous en supplions, Seigneur, que le sentiment de notre Dévotion devienne fructueux par votre Grâce »
- La Prière du 1er Dimanche de la Passion « Dieu Tout-Puissant, accordez à Vos enfants votre Grâce pour qu’ils soient gouvernés en leur corps et veillez sur eux pour qu’ils soient gardés en leur âme »
- La Prière du Lundi de la Passion « Nous Vous en prions, Seigneur, Sanctifiez nos Jeûnes »
- La Prière du Mardi de la Passion « Nous Vous en supplions, Seigneur, faites que nos Jeûnes Vous soient agréables »
- La Prière du Mercredi de la Passion « Dieu de Miséricorde, Sanctifiez ce Jeûne et éclairez les cœurs de Vos fidèles »
- La Prière du Jeudi de la Passion « Faites, nous Vous en supplions, ô Dieu Tout-Puissant, que la dignité de la nature humaine soit rétablie au moyen de cette abstinence salutaire »
- La Prière du Vendredi de la Passion « Daignez, Seigneur, dans votre Bonté, répandre votre Grâce en nos cœurs »
- La Prière du Samedi de la Passion « Faites, nous Vous en prions. Seigneur, que le Peuple qui Vous est Consacré, progresse dans la ferveur d’une pieuse Dévotion »
- La Prière du 2ème Dimanche de la Passion ou des Rameaux « Dieu Tout-Puissant et Éternel, qui avez voulu que notre Sauveur prît la chair humaine et supportât les tourments de la Croix »
- La Prière du Lundi Saint « Dieu Tout-Puissant qui voyez que notre faiblesse succombe au milieu de tant d’épreuves »
- La Prière du Mardi Saint « Dieu Tout-Puissant et Éternel, donnez-nous de célébrer les Mystères de la Passion du Seigneur »
- La Prière du Mercredi Saint « Faites, nous Vous en prions, Dieu Tout-Puissant, que sans cesse affligés par nos débordements, nous soyons libérés par la Passion de votre Fils »
- La Prière du Jeudi Saint « Ô Dieu, qui avez puni la perfidie de Judas et récompensé la confession du larron »
- La Prière du Vendredi Saint « Ô Dieu, Vous avez détruit par la Passion de votre Christ, notre Seigneur, la mort que nous valait de père en fils le péché originel »
- La Prière de la Vigile Pascale du Samedi Saint « Ô Dieu, qui illuminez cette Très Sainte Nuit de la Gloire de la Résurrection du Seigneur »



Les QUARANTE Saintes Messes du Carême (Vidéo + Textes Liturgiques) :
- La « Sainte Messe du Mercredi des Cendres » (Feria IV post Cineres) précédée de la « Bénédiction et Imposition des Cendres » (Antiennes, Oraisons, Répons, …)
- La « Sainte Messe du Jeudi après les Cendres » (Feria V post Cineres)
- La « Sainte Messe du Vendredi après les Cendres » (Feria VI post Cineres)
- La « Sainte Messe du Samedi après les Cendres » (Sabbato Post Cineres)
- La « Sainte Messe du Premier Dimanche du Carême » (Dominica Prima in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Lundi de la Première Semaine du Carême » (Feria II Prima in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mardi de la Première Semaine du Carême » (Feria III Prima in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mercredi des Quatre-Temps du Carême » (Feria IV Quatuor Temporum Quadragesimæ)
- La « Sainte Messe du Jeudi de la Première Semaine du Carême » (Feria V Prima in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Vendredi des Quatre-Temps du Carême » (Feria VI Quatuor Temporum Quadragesimæ)
- La « Sainte Messe du Samedi des Quatre-Temps du Carême » (Sabbato Quatuor Temporum Quadragesimæ)
- La « Sainte Messe du Deuxième Dimanche du Carême » (Dominica Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Lundi de la Deuxième Semaine du Carême » (Feria II Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mardi de la Deuxième Semaine du Carême » (Feria III Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mercredi de la Deuxième Semaine du Carême » (Feria IV Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Jeudi de la Deuxième Semaine du Carême » (Feria V Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Vendredi de la Deuxième Semaine du Carême » (Feria VI Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Samedi de la Deuxième Semaine du Carême » (Sabbato Secunda in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Troisième Dimanche du Carême » (Dominica Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Lundi de la Troisième Semaine du Carême » (Feria II Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mardi de la Troisième Semaine du Carême » (Feria III Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mercredi de la Troisième Semaine du Carême » (Feria IV Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Jeudi de la Troisième Semaine du Carême » (Feria V Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Vendredi de la Troisième Semaine du Carême » (Feria VI Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Samedi de la Troisième Semaine du Carême » (Sabbato Tertia in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Quatrième Dimanche du Carême » (Dominica Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Lundi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria II Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mardi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria III Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Mercredi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria IV Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Jeudi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria V Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Vendredi de la Quatrième Semaine du Carême » (Feria VI Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Samedi de la Quatrième Semaine du Carême » (Sabbato Quarta in Quadragesima)
- La « Sainte Messe du Premier Dimanche de la Passion » (Dominica I Passionis)
- La « Sainte Messe du Lundi de la Passion » (Feria II infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Mardi de la Passion » (Feria III infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Mercredi de la Passion » (Feria IV infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Jeudi de la Passion » (Feria V infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Vendredi de la Passion » (Feria VI infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Samedi de la Passion » (Sabbato infra Hebdomadam Passionis)
- La « Sainte Messe du Deuxième Dimanche de la Passion » dit Dimanche des Rameaux (Dominica II Passionis seu in Palmis) précédée de la « Bénédiction, Distribution et Procession des Rameaux » en l’honneur du Christ Roi (De Solemni Palmarum Processione in honorem Christi Regis)


Et Tous les « Sermons, Homélies et Méditations » pour le Saint Temps du Carême (plus d'une centaine)