Voici le « Sermon pour la Fête du Christ-Roi » écrit par Monseigneur Marcel Lefebvre (1905–1991) qui fut Archevêque Catholique de Dakar et délégué apostolique pour l'Afrique française, Archevêque-évêque de Tulle en 1962 puis Supérieur Général de la Congrégation du Saint-Esprit et qui fonda en 1970 la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X (fsspx) et le Séminaire international d'Écône.
Mes biens chers amis, mes biens chers frères,
Je pense qu’il est inutile d’insister auprès de vous pour vous montrer que cette Fête du Christ Roi est au cœur même du combat que nous menons. Si nous avons pris la décision de mener ce combat et de résister à toutes les pressions qui sont faites à l’intérieur même de l’Église pour nous détourner de ce règne de Notre Seigneur Jésus-Christ, c’est qu’il nous a semblé indispensable, pour défendre notre foi, de mettre en pratique le règne de Notre Seigneur Jésus-Christ. N’est-ce pas là l’objet même de notre foi, de faire régner Notre Seigneur Jésus-Christ sur nous, sur nos familles, sur nos cités ? « Oportet illum regnare, dit saint Paul. Il faut qu’il règne » (1 Cor. 15, 25). Il faut que Notre Seigneur Jésus-Christ règne.
Mais pourquoi le Pape Pie XI a-t-il jugé bon d’ajouter au calendrier liturgique une Fête particulière pour le Christ Roi ? Était-ce vraiment nécessaire ? Est-ce que la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ n’était pas suffisamment signifiée dans toutes les Fêtes de l’année liturgique ? En effet, si on lit les textes liturgiques de la Fête de la Nativité, de la Fête de l’Épiphanie, des grandes cérémonies de la Semaine Sainte, à plus forte raison de la Fête de Pâques et de celle de l’Ascension, la Royauté de Notre Seigneur est constamment affirmée. Ces Fêtes ne font que manifester le règne de Notre Seigneur Jésus-Christ et son Royaume. Alors pourquoi ajouter cette Fête du Christ Roi ? Parce que les hommes ont voulu détruire le règne de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Contre le climat d’apostasie générale
Après que les princes et les chefs d’Etat ont reconnu, pendant de nombreux siècles, la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ, des disciples de Satan – celui qui poursuit de sa haine Notre Seigneur Jésus-Christ – ont résolu d’en finir avec la Chrétienté, avec l’ordre Chrétien, avec le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la société, et ils ont fomenté des troubles jusqu’au moment où ils ont pu détruire en effet ce Règne de Notre Seigneur sur les sociétés. Ils espéraient bien, par-là, ruiner l’œuvre de Notre Seigneur Jésus-Christ. C’est ce que dit le Pape Léon XIII dans son encyclique Humanum Genus, à propos des francs-maçons : « Leur but principal est de détruire toutes les Institutions Chrétiennes ». Toutes les Institutions Chrétiennes ! Voilà leur but, et ils ne pouvaient pas y arriver tant que la société était Chrétienne, tant que les princes et les gouvernants étaient Chrétiens. Il leur a donc fallu détruire ces gouvernements, détruire ceux qui défendaient la Royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Et non seulement ils ont eu pour dessein de détruire les Institutions Chrétiennes mais ils ont voulu par là, détruire le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ dans les âmes et créer ce climat d’apostasie générale. Le fait que les institutions ne sont plus Chrétiennes, le fait que Notre Seigneur Jésus-Christ ne règne plus dans les institutions, crée nécessairement un climat d’apostasie, un climat d’athéisme, et ce climat d’athéisme atteint alors les familles par l’enseignement, par tous les moyens puissants que l’Etat a à sa disposition pour ruiner la Foi dans les familles Chrétiennes. C’est ainsi qu’on a vu l’apostasie s’étendre, petit à petit, dans la société.
Si les familles deviennent elles-mêmes apostates, si dans les familles ne règne plus Notre Seigneur Jésus-Christ, ni sa Loi, ni sa Grâce, alors les vocations aussi disparaissent. Et c’est bien ce qu’ils espéraient : ils espéraient atteindre l’Eglise par l’intermédiaire des familles chrétiennes, et atteindre ainsi les séminaires, les noviciats, les congrégations religieuses. Hélas, ils y sont arrivés ; et maintenant, nous pourrions dire en vérité que les autorités de l’Eglise leur prêtent la main, et les aident dans cette apostasie par l’affirmation de cette liberté religieuse. S’il y a la liberté religieuse, il n’est plus absolument nécessaire que Notre Seigneur Jésus-Christ règne sur les âmes, sur les sociétés. C’est là une chose absolument incroyable, mais vraie...
Non seulement « il n’est pas opportun et il n’est peut-être pas possible, comme disent et ont toujours dit les libéraux, que Notre Seigneur Jésus-Christ règne encore sur la société ; c’était possible au Moyen Age, ce n’est plus possible maintenant ». Non, ce n’est pas suffisant, désormais on admet comme principe que Notre Seigneur ne doit pas régner sur la société : ce serait contraire à la dignité humaine, qui veut que chaque homme ait la religion de sa conscience. Par conséquent, imposer dans la société le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ, ce serait violer la conscience et la liberté, et par conséquent la dignité humaine. C’est pourquoi il faut que les Etats soient laïcs, que les Etats n’aient pas de religion. C’est ce qu’affirment les autorités de l’Eglise ! Dernièrement, le pape à Strasbourg a encore affirmé publiquement qu’il fallait que les Etats soient neutres, n’aient pas de religion (cf. Discours de Jean-Paul II au Parlement européen, le 11 octobre 1988). C’est une chose inouïe ! Si nos ancêtres entendaient des choses semblables, ils en seraient épouvantés, stupéfaits ! Mais de nos jours, on est tellement habitué à cette apostasie générale que l’on ne réagit même plus. C’est pourquoi cette Fête du Christ Roi est plus utile que jamais.
Nous voulons qu’Il règne
Nous chantions, hier, dans l’hymne des vêpres : Scelesta turba clamitat : Regnare Christum nolumus. La foule impie crie : « Nous ne voulons pas que le Christ règne sur nous ! ». Te nos ovantes omnium Regem supremum dicimus. Nous, au contraire, sommes heureux dans nos cœurs de pouvoir dire que Vous êtes le Seigneur, le Roi de toutes choses. Oui, à ce cri de cette foule impie qui dit : « Nous ne voulons pas que le Christ règne sur nous », nous opposons cette acclamation : « Nous voulons que Notre Seigneur Règne parce qu’Il est le Roi suprême de toutes choses, omnium Regem supremum ». Nous le proclamons et nous voulons le proclamer, non seulement pour nous personnellement afin que Jésus Règne dans nos âmes par sa Loi, par sa Grâce, mais nous voulons qu’Il règne aussi dans nos familles, dans les familles Chrétiennes et dans la société.
Ce qui est à la racine de cette apostasie, c’est la négation du péché originel. Car si Notre Seigneur Jésus-Christ est venu sur terre et veut régner dans toutes les âmes, dans toutes les familles, dans toutes les cités, c’est précisément pour faire disparaître et le péché originel et toutes ses conséquences, conséquences abominables qui conduisent à l’Enfer, qui conduisent à la mort éternelle. Il est venu pour nous donner la Vie éternelle. Si l’on nie le péché originel, Notre Seigneur n’est plus nécessaire. Que vient-Il faire ? Pourquoi vient-Il ? Il vient troubler nos familles, Il vient troubler l’ordre de la liberté humaine... Mais si nous croyons que vraiment, il y a eu un péché originel dont tous les hommes sont atteints, avec toutes ses conséquences, et que seul Notre Seigneur Jésus-Christ est capable de nous guérir, de nous apporter la vie, de nous purifier dans son Sang et de nous donner sa Grâce, de nous donner sa Loi, alors nous nous tournons vers notre Sauveur, vers Notre Seigneur Jésus-Christ et nous prions pour qu’Il soit notre Roi, que sa Loi règne partout, que sa Grâce règne dans toutes les âmes ! Voilà ce que nous disons, voilà ce que nous pensons.
On ne croit plus au péché originel, on nie le péché originel. Les hommes sont libres ; les hommes ne sont pas mauvais. Ils ne naissent pas mauvais, ils ne naissent pas sous l’influence de Satan, ce n’est pas vrai, les hommes sont bons. Ce qu’ils désirent, c’est bien. Chacun peut désirer ce qu’il veut, selon sa liberté, selon sa conscience… Or nous disions dans les antiennes ce matin : « Regnum quod non servierit tibi, peribit. Le royaume qui ne Vous sert pas, ô Seigneur, périra ». Et c’est vrai. Tous ceux qui n’ont pas Notre Seigneur Jésus-Christ dans leurs lois, dans leur législation, et qui n’ont pas la Grâce de Notre Seigneur Jésus-Christ, vivent dans le désordre complet, et sont atteints par toutes les suites du péché originel qui corrompent les sociétés, et qui corrompent les âmes.
Alors que devons-nous faire, mes biens chers frères, devant cette situation ? Désirer bien sûr, le Règne de Notre-Seigneur, prier de tout notre cœur, de toute notre âme, aujourd’hui particulièrement, pour demander à Notre Seigneur de Régner ; qu’Il nous aide, qu’Il vienne à notre secours ! Dieu sait s’Il nous a donné tous les moyens pour nous sauver. Mais devant cette situation qui apparemment est insoluble, que pouvons-nous faire ? Nous devons faire ce que Notre Seigneur Jésus-Christ a voulu que nous fassions, c’est-à-dire nous Sanctifier, ressusciter la Grâce que nous avons reçue au jour de notre Baptême pour effacer le péché originel et pour en guérir toutes les suites. Nous savons très bien que nous avons encore ces suites du péché originel ; nous les portons en nous et nous devons constamment lutter par la Grâce de Notre Seigneur, par la prière, par la réception digne et fréquente des Sacrements, par l’assistance à la Sainte Messe, à la Vraie Messe. Nous savons que c’est ainsi que nos âmes se purifieront, qu’elles se Sanctifieront et feront Régner en elles la Loi et la Grâce de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Faire rayonner le Christ dans la société
Mais il ne suffit pas de le faire pour nous. Nous avons des fonctions, nous avons tous une vocation ici-bas. Nous ne vivons pas seuls, nous ne vivons pas isolés et par conséquent, nous avons le devoir de faire régner Notre Seigneur partout autour de nous, et pas seulement dans nos familles. Le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ ne doit pas se limiter à la famille. Il ne faut pas que, à peine sorti de la maison familiale, il n’y ait plus de place pour Notre Seigneur Jésus-Christ, que cela ne le regarde pas. Ce que nous faisons dans notre profession, ce que nous faisons dans la cité, en dehors de notre famille, Notre Seigneur n’aurait plus rien à y voir ; c’est faux ! Nous devons être soumis à Notre Seigneur toujours, en tout ce que nous faisons, dans tous nos actes, et par conséquent dans les actes de notre profession aussi, et dans les actes de la vie civile que nous avons à accomplir, que ce soit pour le bien de notre commune, le bien de notre village, le bien de notre cité, le bien de notre Etat.
Il est temps, mes bien chers frères, il est plus que temps que les Chrétiens, et particulièrement les Chrétiens Traditionalistes, si l’on peut les appeler ainsi – c’est-à-dire les Vrais Chrétiens, les Vrais Catholiques – se rendent compte que la situation qui existe autour d’eux, est en train de se dégrader de mois en mois, d’année en année. Nos pays n’ont pas perdu toute Foi Catholique. Il y a encore des gens qui croient, des gens qui ont la foi. Il faudrait les réunir, les réveiller et il faudrait que, parmi ceux qui ont des convictions profondes, Catholiques, certains prennent des responsabilités. On est stupéfait de voir que des pays Catholiques comme le Valais, comme tous les cantons Catholiques de la Suisse, comme la France, l’Italie, l’Espagne, l’Irlande..., tous ces pays qui sont à 80-85% Catholiques, sont dirigés par des francs-maçons, par des ennemis de l’Eglise. Comment est-ce possible ? Comment ces gens-là ont-ils pu arriver à dominer des pays à grande majorité Catholique, eux qui sont antichrétiens, qui veulent détruire la famille Chrétienne, qui introduisent toutes les lois qui démolissent l’enseignement Chrétien, qui démolissent les écoles Chrétiennes ? Ils introduisent toutes ces initiatives abominables que nous voyons, comme ces discothèques qui se multiplient maintenant partout, dans tous les villages. Ils introduisent dans la législation l’avortement, la contraception, ils supportent la drogue, ne poursuivent pas la pornographie et acceptent ces films abominables contre Notre Seigneur Jésus-Christ. Voilà des petits groupes de gens qui sont contre Notre Seigneur Jésus-Christ et qui dominent des nations Chrétiennes ! Est-ce possible ? Comment expliquer cela, comment expliquer que dans un pays à 80-85% de Catholiques, ce soient des gens ennemis de l’Eglise Catholique, hostiles à Notre Seigneur, qui dominent et dirigent tout le monde ?
Je pense que c’est parce que les Catholiques s’imaginent qu’ils ne doivent pas entrer dans les fonctions publiques. Ils ont peur de s’immiscer dans les fonctions publiques. Sans doute, ils ont raison dans la mesure où ils devraient participer et contribuer à des choses qui sont mauvaises, mais s’ils peuvent au contraire le faire afin d’empêcher les choses mauvaises de se réaliser, ils doivent se manifester, ils doivent prendre des responsabilités pour le bien des âmes, pour faire régner Notre Seigneur Jésus-Christ dans la législation. Il me semble qu’il y a là une déficience et peut-être une incompréhension du devoir des Catholiques, des Catholiques fidèles. Il faudrait que dans des villages qui sont encore à 80% Catholiques et qui ont encore de saines convictions à 90%, ce soient de bons Catholiques qui dirigent le village, qui prennent des responsabilités communales ; la même chose dans les Etats. Il ne faut pas avoir peur de prendre des responsabilités ; ce n’est pas là faire de la mauvaise politique, ce n’est pas faire de la politique de parti, c’est tout simplement chercher le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ, le Règne social de Notre Seigneur.
Aussi nous devons prier pour cela et encourager ceux de nos amis ou de nos connaissances qui sont capables de prendre des mandats dans les communes, dans les cités, dans l’Etat, à se présenter. Nous avons vu par exemple l’initiative de certains de nos amis, avec ce petit journal qui a été lancé dernièrement et qui s’appelle Controverses, dans lequel nos confrères Prêtres, aussi, se sont engagés, d’une certaine manière. C’est là, à mon avis, une très bonne initiative qui peut éventuellement servir au moment d’un vote pour être distribué dans les familles, partout, pour encourager à faire un bon vote, le vote pour Notre Seigneur Jésus-Christ, sans constituer spécialement un parti si ce n’est, comme le dit Saint Pie X, celui de Dieu, le Parti de Notre Seigneur Jésus-Christ. C’est là, il me semble, ce que cette Fête du Christ Roi nous rappelle.
Cette Fête nous exhorte à agir courageusement, comme le disait Jeanne d’Arc dans son combat : « Nous combattons, nous prions et Dieu donnera la victoire ». On dira : « Oh, c’est impossible ! On ne pourra pas. C’est trop difficile, jamais nous n’arriverons à dominer les gens qui actuellement dirigent nos pays. Nous n’arriverons jamais à les renverser… ». Mais il faut compter sur la Grâce du Bon Dieu ! Le Bon Dieu est avec nous. Le Bon Dieu veut régner, le Bon Dieu veut le bien des âmes. Par conséquent, si les Catholiques s’unissent, prient, font des sacrifices et militent en faveur du Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ, il faut compter sur la Grâce de Notre Seigneur, sur l’aide de la Très Sainte Vierge Marie qui est « forte comme une armée rangée en bataille » (Ct 6, 3), sur l’aide des Saints, de Saint Michel Archange, de tous les Saints du pays, et ici de Saint Nicolas de Flue et de Saint Maurice. Invoquons-les et demandons-leur de nous aider pour que Notre Seigneur Jésus-Christ Règne dans nos pays, pour sauver nos âmes et celles des générations futures, et remettre nos pays sous le doux règne de Notre Seigneur.
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Monseigneur Marcel Lefebvre (1905-1991) – le Dimanche 30 octobre 1988 à Ecône – Fête du Christ-Roi
Voir également de Monseigneur Marcel Lefebvre :
- La « Déclaration du 21 novembre 1974 » de Mgr Marcel Lefebvre
- La Prière de Monseigneur Lefebvre « Nous recourons à Vous, ô Immaculée Mère de Dieu, en cette heure tragique de l'humanité »
- L’Homélie de Mgr Lefebvre « Quelques conseils pour bien pratiquer le Carême »
- L’Homélie de Mgr Lefebvre pour une France Catholique « Vous qui êtes Chef de Famille, vous avez une grave responsabilité dans votre Pays »
- La « Lettre sur le Carême aux fidèles de la Tradition » de Mgr Lefebvre
- Le Sermon de Mgr Lefebvre pour la Fête du Christ-Roi « Contre le climat d’apostasie générale, nous voulons faire régner et rayonner le Christ dans la société »
- Le Sermon du XIIème Dimanche après la Pentecôte sur la « Loi que Notre Seigneur Jésus-Christ nous a donnée » de Mgr Marcel Lefebvre
Voir également pour la Fête du Christ Roi des âmes, des familles, des sociétés civiles et de toutes les nations :
- L'Acte de Consécration du genre humain au Sacré-Cœur de Jésus « Ô Seigneur Jésus, soyez le Roi » du Pape Léon XIII à réciter à la fin de la Sainte Messe du Christ-Roi
- L’Acte de Consécration au Christ-Roi de Mgr Bernard Fellay « Ô Christ-Roi, écrasez de Votre sceptre le démon de la révolte et de la division »
- La « Sainte Messe de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi » (Vidéo + Textes Liturgiques)
- L’Hymne au Christ-Roi de Saint Clément d'Alexandrie « Chantons tous des hymnes sincères au Christ-Roi »
- La Prière au Christ Roi Universel « Ô Christ Jésus, je Vous reconnais pour Roi Universel » du Pape Pie XI
- La Prière au Christ-Roi du Ciel et de la terre « Ô Jésus, l’Unique Roi de l'Univers, nous nous prosternons à Vos pieds pour Vous adorer » de Sœur Marie du Christ-Roi
- La Prière à Notre-Seigneur Jésus-Christ Roi de France « Seigneur Jésus-Christ, Vrai Roi de France, souvenez-Vous de votre Peuple de prédilection » pour le retour de la France à la Sainte Religion Catholique
- La Prière au Christ-Roi des rois « Seigneur, Jésus-Christ, mon Seigneur et mon Dieu, Vérité suprême, Fils du Père, je Vous adore, ô Roi des rois » de Dom Eugène Vandeur
- Le Sermon de Mgr Lefebvre pour la Fête du Christ-Roi « Contre le climat d’apostasie générale, nous voulons faire régner et rayonner le Christ dans la société »
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Jésus Christ Roi des âmes et des familles » de l’Abbé Michel Frament
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Jésus est-il Roi ? » de l’Abbé Guillaume d'Orsanne
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « La Royauté de Notre Seigneur Jésus Christ » de l’Abbé Gabriel Billecocq
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Le Christ Roi et le libéralisme » de l’Abbé Pierpaolo Maria Petrucci
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Paris, Rome contre le Christ-Roi » de l’Abbé François-Marie Chautard
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Un Roi couronné d’épines » de l’Abbé Denis Puga
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Le laïcisme et le Christ-Roi » de l’Abbé Guillaume d'Orsanne
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Je suis Roi », dit Jésus » (Jn. XVIII, 37) de l’Abbé Denys de Crécy
- Le Sermon pour la Sainte Fête du Christ-Roi « Ponce Pilate choisit la laïcité » de l’Abbé Denis Puga
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