VOTONS avant le 30 avril 2018 CONTRE la proposition du Gouvernement de permettre le recours à « l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et aux femmes seules » ! L'Assistance Médicale à Procréation (AMP) doit seulement être réservée aux ménages (le mot « couple » concerne les animaux) dans des situations qui relèvent d’une infertilité médicalement constatée ou d’un risque de transmission d’une maladie grave au conjoint ou à l’enfant.
Votons CONTRE l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et votons POUR la proposition de procréation bioéthique co-parentale sans anonymat ni manipulation des gamètes et des embryons formulée par « L'Avenir pour Tous » sur le site officiel des « États Généraux de la Bioéthique » organisée par le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE)
La Consultation Nationale mise en ligne sur les « États Généraux de la Bioéthique » organisée par le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) veut « ouvrir l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et aux femmes seules » !
Votons CONTRE cette proposition officielle du Gouvernement Français et son lobby homosexuel, la mafia gay d’Emmanuel Macron, en cliquant :
En bons Catholiques Français, nous devons nous rendre sur ce site des « États Généraux de la Bioéthique » organisée par le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) avant le 30 avril 2018 et cliquer sur « Pas d’accord » (en rouge) en nous inscrivant (Nom + adresse mail).
Pour que notre vote soit incontestable, il doit être non-discriminatoire vis-à-vis des personnes concernées, les femmes homosexuelles « en souffrance d'enfants » bénéficiaires de cette mesure, ni les hommes qui ne manqueront pas de la réclamer pour eux dans la GPA. Il s'agit donc de voter dans un deuxième temps POUR la proposition de « procréation bioéthique co-parentale, sans anonymat ni manipulation des gamètes et des embryons », alternative à la PMAnonyme pour toutes, formulée par Virginie Tellenne, déléguée générale de L'Avenir pour Tous, sur le site officiel des États généraux de la Bioéthique en cliquant
Pourquoi préférer une procréation bioéthique co-parentale sans anonymat ni manipulation des gamètes et des embryons ?
Il faut s'entendre sur ce que nous désignons comme bioéthique. Nous demandons que ce qui sera décrété bioéthique par le CCNE dans les modes de procréation respecte l'unicité de l'espèce humaine, l'intégrité de la nature biologique de l'Humain et la dignité sociale de tout Humain. Le fait d'être parent pour toute personne comme le fait pour tout enfant de connaître et si possible d'être élevé par ses parents géniteurs, homme et femme, même non cohabitants, en font partie également. Ainsi sont préservées l'unicité et l'intégrité de l'espèce humaine, par le respect des droits de l'enfant et de ceux des parents, à égale proportion.
Concrètement, nous demandons que dans toutes les formes de familles et de couples soit préféré un mode de procréation responsable, c'est-à-dire qui ne sépare pas les gamètes des émetteurs, qui ne rendent pas les émetteurs inconnus à leur enfant, et qui ne mette pas leurs gamètes et embryons rendus anonymes à libre disposition commerciale pour leur fécondation et/ou leur « augmentation » génétique.
Nous demandons la levée universelle de l'anonymat des donneurs et leur inscription comme géniteurs dans l'acte de naissance de tout enfant.
Pour ce faire, nous demandons que soit mis en place une structure publique qui permette de mettre en contact des personnes humaines, hommes et femmes responsables, et non plus seulement leurs gamètes congelés. Ces personnes humaines apporteront intuitu personnae leur concours pour la procréation de leur enfant, à des couples hétéros infertiles, à des couples homos comme à des hommes ou à des femmes célibataires. Ces personnes génitrices seront inscrites en tant que telles dans l'acte de naissance de l'enfant et pourront participer, selon une co-parentalité à géométrie déterminée entre les co-parents avant la conception, à l'éducation de l'enfant (simple inscription dans l'acte de naissance, droit de visite, délégation ou partage de l'autorité parentale, garde alternée …)
Nous demandons, pour les couples hétéros infertiles, pour les couples homos et pour les célibataires, la prise en compte d'une co-éducation solidaire et responsable des géniteurs et des éducateurs dans l'intérêt supérieur de l'enfant.
Cette pratique bioéthique de co-parentalité existe déjà depuis longtemps, et doit être promue comme solution alternative à l'extension de la PMA avec Fécondation In Vitro (FIV) de gamètes anonymes et transfert d'embryons anonymes manipulables génétiquement. Ainsi la Procréation Médicalement Assistée (PMA) qui permet la FIV avec ou sans transfert d'embryons, jamais anonymes, sera réservée, indépendamment des formes de couples, aux seuls cas de stérilité médicalement constatée, après qu'aient été épuisées toutes les possibilités de fécondation naturelle ou par insémination manuelle ou médicale. En cas d'échec de la FIV avec transfert d'embryon non anonyme, il est toujours possible de choisir un autre co-parent.
Cette mesure de fécondation naturelle avec co-parentalité solidaire satisfait tant le droit de chaque enfant à connaître et voir reconnaître ses parents géniteurs, que le droit de chaque adulte à pouvoir être parent. Elle permet surtout d'éviter toute disparition du mode naturel de procréation pour des catégories spécifiques de la population, et donc de spéciation de l'espèce humaine, avec eugénisme par manipulation génétiques et/ou numériques des gamètes et embryons.
Ce mode de procréation bioéthique co-parentale n'est pas transhumain.
Votons CONTRE l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et votons POUR la proposition de procréation bioéthique co-parentale sans anonymat ni manipulation des gamètes et des embryons formulée par « L'Avenir pour Tous » sur le site officiel des « États Généraux de la Bioéthique » organisée par le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE)
PMA : « et l’Enfant dans tout ça ? » d’Aude Mirkovic :
Aude Mirkovic, Mère de famille, Maître de conférences en droit privé et Juriste qui enseigne le droit civil à l'université d'Évry-Val-d'Essonne et est porte-parole de l'association des Juristes pour l’Enfance.
Pour se développer, le marché de la procréation doit cependant passer un obstacle de taille : les droits de l'enfant. Satisfaire les désirs d'enfants passe en effet malheureusement dans certains cas par la méconnaissance des droits de l'enfant. C'est pourquoi il n'est jamais question de l'enfant dans les revendications, mais seulement des désirs, des souffrances et des droits prétendus des adultes : « puisque les couples homme/femme ont accès à la PMA, pourquoi moi qui suis célibataire ou en couple de femmes ne puis-je être inséminée ? »
Pourtant, les droits de l'enfant ne sont pas de belles paroles relevant d'un folklore juridico-médiatique sans portée réelle : ce sont des normes juridiques contraignantes, dont le respect s'impose à tous et que le législateur français est chargé de faite respecter. La société se trouve finalement aujourd'hui face à une alternative simple : respecter les droits de l'enfant, c'est-à-dire renoncer à des pratiques qui les méconnaissent, ou renoncer à professer les droits de l'enfant, ce qui ne serait pas bon signe. Il convient donc d'envisager d'abord le projet de PMA pour les femmes du point de vue des droits de l'enfant, afin de mesurer dans quelle mesure ce projet est compatible ou non avec leur respect.
Nul besoin de ménager le suspense tant il est aisé de percevoir que, pour l'enfant, la PMA pour les femmes signifie et réalise l'effacement, la privation du père. A ce titre, le législateur français ne peut satisfaire un désir qui suppose de priver délibérément certains enfants de père, et ce d'autant plus que la France a ratifié la Convention internationale des droits de l'enfant, texte onusien qui proclame le droit pour tout enfant, dans la mesure du possible, de connaître ses parents et d'être élevé par eux (art. 7-1).
Comment une technique qui organise l'éviction du père pourrait-elle être compatible avec ce droit ?
Le seul fait que la PMA pour les femmes méconnaisse les droits des enfants en les privant délibérément de père devrait suffire à y renoncer. (voir également d’Aude Mirkovic : les « 5 Arguments contre la PMA sans père »)
2 845 votes au 13 avril 2018 à 83,4% (2373 votes) contre l'ouverture de l’AMP aux femmes seules et aux couples de femmes homosexuelles
5 573 votes au 29 avril 2018 à 88, 6% (4940 votes) contre l'ouverture de l’AMP aux femmes seules et aux couples de femmes homosexuelles
Votons CONTRE l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et votons POUR la proposition de procréation bioéthique co-parentale sans anonymat ni manipulation des gamètes et des embryons formulée par « L'Avenir pour Tous » sur le site officiel des « États Généraux de la Bioéthique » organisée par le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE)
Voir également sur la Mascarade des « Etats Généraux de la Bioéthique en 2018 » :
Pour voter CONTRE un « Marché mondialisé de la procréation humaine » ou la « Pétition d’Alliance VITA contre le Marché de la Procréation »
Pour voter CONTRE la proposition de loi sur la « Création d’embryons humains dédiés à la recherche »
Pour voter POUR le « Principe d’interdiction de donner la mort »
Pour voter CONTRE « l'Assistance Médicale à Procréation (AMP) aux couples de femmes homosexuelles et aux femmes seules »
Pour voter POUR « l’inscription des Géniteurs homme et femme de tout enfant dans son Acte de Naissance dans tout cadre parental »
Pour voter POUR « la mise en place de structures publiques de co-parentalité entre les parents d'enfants à naître non désirés et des couples ou des personnes désirant devenir parent et n'en ayant pas la possibilité naturelle »
Parce qu’il y aura d’autres Manifestations le 6 octobre 2019 et le 19 janvier 2020 !