Voici la Prière « Seigneur, Tu m’as saisi, et je n’ai pu résister » du Père Michel Quoist (1921-1997), Prêtre ordonné en 1947, Curé au Havre et Aumônier de la Jeunesse Etudiante Chrétienne, et Auteur en 1954 d’un best-seller « Prières » vendus à 2 500 000 exemplaires.
La Prière du Prêtre Aumônier Michel Quoist « Seigneur, Tu m’as saisi, et je n’ai pu résister » :
« Seigneur, Tu m’as saisi, et je n’ai pu résister. J’ai couru longuement, mais Tu me poursuivais. Je faisais des détours, mais Tu les connaissais. Tu m’as rejoint. Je me suis débattu. Tu as gagné ! Me voici, Seigneur, j’ai dit oui, à bout de souffle, à bout de lutte… C’en est fait, Seigneur, je ne pourrai plus T’oublier. En un instant Tu m’as saisi. Marqué du feu de ton Amour, c’en est fait, Seigneur, je ne pourrai plus T’oublier. Tu m’as saisi et je suis sûr de Toi ; Tu es là, Seigneur, et j’exulte. Le soleil envahit toute chose, et ma vie resplendit comme un joyau. Tout est facile, tout est lumineux. Tout est pur, tout chante. Ainsi soit-il. »
Père Michel Quoist (1921-1997)
Voir également du Père Michel Quoist :
La Prière du Père Michel Quoist « Seigneur, je Te demande la grâce de faire consciencieusement ce que Tu veux que je fasse »
La Prière du Père Michel Quoist « Seigneur, je veux faire du silence pour Te prier »
La Prière du Père Michel Quoist « La vie est un combat dont la palme est aux cieux »
La Prière du Soir du Père Michel Quoist « Je T'offre ce soir Seigneur les branches mortes de ma journée »
La Prière de Monsieur le Curé Michel Quoist « Nous voici devant Toi, Seigneur, pour nous « re-cueillir »
La Prière de Monsieur l’Abbé Michel Quoist « Voici l’autre devant moi, Seigneur, je dois le regarder « lui » au-delà de mes idées et de ses idées »
La Prière du Prêtre Aumônier Michel Quoist « Seigneur, Tu m’as saisi, et je n’ai pu résister »
La Prière pour la Jeunesse du Prêtre Aumônier Michel Quoist « L'humanité toute entière a besoin de toi car tu es unique et irremplaçable »
La Prière du Prêtre Michel Quoist « Seigneur, pourquoi m'avez-Vous dit d'aimer tous mes frères les hommes ? »